VENGANZA

11. Tres meses (trois mois)

[NDA: HI BESTIES !!
Je suis trop heureuse d'écrire mon premier point de vue inconnu ! Tout d'abord cet inconnu nous suivra jusqu'au dernier chapitre parce que c'est un personnage très important.
Je vous en dis pas plus et je vous laisse avec ce nouveau chapitre.<33]

🎵Everything I Wanted Billie Eilish
🎵Cabeza Oboy

I N C O N N U

Le corps chaud de mon frère gît sur mes genoux pendant que la camionnette avance tranquillement.
Andres bouge la tête en chantonnant tout en piochant dans un paquet de chips.

— Roh arrête tu me fais mal aux genoux. M'écriai-je en le poussant légèrement.

Ma main enlève rapidement un morceau de chips de son beau visage avant de lui mettre une tape sur la joue.

— Aïe ça—

— Ça c'est pour m'appeler pour rien. Le corrigeai-je méchamment.

— Hermanita , tu m'as manqué mais pas ta violence de merde.

— Tu mérites ! Sale con, je t'avais dis de ne pas m'appeler pour rien.

— Ce n'est pas pour rien ! Me sourit-il tout en me faisant un clin d'oeil.

— Comment ça ce passe tes études ? Continua-t-il.

— Elle commence bientôt, j'étais en vacances jusque-là. Lui répondis-je en perdant mon sourire.

Je ne veux pas aller dans cette endroit pour continuer mes recherches et mes études. Cela me stresse énormément.

— Et toi ? C'est comment le travail avec papa ? Il doit être chiant ! Me moquai-je de lui, sachant qu'il déteste ce travail.

— Tu parles ! Il me donne des ordes à tout va et en plus quand il est énervé il parle comme dark vador. Rigola-t-il en imitant sa voix.

Un rire franc m'échappe, loin du stress et de la panique des recherches. Mon frère m'avait manquer.

Contrairement à ce qu'il croit, je ne suis pas en vacances loin de là, certes les études sont beaucoup moins compliquées mais la peur de ne pas réussir gâche mes journées.

Il vit pas loin de Mexico alors que moi et notre grand frère vivons vers Acapulco.

Je mets ma main dans ses doux cheveux avant de les tirer.

— Mais ça va pas ? Je vais le dire à Izan , tu feras moins la maligne ! Poussa-t-il dans un cri.

— Oh mon frère adoré ! J'aime trop te taquiner ! Lançai-je tout en lui faisant un petit bisous sur son front.

— Oui bas arrête. D'ailleurs tu vas voir Izan après ?

— Oui normalement.

— Je peux venir avec toi, il me manque. Me supplia-t-il en affichant une moue de chien battu.

— Non, bouge . Tu le verras quand il aura fini sa mission.