𝓤𝓷𝓮 𝓼𝓮𝓾𝓵𝓮 𝓹𝓵𝓪𝓬𝓮 𝓵𝓲𝓫𝓻𝓮..
Deux bourgeois acharnés qui vont devoir rivaliser pour avoir la seule place restante.
Aurore Kimber Mace vient d'être élue comme enseignante à l'université la plus prestigieuse d'Angleterre. Pendant une ann...
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𝓐𝓾𝓻𝓸𝓻𝓮
L'université est présentée par un design créatif industriel et des couleurs à tons neutres qui révélaient un milieu vif et étincelant. Les grandes fenêtres à coussièges rondes rehaussent la lumière du jour au cœur du grand hall manifestant l'anatomie du château.
Comme dans le château de la bête, dans — la belle et la bête.—
Je ne me laisserai jamais de re regarder ce dessin animé. Mon préférée !
Les couloirs s'imposent d'un géant stupéfiant envelopper dans des séries de divers options qui sont séparés en cinq étages. Sans manquer le décor qui nous flatte en premier aux yeux; les sculptures de bronze, en marbre et en plomb qui ornent l'espace sont collées au mur et simplement installés dans le centre du hall.
C'est bizarre, mais cet endroit sent l'odeur d'un mystère défraîchi. Une évidence voilée par une souffrance qui n'a pas l'air d'avoir été achevée. Comme si les statues avaient le droit à parole, ils nous auraient raconté cette épouvantable anecdote.
Un frisson parcourt tout mon corps. Cet endroit ne m'inspire pas du tout confiance. Il semble rempli d'intrigues lymphatiques, au quotidien le jus des péchés paraît encrassé dans l'air.
Mais qui m'a envoyé ici ? Je me sens presque dans un film d'horreur..
Je ravale mes pensées excessives et avance, relevant un peu plus cette nature auquelle je passerai tout une année scolaire. La positivité se dessine sur mes lèvres laissant tout mes craintes derrière mon dos.
Ma démarche est équilibrée et rassurée, je plisse mes lèvres dans le but de rafraîchir mon gloss. Pas besoin de rajouter une nouvelle couche, la marque de — fenty beauty — est irrésistible et dure des heures. Mes cheveux châtains foncés lisses sont ajustés en avant, sur ma poitrine.
Je rajoute mon sac — Valentino — sur mon épaule, l'autre sac contenant mes cours ainsi que mon ordinateur sont tenus par ma main. Mes escarpins.. oh.., je suis actuellement en basket, et ce détail suffit amplement à m'irriter. Sans mes escarpins je me sens pas dans ma hauteur encore moins dans ma era de « femme fatale. »
La preuve de ne faire confiance à personne, ni à son propre mari.
Je n'aurais pas dû lui accorder une tâche aussi importante pour moi. Mais ça m'apprendra. Je le ferai plus. Ma chair s'échauffe en me rappelant qu'à l'heure actuelle ils sont dans les mains de ce gamin.
Bon, revenons au détail de la découverte.
L'intérieur semble spectaculaire mais tout autant bordélique encombré du monde dans tous les coins possibles. Il faut savoir que même sans mes escarpins j'ai réussi à avoir tout les regards sur moi. — Ok, j'avoue qu'il y a à voir. —
