Kyle & Mia

Chapitre 1-2 : Point de vue

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-Chapitre 2-
Point de vue
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Los Angeles
Manoir de ???
{???}
13h53
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Je suis assis sur une chaise en cuir devant mon bureau occuper à trier des papiers et des dossiers.

J'entend alors un toussement qui me fait lever mes yeux des feuilles et regarder cette personne. Qu'est-ce qu'elle fait là elle ?

- Coucou chérie. Dit Candy.

Je souffle, je regarde à nouveau mes feuilles tout en l'ignorant.

Elle s'approche alors de moi et passe derrière moi en glissant ces doigts sur mon bras jusqu'à arriver à mon épaule. Elle passe ensuite ces bras autour de mes épaules.

- T'es juste ma copine, ça ne t'autorise en rien de venir dans mon bureau pour me déranger. Je dit d'un ton froid.

Elle penche sa tête sur le côté en me regardant dans les yeux, je détourne le regard et je dégage ces bras de mes épaules.

- Dégage. Je dit toujours avec le même ton.

Elle fronce les sourcils et passe à côté de moi pour finir assise sur le fauteuil en face de ma table. Je vais lui mettre une balle entre les deux yeux elle me casse les couilles.

- Je ne bougerais pas tant que tu ne viens pas avec moi en dehors de ce bureau. C'est-à-dire, dans la chambre. Elle dit en faisant des cercles sur la table et en croisant ces jambes.

- Tu pète les couilles bordel. Dégage sinon je te fait dégager. Je dit en sortant un couteau de sous la table.

Elle me regarde avec des yeux de chien battu en râlant.

- Mais chérie... Elle dit avec une voix très aigu. Je te veux moi. Tu me manque. Elle dit en se redressant.

C'est bon, j'en ai marre. Je me lève d'un pas dangereux en m'approchant d'elle et en la prenant par le bras.

Elle le regarde avec des yeux qui brille. Oh ma chère, ton sourire va vite disparaître.

Arriver devant la porte, j'ouvre celle-ci en la foutant dehors.

- Prend la porte de derrière et dégage avant que je te bute. Je dit en la fusillant du regard.

Elle me regarde avec une mine triste.

- Mais Kyle, je voulais juste que tu sois à mes côtés, que tu sois comme quand nous nous sommes rencontrer. Tu étais si gentil devant ma famille en ne me lâchant pas une seconde du regard, et tu souriais beaucoup aussi. Elle dit en croisant ces bras.

Je lève les yeux au ciel en secouant la tête de gauche à droite avant de claquer la porte à son nez. Qu'est-ce qu'elle est chiante.

Je tourne les talons en me dirigeant à mon siège que j'occupai il y a, à peine quelques seconde, et je m'asseoit dessus en reprenant les feuilles. Qu'est-ce que je déteste la voir dans mon bureau.