Chapitre 10

72 2 0
                                    

31 Janvier,

Paris

Après avoir déjeuner, nous sommes partis nous préparer en vitesse vu que Pierre a décider de venir avec moi à mon rdv, ce qui m'enchante beaucoup.

Voici comment Pierre est habillé

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Voici comment Pierre est habillé.

Et voila comment je me suis habillée

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Et voila comment je me suis habillée.

Une fois prêt, nous sortons de l'appartement et allons chercher ma voiture, j'ai décidé aujourd'hui de sortir ma fiat 500 qui est aussi ma toute première voiture qui s'avère très pratique quand tu vis à Paris.

Aloïs : J'espère que tu ne vas pas m'en vouloir mais aujourd'hui, nous allons voyager en fiat 500.

Pierre : C'est pas vrai, tu me fais une blague hein. Tu sais quand même que je ne vais pas monter dans cette voiture de Pétasse assumée.

Aloïs : Mais ce n'est même pas vrai, elle est très belle tu vas voir.

Nous arrivons devant et j'ouvre ma portière, je regarde Pierre qui m'a tout l'air perplexe.

Nous arrivons devant et j'ouvre ma portière, je regarde Pierre qui m'a tout l'air perplexe

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Aloïs : Aller monte, tu ne vas quand même pas y aller à pieds.

Pierre : C'est bien parce que je ne veux pas y aller à pieds. Non mais elle est rouge en plus de ça, genre rouge Ferrari.

Aloïs : Bah oui, je ne fais pas les chose à motiée et je ne t'avais pas dit que j'étais une fan de Ferrari et surtout de Charles aka ton meilleur pote. Je ne me serais pas fait chier à me rapprocher de toi sinon.

Je dit ça en rigolant ce qui le fait rire aussi. Nous sortons du parking et partons en direction du rdv.

Une fois arrivé à destination, je me tourne vers Pierre qui fait une tête de dépiter pourtant il a juste vu la devanture et celle-ci ne représente absolument pas ce que nous allons faire ce matin.

Aloïs : Je sais ce que tu pense mais ce n'est pas ça du tout.

Pierre : C'est ça, tu vas me dire que nous ne sommes pas venue pour faire du shopping dans cette boutique de robe de mariée.

Aloïs : Alors si en partie mais pas totalement, orh et puis fais moi confiance un peu.

Nous sortons de la voiture et entrons dans le magasin, nous sommes accueilli par une jeune femme qui doit être stagiaire puisque je ne l'ai jamais vu ici.

Aloïs : Bonjour, j'ai rdv avec Maëlle à 11h.

??? : Bonjour,  vous... vous êtes Aloïs Henry, je vous l'appel tout de suite. Je voulais vous dire que c'est un honneur de vous rencontrer en personne et que je vous admire pour ce que vous faite.

Aloïs : Tout à fait, merci beaucoup c'est très gentil.

Elle part en direction du fond du magasin, je vois Pierre ce poser des questions.

Aloïs : Aller accouche, dit-moi le fond de ta penser.

Pierre : Rien, je ne me dit rien à part que tu es connu dans ton milieu. Je ne pensais pas ou du moins pas autant.

Aloïs : Bah écoute, on est une star ou on ne l'est pas. Et puis je te signale que je ne suis pas super connu dans le milieu c'est principalement dans la région.

Pierre : C'est déjà pas mal du tout, putain je viens de réaliser si on est ici c'est que tu vas essayer des robes de mariées et les gens vont penser que si je suis avec toi c'est que je vais me marier avec toi.

Aloïs : Alors déjà je t'arrête tout de suite, tu peux être là en tant qu'amis et puis si je me mariais avec toi tu ne verrais pas la robe avant le jour-j.

Pierre : Ça se fait encore ce trucs là, je pensais que c'était juste pendant le moyen-âge.

Aloïs : Alors dit aussi que je travaille comme un moyen-âge, je ne te dirais rien. C'est une pratique qui se fait toujours, alors plus tout le monde le fait mais certains oui.

Nous sommes coupés par l'arrivée de Maëlle accompagnée de la demoiselle qui nous a accueilli tout à l'heure.

Maëlle : Bonjour Aloïs, bonjour Pierre. Tu ne m'as pas menti quand tu as dit que tu serai accompagnée et qu'il fallait vous privatiser le magasin.

Aloïs : Bonjour, je t'avoue que j'ai préféré te prévenir au cas où.

Pierre : Bonjour, ne vous inquiété pas si jamais il y a du monde, je sortirais faire des photos ça ne me dérange pas la moins du monde.

Maëlle : Parfait, alors comme vous êtes arrivés et comme toujours à l'heure. Nous allons pouvoir commencé.

Aloïs : Allons-y, et oui tu le sais moi je suis toujours à l'heure si un jour je ne suis pas vous avez le droits de me faire la moral.

Pierre me demande discrètement ce que nous allons faire ce qui me faire rire mais je décide de ne pas lui répondre car il va comprendre très vite.

Nous arrivons à l'arrière de la boutique, dans une salle privée avec une grande table et un portant de robes.

Maëlle : Je vous en pris asseyez-vous.

Nous nous asseyions et commençons à discuter. Nous parlons des robes, de leurs formes mais également de costumes. Je sens Pierre un peu en recul et dans ces pensées donc je le fais revenir avec nous en posant ma main sur sa cuisse et en lui posant des questions, sur son avis, ses préférences. C'est pour cela que je voulais qu'il viennent, pour avoir un avis masculin que ce soit sur les robes mais également sur les costumes. Au bout d'une bonne heure, nous ressortons de la petite salle, j'ai réussi à bien avancé sur ce projet, je suis contente.

Nous sortons de la boutique et retournons dans la voiture, je lui demande ce qu'il en a pensé tout en démarrant.

Pierre : C'était vraiment intéressant, savoir toute les différences entre les différentes matières, les différents coloris et tout. Mais je peux te demander pourquoi tu avais rdv ici et pourquoi tu voulais que je vienne ?

Aloïs : Alors j'avais rdv ici pour la simple et bonne raison que j'ai pour projet de réaliser une petite collection de robes de mariée et tu vas me dire pourquoi dans cette boutique particulièrement et bien parce que je travaille avec elle depuis que j'ai commencée, c'est le tout premier prestataire à m'avoir fait confiance à part Lucie.

Lorsque je dis ça, je sens les larmes me montée et je vois bien que Pierre les a vu mais avant qu'il ouvre la bouche je continue.

Aloïs : Et je voulais que tu vienne parce que c'est toujours sympa d'avoir un avis déjà extérieur à tout ça mais en plus masculin. Donc voilà j'espère que cela ne t'a pas trop déranger mais maintenant je suis toute à toi enfin non mais tu m'a comprise.

Une fois arrivée au petit restaurant que Pierre a réservé ce matin, nous nous installons et commandons nos boissons.

Pierre : Bon je ne veux pas foiré le repas mais je trouve que nous ne nous connaissons pas assez pour paraitre un couple donc si tu le veux bien j'aimerais que l'on se partage notre passé, nos peurs ainsi que nos envies à tous les deux.

Et c'est comme ça que je me retrouve à raconter un partie de mon passé à Pierre, personne que je connais depuis quoi 2 semaines.

Croire en ses rêvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant