Chapitre 19

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Je me relevais alors et observa qu'elle était immobile. Elle dormait.
J'ai du rêver
Pensais-je.
Je me rallongeais avec raideur et eue du mal à trouver le sommeil. Je pensais au fait que si je lui disais elle allait peut être me juger, ou alors qu'elle avait vraiment dit « moi aussi ». Mais malgré tout cela, je m'endormis à ses côtés, la tête enfouie dans ses cheveux blanc pur.

Le lendemain, c'est Ashley qui me réveilla. Nous étions vendredi et le nombre d'examens avais baissé, nous n'en n'avions que deux. Les deux examens étaient ceux de nos options. Pour moi, stylisme et dessin. Pour le dessin, j'étais assez confiante. En revanche pour le stylisme elle risquait de nous demander de faire un vêtement grâce à un patron donné et de le faire dans l'heure.  Mais heureusement, le premier examen fut celui de dessin. Comme je le pensais je le réussi bien et je m'attendais donc à une bonne note. Et contre toute attente je m'en sorti pour l'exam de stylisme.

Une fois à la maison, Ashley m'informa que aujourd'hui c'était le dernier jour d'exam. Un soulagement pouvait probablement se lire sur nos visages.

Lorsque nous nous sommes assises sur le canapé un blanc s'installa entre nous. Je ne savais pas à quoi elle pensait mais au bout que quelques minutes j'eus le courage de demander :

- Tu te souviens de ce que je t'ai dit hier soir ?

- Non, a quel moment ?

- Le moment ou tu m'a répondu moi aussi.

Elle semblait avoir compris mais le nia. Alors je lui rafraîchi la mémoire.

- Hier soir je t'ai dit, je t'aime. Et, j'ai peut être rêvé mais je crois que tu m'a dit moi aussi.

Elle rougissait de plus un plus mais se rapprocha de moi. Elle posa sa tête sur mon épaule puis me dit :

- Je ai effectivement dit moi aussi. Je t'aime de toute mon âme et ce depuis que je t'ai vue. Tu a rempli mes journée de bonheur.

Ses mots me rendirent ému et je la rejoignit dans ses bras. La tête posée sur son épaule je sentais le parfum de ses cheveux soyeux. C'était un peu... sucré. Envoûtée par son étreinte je me donnais du courage alors je me relevais et me mis en face d'elle. Par réflexe elle se leva également et j'attrapa doucement le bas de sa tête pour l'emmener vers moi et l'embrasser. Plus rien ne semblais exister autour de nous, plus rien d'autre que du bonheur et de l'amour.

La FélineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant