Chapitre 14

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Le soleil traversais à peine les rideaux, lorsque mon alarme à sonner.

Mon père dormait toujours à point fermé sur son lit, attendant que son réveil le sorte de son sommeil.

Je me précipita dans la salle de bain, enfin un ensemble d'entraînement confortable et sortit courir un peu.

Je sortis de l'hôtel au pas de course et pris une rue adjacente à l'hotel.

J'enfonça mes écouteurs dans mes oreilles et prit le chemin que nous avion pris pour nous rendre à la piste

Le chemin de béton me permis de courir à une constance régulière, durant une quinzaine de minutes.

Je reviens alors sur mes pas, pour revenir à l'hôtel.

Celle-ci était bien calme, ce matin et seuls quelques personnes marchaient dans le hall.

Courir m'avait permis de vider mon esprit, quand à cette journée qui serait surement dur en émotion.

J'arriva dans la chambre, encore un peu essoufflée de ma course et m'étala sur mon lit.

Mon père se frottait les yeux, surement du à mon apparition soudaine dans la chambre.

Je pris quelques gorgées de ma bouteille d'eau et m'assis sur le bout de mon lit avec les jambes croisées.

Observant la photo et me remémorent tous mes souvenirs.

C'était la dernière photo que j'avais reçu de lui, à l'intention de son anniversaire, un an auparavant.

Elle m'avait laissé cette photo et un petit mot, au dos.

Merci de m'avoir pris sous ton aile avec ta mère, nos chemins se sont séparés, faute d'être trop différente. Mais Jack ne t'en voudras jamais pour sa.
À la prochaine Lily

Je ne lui avais pas reparlé, ni écrit rien. Aucune interaction n'avait était fait de mon côté.

Je ne voulais plus rien savoir d'elle.

Voilà tous ce que je gardais de mon amitié avec Gabriella, un mot derrière une photo.

J'aurais au moins du, lui envoyer un message, mais la rancoeur que je gardais pour elle était trop grande.

Ce qui est passé et passé et je ne pourrais dorénavant rien y changer, même si je le voulais.

Le petit creu dans mon coeur qui me dit que j'aurais du lui pardonner, se fait un peu plus grand maintenant.

Bref, je me lève et dépose la photo dans ma valise, avant de m'activer à ramasser mes choses dans la chambre.

Mon père reste ici une journée de plus et vient nous rejoindre à Monaco, demain dans la soirée.

Quelques heures plus tard, je me retrouve dans les garages McLaren, les garçons enfin prêt à démarrer les moteurs.

Assise sur mon tabouret, j'observe attentivement l'écran qui se trouve au dessus de ma tête.

UN....DEUX......TROIS.......QUATRE.......CINQ......Lumière s'éteignent et nous sommes partis pour le Grand Prix d'Hongrie.

Les voitures s'élancent et comme à l'habitude mon stress reste présent.

Plus le temps passent, plus mon mal de ventre grandit.

La red bull de Max Verstappen, suivis de Lando, Sergio, mon père et Oscar passent la ligne d'arrivée.

À peine, ont-ils eu le temps de sortir de la voiture que je cours vers la salle de bain.

Je rends mon déjeuner et reste dans la salle de bain pendant une quinzaine de minutes.

À toute vitesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant