Chapitre 34

47 1 0
                                    

16 Juin,

Paris

Nous nous retrouvons deux semaines après le GP de Monaco, deux semaine durant lesquels je me suis que très peu reposée puisque dès le lendemain de mon retour sur la capitale j'ai attaquée les derniers préparatifs pour le mariage qui a lieu à partir de demain.

 Entre rassurée les mariés et gérer les petits caprices/ disputes avec les beaux parents qui veulent être trop présents dans l'organisation. Pour ma part, je ne peux rien dire et c'est même un plaisir d'avoir des gens qui s'investissent dans l'organisation mais ce n'était visiblement pas pareil pour la mariée. ce qui a donner lieu à quelques disputes, j'ai donc joué les intermédiaires pour calmer la situation.

Donc comme vous pouvez vous en doutez, je n'ai que très peu eu le temps de me poser et de réfléchir à la situation avec Pierre.

Enfin bref, revenons à aujourd'hui. Il est actuellement 18H45 donc la journée est déjà passer, j'ai principalement travaillé sur les événements des GP. Il donc maintenant l'heure d'arrêter pour aujourd'hui et d'aller préparer mon sac puisque je part demain très tôt sur le lieu des festivités qui par chance n'est qu'a 1H de chez moi.

Je ne reste pas longtemps sur place, seulement la journée de demain, j'ai donc juste à prendre deux tenues. Une pour la journée avec les préparatifs et une autre pour la soirée histoire d'être un minimum habillée pour l'occasion.

Je ne tarde pas après ça à aller manger puis je part dans mon lit pour dormir un maximum avant le journée speed de demain.

__________

17 Juin,

Paris

Je me suis levée à 7h du matin, je me suis habillée et suis partie. Il faut absolument que je sois arrivée avant 10h car je dois voir la surprise des mariés avant que leurs parents n'arrivent et là voient à la salle. Oui les parents des deux mariés ont insisté pour venir avec moi tout installé. Ce n'est pas habituel mais cela ne me dérange pas, ils veulent s'investir mais par contre il ne faut pas qu'il m'empêche de faire mon travail.

La route se passe bien et j'arrive devant la salle, c'est une nouvelle salle avec qui je collabore et j'en suis très contente. Je viens de me garer et je vois au loin la voiture qui viens me montrer la surprise comme promis par les mariés pour leurs invités, je vois une petite boule de poils me sauter dessus, un bébé berger australien. 

A peine le temps pour moi de poser mes affaires dans la salle que les parents des mariés arrivent, je les réunis au centre pour commencer un briefing.

__________

Il est maintenant 14h45, nous avons terminé la mise en place de la salle depuis un peu moins d'une heure. Je sais, ça peut paraître long mais il y a non seulement beaucoup de choses faire mais les parents des mariés n'était pas non plus d'accord sur comment placer la déco dans la salle. Je suis donc intervenu pour dire que les mariés ont décidés de la déco et de où les mettre sauf que les personnes d'un certain âge ne voulais pas m'écouter, bien trop occupé à se battre pour savoir où mettre les objets les plus futiles de la déco. A la fin j'ai perdu patience et calmement je leur demande :

Aloïs : Écouter, j'ai accepter que vous veniez m'aider à la déco mais ce n'était pas que vous vous battiez pour savoir où mettre les mini perles. Donc je vais vous le dire une derrière fois que les perles ce mettent dans les vases qui sont ici et non pas a même les tables comme ce qui a été vu avec les mariés.

Carole (mère du marié) : Alors vous n'êtes personne donc je ne vous autorise aucunement à me parler comme vous le faite, vos propos vont leur être répéter et je ne garantis pas que cela va leur faire plaisir de savoir que vous nous parler mal. Et puis je m'en vais, aller viens Gilles.

Martine (Mère de la mariée) : Je vous prie de nous excuser, c'est vrai que sur ce coup là, nous ne sommes que des enfants. Pour ma part, je reste vous aidée.

Aloïs : Merci madame, je ne voulais pas les faire partir, seulement dire que vos enfants ont choisi la déco et que j'aimerais qu'il est ce qu'ils ont demandés.

Martine : Ne vous inquiété pas, je ferais en sorte de leur dire que vous avez fait de votre mieux au vu des "éléments perturbateurs" qui devais vous aidé.

Vous avons ensuite fini, à deux au lieu de quatre.

Pas le temps de chaumer, j'enchaine directement sur l'accueil des différents prestataires, leur montrer où ils doivent s'installés mais également je ne dois pas trainée puisque je suis attendu à la mairie avec le photographe.

__________

Il est maintenant 21h passé, la mariage s'est bien déroulé jusqu'à présent, tout ce passe comme prévus. Je suis légèrement en retrait, je veille juste à ce que tout se passe bien quand d'un coup je vois la mariée s'avancer vers moi.

Mélanie (la mariée) : Aloïs, on m'a fait part ce qui c'était passé cette après-midi sur l'installation de la décoration.

Aloïs : Je suis vraiment désolé mais j'ai essayée de tout mettre bien comme vous le vouliez mais avec des parents de mariés qui veulent absolument à leur manière, c'est quelques peu compliqué.

Mélanie : Ne t'excuse pas pour eux, ce sont eux qui ont choisi de partir. Ne t'en fait pas, je sais que tu as fait ton possible. Ma mère m'a également dit que vous aviez terminé à deux puisqu'ils sont partis. De ces dires, tu es rester très calme alors que les parents de Thibault t'ont poussé à bout et c'est pour cela que je suis là, pour te félicité.

Aloïs : Donc il ne sont pas venues vous voir pour vous dire que j'étais la pire des connes et que j'étais pas assez bien pour organiser votre mariage.

Mélanie : Non et puis ils ne savent pas tout ce que tu as fait et rendu possible pour que notre mariage est lieu aujourd'hui et dans cette salle.

Aloïs : Merci beaucoup, aller retourne voir tes invités et surtout profite, ça n'arrive qu'une seule fois dans une vie.

Elle retourne donc vers ses invités, une grand sourire au lèvre. Quand à moi je fais des aller-retour entre les cuisines et la salle pour voir si tout ce passe bien. C'est le cas donc je décide de m'accorder une petite pause pour aller prendre l'air quelques minutes.

Une fois dehors, je prend une grande inspiration. Cette air frais qui entre dans mes poumons me fait un bien fou, c'est comme si je revivait après ces longues heures passés à ne plus vivre finalement, puisque pendant que je travaille ne pense plus à moi ni à ma vie mais seulement à ce que je dois faire.

J'entends par la suite des rires arrivés vers moi, des rires adolescent qui de part leur innocence rit simplement, avec le cœur. Ils arrivent vers moi, main dans la main et me regarde presque comme si j'étais folle, alors que je les regarde avec envie, l'envie de pouvoir vivre la même chose à mon tour. Je les regarde avec un sourire, la joie de voir encore une fois que l'amour, le vrai existe et n'est pas que voué à l'échec, à la colère, la tristesse, à la toxicité mais c'est bien plus que tous ça. Quand on aime, on vit pour la personne, on a ce besoin de l'avoir près de nous tous les jours de notre vie. Aimer, c'est prendre des risques, c'est tout quitté sur un coup de tête parce que ça en vaux le coup, c'est avancer unis dans l'inconnu.

Croire en ses rêvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant