Croire en ses rêves

Chapitre 9

30 Janvier,

Paris

Pierre : J'arrive.

Il prend le téléphone et repart sur le canapé où il était précédemment, j'ai envie de le suivre mais je me ravise de peur qu'il se sente épier de part ma présence. Mais lorsqu'il me fais signe de venir à côté de lui, je ne perd pas une seconde et cours vers le canapé. Il met le haut-parleur, je dois donc faire attention à ne pas faire de bruit.

Jules : Mec, tu ne me cacherais pas quelque choses par hasard ?

Pierre : Bah non qu'est-ce que tu veux que je te cache ?

Jules : Je ne sais pas, que tu es à Paris avec une certaine Aloïs par hasard. Putain mais on vous a cramé avec Gabrielle vous auriez pu être plus discret au lieu de mettre exactement la même story bande de bouffons que vous êtes.

Pierre : Alors oui je suis à Paris mais je ne suis pas avec Aloïs désolé de vous déprimé ou je ne sais quoi mais je ne les jamais revu depuis le mariage. Je ne savais même pas qu'elle habitait à Paris.

Jules : Si tu n'es pas avec Aloïs, qu'est-ce que tu fais à Paris comme par hasard quelque jours après qu'elle soit revenu à la capitale pour soit disant des rdv importants.

A ce moment là il se tourne vers moi et me fait les gros yeux. Je chuchote donc.

Aloïs : Désolé, j'avais pas d'autres excuses sur le moment.

Pierre : Bah écoute, ça peut paraitre bizard et je le conçoit mais nous ne nous sommes pas revu.

Jules : Ok admettons que je te crois si elle t'envoyait un message là tout de suite, tu ferais quoi ? Tu répond ou pas ?

Pierre : Bah je ne sais pas, je ne suis pas dans la configuration mais pourquoi pas après tout on ne sais pas de quoi demain est fait.

Jules : D'accord et bah je vais lui envoyer un message et le lui dire tout de suite, on verra ce qu'elle va faire de son côté, c'est envoyé.

Au même moment, on entend mon téléphone sonner, je deviens toute rouge et cours l'arrêter.

Jules : C'est suspect quand même, je lui envoie un message et comme par hasard il y a un téléphone qui sonne chez toi.

Pierre : Hasard de dingue.

Jules : Ouais c'est ça moque toi de moi, mais je te préviens si vous avez parler ou quoi que ce soit je veux être le premier au courant de votre couple compris.

Pierre : Bien-sûr mais pas pour tout de suite, mais peut être un jour qui sait. Aller salut mec.

Jules : Salut.

Il raccroche.

Aloïs : On a eu chaud, mais c'est passer enfin j'espère et je lui est répondu.

Pierre : Grave mais tu lui a dit quoi ?

Aloïs : Que je réfléchissait pour t'envoyer un message parce que je ne savais pas si vu le nombre de dm que tu as si tu allais me répondre et te souvenir de moi.

Pierre : OK pas mal. Bon j'ai envie de jouer un peu plus avec eux en mettant les story genre ombre, tu en pense quoi ?

Aloïs : C'est parti.

Voici la story que j'ai publié avec le petit message suivant : Les lien que l'on tise avec certaine personnes sont fait pour être indescriptible et c'est la cas aujourd'hui, Now and for the eternity.

Celle qu'a publié Pierre avec le message suivant : Quand tu tombe amoureux de la lune, tu arrête de regarder les étoiles. Mais avec toi, c'est impossible tu es ma lune mais aussi mes étoiles.

Histoire de garder encore un peu secret mon identité, nous ne nous identifions pas.

Après cette évènement pas vraiment prévu, nous retournons manger puis nous allons nous mettre en tenue plus confortable afin de regarder un film tout les deux. A un moment, je sens que je commence à m'endormir, je sens que Pierre l'a bien vu et m'ouvre son bras afin que je me pose sur son torse. C'est donc ce que je fais et je sens qu'il commence instantanément à me faire des papouilles dans les cheveux.

J'ouvre les yeux, je vois que je suis toujours sur le canapé, je regarde l'heure : 3h du matin, j'essaie donc de me lever mais je suis prise au piège par un bras, un bras musclé. J'abandonne donc et me replace pour me rendormir.

POV PIERRE

31 Janvier,

Paris

Je me réveille doucement, je sens directement qu'il y a un poids sur mon torse. Je cligne plusieurs fois avant de réaliser que c'est Aloïs, ALOÏS est sur mon torse entrain de dormir. J'essaie de bouger le moins possible pour pas la réveiller mais cause perdu puisqu'elle bouge déjà, elle ouvre les yeux. Je détourne le regard pour pas qu'elle se sente observer de trop.

Aloïs : Bonjour, je crois que ni toi ni moi ne nous sommes senti partir dans les bras de Morphée. Désolé d'avoir pris toute la place sur ce bien petit canapé.

Pierre : Bonjour, effectivement. T'inquiète pas ce n'est pas grave du tout.

Vraiment ne t'inquiète pas, ça m'a fait plaisir de partager cette nuit avec toi Aloïs, je voudrais même recommencer dès que possible. Mais il ne fait pas que je pense à ça, ce n'est surement pas réciproque nous faisons ça pour embêter Gabrielle et Jules et puis même je ne suis pas prêt à ça, pas maintenant. Je dois rester concentrer sur la compétition, si je suis célibataire c'est pour ça même si c'est dur et je suis censé être triste, je me suis séparer il y a pas longtemps.

Aloïs : Bon allons prendre notre petit déjeuner, nous avons une journée bien rempli qui nous attends.

Elle se lève et je la suis jusqu'à la cuisine, nous déjeunons.

Aloïs : Je suis désolé mais j'ai un rdv de dernière minutes ce matin donc si tu veux tu peux aller te balader, je te laisse une clé fin tu fais comme tu veux, tu peux aussi venir avec moi. Il n'y a aucun risques, c'est dans des bureaux. Je ne t'oblige à rien et promis cette après-midi, on va se balader ensemble et restau ce midi.

Non mais je ne vais pas rester seul et encore moins chez toi, et puis en plus si je suis là c'est pour passer du temps avec toi Aloïs.

Pierre : Je pense que je vais préféré venir avec toi parce que je n'est jamais aimer me promener seul on ne sais jamais. Et puis, si il te voient arriver avec une star, ils vont t'accorder plus de trucs qui sais.

Aloïs : Cool, je t'avoue que j'espérais que tu vienne alors on a rdv dans 1h donc on se dépêche, le uber arrive dans 20min.

Pierre : C'est parti.

Je sens que je vais bien m'amuser aujourd'hui même si je ne sais pas du tout ce que ça peut être ce rdv de dernière minute. Si je savais ce qui allait m'attendre, je pense que je n'y aurais jamais cru, vraiment.