Chapitre 18

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16 Mars,

Djeddah

Daniel : Ce n'est pas grave... Aloïs ? C'est bien toi ?

Aloïs : Daniel ?

Daniel : Mais qu'est-ce tu fais ici ma belle ? Non mais je n'en revient pas, cela fais tellement longtemps. Qu'est-ce tu deviens ?

Aloïs : Je suis ici pour le travail mon cher. C'est vrai que cela fais super longtemps. Bah, écoute pas grand chose, je boss pas mal en ce moment.

Daniel : D'accord, quand que cela te plait. Je suis désolé, je suis attendu mais ça m'a fais trop plaisir de te recroiser ici. bizz

Aloïs : Pas de soucis, t'inquiète je comprend. A plus. bizz

Je sort donc du paddock et rejoint ma voiture pour rentrer à l'hôtel.

Je suis enfin dans ma chambre, j'ai l'impression que cela fais deux jours que je ne me suis pas poser. Mais il ne faut pas que je dorme tout de suite, il n'est que 16h.

Je décide donc de me changer pour des vêtements plus confortables le temps de travailler un peu avant d'aller me préparer pour ce soir.

J'ouvre mon ordinateur, répond aux mails auquel je n'ai pas répondu ce matin puis je continue avec mes recherches pour les différents événements pour la F1 donc avec Alpine et avec la FIA mais également pour un mariage que j'organise et qui a lieu au mois de juin.

Après plus de 2h de recherches, je décide de faire une pause quand j'entends quelqu'un toqué à ma porte. Le bruit me fait sursauter mais je décide d'aller ouvrir. Surprise, je tombe sur Pierre.

Aloïs : Salut, je t'en pris entre.

Pierre : Salut, merci. Je te cherchait après les Essais 2 mais on m'a dit que tu as préféré venir travailler ici.

Aloïs : Ah mais dit-le si je t'ai manqué.

Pierre : Un peu mais il ne faut pas le dire, bon je dois t'avouer que cela m'a fait bizarre d'être si peu proche de toi aujourd'hui après tous ces jours passer presque coller h24.

Au lieu de lui répondre, je lui fait un énorme câlin. Parfois je trouve que les mots ne suffisent pas pour montrer ce que l'on ressens et les gestes illustres mieux. 

Je sens d'un coup que mes pieds ne touchent plus le sol, ces mains viennent ce placer sous mes cuises. Je décide donc de les remonter sur ses hanches, je me sens bien à ce moment précis dans ses bras. Il nous emmène jusqu'au lit où il me fais tombé et viens se placer au dessus de moi. 

Je sens qu'il a qu'une envie, c'est de m'embrasser mais il n'ose pas. Je fais donc le premier pas, je place mes mains derrière son cou, je l'embrasse langoureusement. Il ne refuse pas et répond même à ce baiser. Je ressens toute la frustration de la journée qui s'en va avec ses baisers.

Nous nous relevons et je part dans la salle de bain en le laissant sur le lit dans ses pensées.

Je prend une bonne douche, je me lave les cheveux puis sort de la douche. J'enfile une serviette autour de mon corps et une autre dans mes cheveux. Je ressort ensuite de la salle de bain pour aller regarder les tenues que je pourrais mettre ce soir.

Je rentre à peine dans la chambre que je sens un regard lourd sur moi, Pierre est toujours là. Je le regarde dans les yeux, je suis déstabilisé mais lui est tout le contraire. Son regard est chaud comme la braise.

Je me lève et me dirige vers lui mais il me stop directe.

PARTIE NON RÉSERVE POUR LE PUBLIC LE PLUS JEUNE.

Croire en ses rêvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant