Chapitre 5

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POV : Antonio.

J'entendis mon réveil sonné et en tournant le tête vers celui-ci pour l'éteindre je vis qu'il étais à peine 8h30 mais même si j'avais une très forte envie de rester dans mon lit après la nuit longue et merdique que je venais de passer ; je devais me dépêcher de me préparer je devais me rendre rapidement à la cosa nostra, Matteo avais besoin de moi pour réglé une affaire urgente avec les Américain, putain c'est lui le plus vieux, ça devrais être lui qui gère ça pas moi.

Tout en insultant l'attardé qui me servais de frangin je me leva de mon lit bien décidé à finir toute ces connerie rapidement pour retourné dormir ; je prit mes affaires et partir prendre une douche, j'en avais bien besoin. Je sortis de ma salle de bain une fois complètement prêt et mis mes chaussures avant de descendre au garage et au passage je récupéra les clefs de la Ferrari, je pense que j'ai fait assez de moto pour la journée, voir la semaine.

Il étais tôt mais les rues de la ville étais déjà animé par tous les gens partant sûrement au travail, je roula rapidement pour me rendre au QG qui se trouvais vers la sortie de la ville. Il étais 9h30 quand j'arrivai à destination, le portail s'ouvrit automatiquement à mon arrivé ; une fois dans l'enceinte du bâtiment je me dirigea directement vers le bureau de Matteo histoire de régler ça rapidement, ça n'a même pas commencer que j'en est déjà marre , je toqua pour annonçais ma présence mais rentra sans entendre de réponse.

« - Antonio mon frangin préféré ! Comment va tu ?

- Oublie les politesses, je suis ton préféré seulement car je viens t'aider tu aurais dit le même choses a Miguel ; je veut finir ça rapidement je suis fatigué.

- Eh bien tu es de mauvaise humeur, tu aurais mal dormi ?

- Ça te regarde pas maintenant donne moi les détails du problème ou je me barre et tu te démerde tous seul pour gérer la situation, c'est clair ?

- Je sais que tu partira pas ta position au sein de la cosa nostra t'en empêche vu que tu es le chef.

- Mais elle m'empêche pas de te coller une balle entre les deux yeux, frère ou non, alors bouge.

- Toujours aussi aimable.

- Oh la ferme. »

Mon frère se mit a rire tandis que je me retenais de le tuer pour m'avoir déranger aussi tôt surtout si c'est pour se foutre de ma gueule chose que je ne supporte pas ; au lieu de rire comme une hyène il veut pas m'expliquer ?

Une fois le calme revenue Matteo repris son ton froid et sérieux habituel me signalant un manque des les cargaison qui provenais d'Amérique et que les américain refusez de nous expliquer comment c'était possible et refuse de nous remboursé pour la cargaison manquante, ces putain de ricains me casse les couilles il manquer 20 000 euro de came et ils ose dire que c'est pas eux ?!

Essayant de trouver une solution avec mon frère je tapa sur le bureau énerver qu'il refuse de m'écouter, c'est moi le patron pas lui. Je soupira et prit une clope avant de me mettre à la fenêtre et regarda l'heure sur mon téléphone il étais presque 11 heure, je fuma lentement car je n'avais en aucun cas envie de retourner à cette discussion sans fin avec l'autre attardé.

Une fois finit je retourna devant le bureau de mon frère j'avais décider du plan que j'allais suivre pour régler cette affaire et partie enfin du QG.

« -C'est simple je vais programmer une petite viré chez les ricains pour récupérer ce qui est à moi.

- Je suis pas d'accord, c'est encore moi le chef de cette partie du réseaux.

Mon trésorOù les histoires vivent. Découvrez maintenant