Chapitre 1

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Un jour, tôt le matin je me réveille, encore épuisée et en manque de sommeil. Je vais prendre ma toillette d'une démarche nonchanlente puis m'habille débardeur noir, cost en jean enfin je me suis maquillée légérement et mis ma perruque coupe carré.

 Je vais prendre ma toillette d'une démarche nonchanlente puis m'habille débardeur noir, cost en jean enfin je me suis maquillée légérement et mis ma perruque coupe carré

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Puis descends de ma chambre pour saluer ma famille.

Moi : Bonjour baba, bonjour habiba d'amour. ( m'adressant à ma merveilleuse maman )

Baba : Bonjour ma fille, est-ce que t'as prié ?

Moi : Oui baba . Mentis-je

Nènè (ma mère) : J'espére bien Maï ! Tu as bien dormi ?

Omar : (en chantant) Lamine Gueye avocat de tous les avocat, défenseur................

Baba :Omar!!! Hurla-t-il

Omar : Oui monsieur le président. Déclare-t-il d'un ton joueur.

Néné éclata de rire devant cette scéne.

Omar : Maï, si tu n'arrêtes pas d'étudier à 3h du matin les djiins gno lay lèke.
(les esprits vont te dévorer)

Moi: Ashtarfulla........... néné parle avec ce fou qui me sert de petit frère.

Mansata : Vous deux toujours à vous disputez, je me demande si c'est pas Maï ta vrai jumelle ! Dit Mansata à Omar du haut des escaliers.

Omar : ( en chantant ) Si tu m' aimes tu es jaloux! ...en déformant la chansons de dadju .

Moi : Wallaye tu es vraiment idiot!!!

Mon père nous regardait tous d'un oeil affectueux : discuter , rire en famille. C'était la famille Fall , ma merveilleuse famille en toute complicité.
Malgrés que Moustapha nous manque beaucoup.
Aprés nous nous regroupons au tour de la grande table du salon , un petit déjeuner nous attendait préparé par notre domestique tata Binetou, une gentille dame qui sert ma famille depuis de nombreuses années . À la fin de ce copieux petit déjeuner tous allèrent vers leurs occupations respectifs , ainsi était la routine dans notre demeure.

Quelques jours plus tard ....

Concentrée sur les explications du moniteur. Nous étudions les cas des violences conjuguales, plusieur femmes périssaient sous les coups de leurs maris, c'était si malheureux . Je fus sorti de mes pensées par une forte sonnerie de téléphone. Je me rendis compte que c'était le mien lorsque les regards agacés des autres se tournérent vers moi.




























































Moniteur : Mademoiselle Fall, je ne vous permet pas d' interrompre mon cours ainsi!

Moi: Je m'excuse monsieur, je sors y répondre s' il vous plait

il me lança un dernier regard meutrier avant que je me dirige vers la sortie génée .

Moi: Alloo! Habiba.

Néné : Allo Maï , faut que tu viennes toute suite ! Ton pére s' est évanoui dans son bureau .

Moi : QUOIIII!!!!!!!! Crier-je totalement choquée.

Néné: Viens à l'hopital Elhadji Daouda nous y sommes, je t' expliquerai tout mais vraiment j'ai trés peur!!

Moi: calme-toi néné ! J'arrive tout de suite.

j'étais toute déboussolée sans réfléchir je cours récupérer mon sac dans la salle avant de m'en aller sous des yeux curieux.
J'héle un taxi qui s'engrouffe dans une circulationtrop lente à mon gout . J'essaye de rappeler ma mére ça ne passait plus et pour omar et Mansata ça sonnait dans le vide .Cela me rendait de plus en plus anxieuse . Mon papa ! J'espere que rien de grave ne lui est arrivé!
Devant le batiment je me dépéche d'y pénétrer.

Moi: Excusez-moi , je cherche le patient Abdou Fall?

Infermiére: Heu, laissez-moi regarder ..........C'est la chambre 28.
Aussitôt j'apperçois la chambre non loin. Quand j'y entre, j'ai le coeur séré.
Mon pére couchait sur un lit d'hopital l' air pâle et la fatique et la douleur se lisaient sur sa face. J'ai jamais vu mon pére comme ça.

Néné: Tu es enfin là, Maï !!!

Ça se voyait elle avait pleuré, ça sentait les trés mauvaises nouvelles !

Moi: Ma vie, qu'est-ce qu il y a ! Qu'est qu'il se passe?!?
baba a eu quoi!!???

Néné: Le docteur sera bientôt là. Moi même j'ignore ce qui se passe!?!

À suivre............................................

destin de maïmouna Où les histoires vivent. Découvrez maintenant