Assassin's Creed Inquisiton

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Les jeunes gens regagnent la maison familial, une fois devant un faucon vient se poser sur la barrière qui entoure la maison et accueille le frère et la sœur par un petit cri tout en déployant légèrement ses ailes. Il s'agissait d'un faucon pèlerin, son ventre de couleur crème était tacheté de noir, le dessus lui était de couleur marron foncé, son bec lui était jaune sur la base et gris sur la pointe, ses serres court mais puissant pouvaient attraper des rongeurs de taille  moyenne.

-Bonjour à toi aussi Neven! Dit Arnaud a son rapace

-Toujours à parler à ton oiseau, tu sais qu'il ne te répondra pas mon frère!

-Je sais mais ça ne coûte rien d'essayer ! Dit-il en souriant

Julie sourit à la réponse de son frère et rentra dans la maison laissant son frère seul avec le volatile.

-Elle ne pensait pas ce qu'elle a dit rassure toi mon ami !

Le volatile pencha la tête sur le côté et poussa un autre petit cri avant de prendre son envol. Le jeune homme regarda son compagnon ailé partir et rentra lui dans la bâtisse. Une fois à l'intérieur, il vit sa sœur dans les bras de leur mère qui l'examina, leur père juste derrière eux qui les regarda les bras croisés, soudain Catherine se tourna vers son fils qui venait de rentrer, elle avança vers lui et le regarda de bas en haut.

-Arnaud ! Regarde toi, tu as des bleus et tu saignes ! Dit la mère inquiète par l'état de son petit garçon.

-Tout va bien mère, je t'assure ce n'est rien! Répondit le jeune homme en souriant à sa mère.

-Va t'asseoir...aller dépêche toi ! Lui ordonna t'elle

Arnaud regarda sa sœur qui osa les épaules comme pour lui dire qu'elle ne pouvait rien pour l'aider, il finit donc par obéir et s'assit, sa mère revient avec des onguents et une bassine d'eau et commença à soigner le jeune homme, en   enlevant sa chemise le jeune remarqua un énorme hématome sur son flan droit.

-Il n'y a pas étais de main morte cette fois ! Dit le père de famille

-C'est vrai mon frère bien aimé a même fait la connaissance avec le comptoir du vieux Michel ! Dit Julie pour se moquer de son frère

-Très amusant Julie !

-Quoiqu'il tu t'es bien battu mon fils, je suis fière de toi !

Les mots prononcé par le chef de famille firent plaisir au jeune homme, et pendant que Catherine continuait de le soigner, elle entendit son fils raconter ce qui s'était passer

-Tu es trop imprudent mon fils, ta passion finira par te consumée un jour ou l'autre! Pensa la mère de famille.

Peu après les soins terminer, Arnaud alla s’assoir dehors sur le banc accoler à la maison et regarda les gens aller et venir, il resta là tout le reste de la journée et rentra une fois le soir venue, à l'intérieur une délicieuse odeur de poulet rôti parfumé la maison, tout le monde se mirent à table qui était charger de victuailles: Pain, fromage, raisin, viande, Cruche de bière.

-Eh bien en voilà un repas digne d'un roi, et c'est en quel honneur ? Demanda Arnaud

- Ne me dit pas que tu as oublié notre date d'anniversaire ? Répondit l'air Julie l'air faussement choqué.

-Non...je !

-Mais oui mon frère nous te croyons tous ! Rajouta-t-elle en rigolant

Le jeune homme sourit et poussa sa sœur de l'épaule, les jumeaux commencèrent à se chamailler mais furent reprit calmement par leur père, et le repas se poursuivit dans la chaleur et la convivialité habituelle. Soudain Franck se leva et pris sa chope en main et la leva au dessus de sa tête

-Je lève ma chope à vous mes enfants, vous êtes ma plus grande fierté mais aussi mon plus grand combat en tant que père...à votre dix-huitième anniversaires mes enfants ! Dit l'homme de sa voix forte et puissante, tous l'imitèrent et reprirent leur repas, la soirée se passa à merveille, les jumeaux se remirent à se chamailler se qui cette fois fit rire les parents.

À la fin du repas, la nuit était tombé sur le village, les jumeaux débarrassèrent la table, il n'y resta qu'un bougoire en bois avec quatre bougies presque consumées à l'intérieur. Franck appela ses enfants à le rejoindre dans son bureau, la pièce était petite rempli de livres anciens posés sur des étagères, des parchemins rangés dans une bibliothèque, un bureau et trois chaises de bonne facture était également présent, Franck alluma des bougies pour éclairer la pièce et invita ses enfants à s'assoire et en fit de même.

-Bien aujourd'hui vous avez célébrer votre dix-huitième anniversaire vous êtes en âge de connaître la vérité.

-La vérité ? De quelle vérité parlez vous père ? Demanda Julie

-Je vais vous racontez une histoire...Il y a bien longtemps...

Le père de famille commença donc son histoire, il fit mention de deux ordres ancestraux qui sévissent dans l'ombre depuis des millénaires l'un cherchant à protéger les innocents et le libre arbitre et se prénommant: la confrérie des Assassins, et de l'autre, leur ennemis  de toujours cherchant le contrôle et le pouvoir afin de guider les peuples sous le règne d'un ordre mondial unique: Les templiers.

Et pour réussir dans cette guerre, les deux factions cherchent des artefacts ancien appelé: Fragment d'Eden, laisser par une antique civilisation connu sous le nom de: Précurseurs, une civilisation qui aurait précéder l'humanité.

-Voilà vous savez tous ! Dit Franck

-Cela ressemble à un compte pour enfant père ! Dit la jeune femme

-Je dois bien reconnaître que Julie a raison ! Renchérit le jeune homme

-N'oubliez jamais que les contes et légendes sont toujours issue de vérité, quoiqu'il en soit je vous poserez la question qu'une seule fois: Acceptez vous de rejoindre la confrérie et de lutter pour une cause juste ?

Les jumeaux se regardèrent dans les yeux et réfléchir un moment puis Julie donna la première sa réponse

-J'ai conscience du poids d'un tel choix et des conséquences que cela peux faire, mais je ne rejoindrais pas la confrérie, j'admire leur dessin mais je ne me vois pas tuer des gens à la place je vous fournirez des renseignements et une cachette grâce à une auberge dont je suis devenue la propriétaire en plein coeur de Paris.

Le père de famille acquiesça de la tête et reporta son attention vers son fils

-Et toi fils ?

-J'accepte de la rejoindre et de devenir un  assassin ! Repondit le jeune homme