Corps et cœur

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 30

꧁ 𝐋𝐀 𝐂𝐋𝐀𝐈𝐑𝐈𝐄̀𝐑𝐄 ꧂

⁑ 𝑬𝒍𝒆𝒏𝒂 ⁑
2 𝒂𝒏𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒕𝒂𝒓𝒅.

Allongée sur une serviette fasse au soleil couchant, je me sentais étonnamment bien.

Dans les bras d'Alex depuis quelques heures déjà, je songeais à notre future ensemble.

La vie, ne m'avait pas rapporter beaucoup de cadeau, mais cette instant était juste magique, lui moi, ensemble à jamais, je comptais bien en profiter comme si chaque jour était le dernier.

J'avais toujours un petit pincement au coeur quand je repensais à Lia, elle aurait été si contente de nous voir dans nos tenues blanche. J'essayais d'aller la voir le plus souvent possible, elle me manquait terriblement. Alex m'avait aidée et soutenu pour aller de l'avant, même si j'avais mal, j'avais fait un grand pas en avant.

- Es tu prête à devenir madame Carter, princesse, me demanda Alex me sortant de ma rêverie.

En effet, dans 3 jours, j'allais officiellement devenir sa femme. Nous n'avons pas pu le faire plus tôt car, nous avons eu de nombreux problème concernant l'Organisation. Mais c'était maintenant derrière nous.

Je me tourna lentement vers lui, sa chemise blanche aux vents, je lia mes yeux au siens puis je lui avoua :

- Je n'es jamais été autant prête et autant stressé en même temps.

- Tu n'auras qu'à me regarder moi, tout se passera bien, je ne te laisserais pas tomber princesse, me murmura t il.

- Je t'aime Alex.

Il me fit un grand sourire, puis il m'embrassa doucement, tout chez lui, me faisait trembler de bonheur, j'étais si heureuse d'être en sa présence, d'être dans ces bras

- Je t'aime aussi Elena.

Alex

Quand cette jolie jeune femme est arrivé dans ma vie, la seule chose à laquelle je pensais, c'était la mettre à la porte. Et puis maintenant dans 3 jours elle deviendra ma femme, lié à jamais à moi pour l'éternité.

Je n'imaginais jamais, que moi, Alex patron de la mafia, serait à ces côtés dans cette charmante clairière, ou l'on entendait les petits couinement des oisillons. L'air se rafraichissait doucement, je rapprocha alors Elena contre mon torse, puis soupira de bonheur dans ces longs cheveux.

Nous avions du faire fasse à de nombreux obstacle, mais l'amour qu'on se porte à chacun à toujours su rester plus fort.

Si on m'avait dit un jour que j'aurais le droit de gouter à été parcelle de bonheur, je lui aurait rigoler au visage. Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserves, mais je sais que le feu qui émane entre nous deux, ne s'arrêtera jamais, car je compte le préserver et en prendre grand soin.

Dans notre enfance on a chacun eu nos démons, et encore maintenant on se bat sans relâche contre eux. Elena, elle a du faire faire face au pire atrocité, quand à moi, je ne devais montrer mes émotions, sous peine de paraître faible, voir égoïste.

Mais, on s'est reconstruit, on s'est rencontré, on s'est aimé, et on s'aimera encore, sans relâche.

Nous avons reçu notre chance, alors saisissons là.