Chapitre 6

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18 ans plus tard, Provins, France, 1207

-Arnaud...Arnaud...allez lève toi paresseux !

-Hummm...Qu'est ce que tu veux Julie ? Le jeune homme se leva difficilement et à côté de lui se tenait sa sœur Julie, elle était assise sur le lit de son frère.

Elle avait un visage fin, des longs cheveux châtain clair, des yeux marron, elle était grande de taille, elle portait une longue tunique pourpre avec des bords marron clair, des chausses noir, à la taille elle avait une ceinture de cuir noir avec une petite bourse en cuir tempérament de feu mais malgré ça, réussissait à faire craquer le cœur des hommes du village mais elle n'en avait que faire. Tous disaient qu'elle était un mélange parfait entre la douceur de sa mère et l'autorité de son père.

-Lève toi ! Les parents nous font demander, alors dépêche toi avant que père ne vienne te sortir du lit...et tu sais qu'il aime le faire! Renchérit sa sœur avant de se lever et de partir de la chambre de son frère.

Le jeune homme se rallongea quelques secondes, puis sortit de son lit et s'habilla. Il mit une chemise de couleur crème, un pantalon noir, un capuchon marron clair et des bottes de cuir foncé, il mit également un foulard bleu autour de sa taille ainsi qu'une ceinture en cuir clair avec une sacoche de couleur clair et un fourreau pour y ranger sa dague. Il mit aussi deux brassards noir et fit les lassés pour bien les maintenir serrer sur ses avant-bras puis descendit l'étage et alla rejoindre ses parents et sa sœur dans la pièce à vivre. Le jeune homme était grand de taille et large d'épaule, il avait les cheveux court, des yeux bleu -vert, un visage plus arrondit que celui de sa sœur avec une jeune barbe au poils foncé.

Dans la pièce centrale il n'y avait que Franck assit à la table entrain de finir de manger.

-Bonjour père, ou sont mère et Julie ? Demanda le jeune homme.

-Bonjour fils, elles viennent de partir pour le marcher tu les à loupé de peu ! Dit le chef de famille

-Dommage, bon que faisons-nous ce matin père ?

-J'ai besoin que tu ailles chassé ce matin, nos réserves de viandes diminuent et il faut des peaux pour ta mère et ta sœur au marché ainsi que des ossements également, peux-tu faire cela ?

-Bien-sur père, je m'en occupe de ce pas ! Répondit Arnaud

-Très bien fils !

Le jeune homme commençait à se préparer quand son père l'appela.

-Fait attention aussi aux voleurs et brigands de long chemin ainsi qu'aux mercenaires qui se cachent en forêt, je sais que tu feras attention mais je préfère te prévenir quand même! Dit le père de famille

-Je ferais attention père, je te le promets ! Répondis le jeune homme

Sur ce Arnaud se prépara, il s'équipa de son carquois dorsal , y mit une dizaine de flèches dedans, il prit sa dague et la rangea dans son fourreau, prit son arc et partit dans la forêt à la recherche de gibiers. L'endroit était luxuriant, les oiseaux chantaient dans les arbres, le soleil rechauffait l'air frais du matin de ses rayons ardents, un petit ruisseau coulait non loin laissant son chant relaxant bercer les environs. Le jeune chasseur profita de cet instant agréable puis se remis en chasse en quête de viandes et de peaux. Il grimpa le long d'un immense arbre, il assura ses prises, s'aida des branches pour caler ses pieds et se hissa jusqu'à une branche plus épaisse et plus résistante que les autres .

Une fois dessus il assura son équilibre et une fois celle-ci trouver, il observa les environs à la recherche de proies. Quelques minutes lui suffire pour repérer un lièvre entrain de manger, il prit une flèche dans son carquois, l'encocha à son arme, banda la corde controla sa respiration, assura sa prise sur son arme et une fois sur de lui, il décocha...la flèche fendit l'air et finit sa course folle dans le cœur du pauvre animal qui mourut sur le coup.

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