𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 27

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꧁ 𝐂𝐇𝐀𝐌𝐁𝐑𝐄 24 ꧂

⁂ 𝑨𝒍𝒆𝒙 ⁂
𝑳𝒆 𝒍𝒆𝒏𝒅𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒎𝒂𝒕𝒊𝒏.

Toujours accoudé au lit d'Elena, je m'étais un peu endormi. Les petits bip incessants de son coeur m'avaient gentiment bercés.

Elle n'avait toujours pas ouvert les yeux et il lui restait maintenant 12 heures. Je commençais à sérieusement m'inquiéter sur son état de santé.

Encore dans les vapes, je me redressais doucement. Ma nuit fus courte et agité, j'ai encore fait un cauchemar, dedans, on y retrouvait Jason en train de tuer Elena à l'aide d'un couteau. Et moi, assis par terre ne pouvant rien faire pour l'aider.

Je m'étais réveillé en sueur, tout mes cauchemars était en lien avec lui. Même mort, il continuait toujours à me faire chier. J'essayait de ne plus pensées à ça, préférant m'occuper de la seule personne qui accaparait toute mes pensées depuis des semaines. En y repensant, sa faisait déjà 2 mois qu'elle vivait chez moi et nous avons eu notre lot de surprise.

Surprisecela me faisait grandement rappeler son anniversaire. Celui, ou je n'avais pas même osé lui offrir mon cadeau devant Eric et Lia. Je le gardais toujours sur moi, cherchant un moyen de me rattraper, de me faire pardonner.

Je sortis de ma poche, une boite noire que j'ouvris délicatement puis prit le somptueux bijoux entre mes doigts. C'était un collier, emplie de diamant en forme de papillon. De l'extrémité toute petite au centre qui tomberait dans son cou, à un plus gros papillon.

Je rangea mon présent dans ma poche, car la porte s'ouvrit brutalement, sur un Eric complétement dérouté. J'exprima un soupir de soulagement quand je le vis, il s'en était sortit se con.

Je m'approcha de lui, lui offrant une tape amicale sur l'épaule, avant de le poussé au dehors, moi sur ces talons. On sortit hors de l'hôpital, je n'en pouvais plus de cette odeur écoeurante, alors, il s'assit sur banc, moi debout contre un poteau, j'étais resté trop longtemps assis. Je pris une cigarette de ma poche puis en proposa une à Eric, ce qu'il ne refusa pas. Je l'alluma, lui tendis le briquet puis pris quelques latte avant de commencer :

- Et bien, alors comme ça, tu es en vie.

- Il semblerait, marmona t il le regard dans le vide.

- Comment as-tu réussis à t'en sortir, lui demandais je.

- Et bien, commença t il, quand les coups de feu se sont fait entendre en haut, les hommes ont été distraits, ils avaient donc abaisser leurs armes. J'en ai profiter, pour tous les buter un à un. Puis, j'ai emmené Louise sur la moto, puis je les ramenées chez toi, termina t il.

Je grimaçais, je ne supportais pas le faites que Louise est été sur une moto. Elle avait la formelle interdiction d'y montée.

Je fusilla Eric du regard sur lequel il prit la parole sur un ton défensif :

- Eh, je n'avais pas les clés de la voiture. Donc à moins que tu voulais qu'on finisse dans ce trou à rat, je n'avais pas d'autre choix.

Je haussa les sourcils fasse à sa remarque désobligeante. Je lui étais quand même reconnaissant qu'il lui ai sauvé la vie.

- Merci, pour..Louise.

- Arh, se n'est rien t'inquiète fréro.

Je l'observa d'un air faussement menaçant. Je détestais se surnom, mais pour une fois je pouvais bien le laisser l'utiliser. Je lui fis une brève accolade puis je termina ma cigarette.

Corps et cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant