Prologue

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Gyoza Fumetsu était un samouraï. Il étais même considéré comme le meilleur sabreur de la région de Kyoto. Il vivait dans un petit village, au Nord de la capitale. Il avait commencé sa vie de manière brutale. Son père et sa mère était mort de maladie alors qu'il n'avait que cinq ans. N'ayant aucun parent sur qui compté, il du survivre seul durant des années. Quand son adolescence fut arriver, il profita de la force exceptionnel qu'il possédait pour gagné sa vie dans de minable combats de rue. Un jour, une délégation impérial se retrouva égaré dans son village. L'endroit étant très pauvre et les soldats la défendant étant peu nombreux, elle se retrouva attaqué par un groupe de bandits. Gyoza, alors âgés de 15 ans, s'interposa et assomma à main nu tout les brigand pour évité toute effusion de sang. En effet, malgré le fait qu'il était un combattant de rue, il avait toujours détesté les massacre inutile. Parmi les soldat protégeant la délégation, il y avait un honorable vétéran samouraï et membre de la garde impérial. Celui ci décida de prendre Gyoza sous son ailes après avoir été impressionner de la force de l'homme.

Gyoza subit ainsi l'entraînement de samouraï. Il excella dans le maniement du katana et fut anobli en un rien de temps, après plusieurs exploit impressionnant au combat. C'était un samouraï particulièrement bon avec ces adversaires. Préférant les faire prisonnier plutôt que de les exécuter. De plus, il respectait à merveille son code d'honneur. Il finit par intégré la garde impérial, puis il se trouva une femme du nom d'Āmondo. Au moment ou' commence cette histoire, il venait d'avoir une fille.

« Il faut que tu lui donne un nom. Dit Āmondo à son mari.

-En effet, crois moi, je lui en donnerais un quand je serai rentré.

-On devrais déménager à Kyoto, ce village est un peu trop éloigné de la capitale pour que tu puisses effectuer ton devoir sans encombre.

-C'est ici que j'ai grandi ! On est isolé, tu devrais en être heureuse. L'air de la capitale est infect ! Bon, je vous laisse ! Porter vous bien !

-Je t'aime, tu le sait ça ?!

-Bien sur, moi aussi ! »

Gyoza quitta sa maison en direction de la capitale.

Plus tard, au palais impérial, Gyoza assistait, en tant que gardes du palais à une réunion surréaliste.

La matin même, une délégation étrangère étais arrivé dans la capitale dans le but d'être reçu par l'empereur. Ces homme portait des armure noir, de grande cape rouge et d'étrange objet métallique semblant être des armes. Leurs chef, s'approcha du shogun et lui parla dans un japonais mystérieusement parfais.

« Je suis le centurion Lucius Arthorius Maximus. Envoyé de Caesar Augustus, chef de la glorieuse Rome. Nous sommes venu en ce lieux pour vous prévenir. Nos armées ont conquis la Chine, sur le continent. »

Le daïmio compris soudain pourquoi le commerce avec le continent c'était arrêté depuis quelque années.

Le romains poursuivi.

« Nous sommes venu vous prévenir. Nos armé ont l'intention de conquérir cette archipel. »

Les japonais présent dans la salle se mirent tous à froncé des sourcil et à prendre des airs énervé, à l'exception des samouraïs qui devais resté de marbre.

« Dans son infini bonté, Caesar Augustus vous laisse la possibilité de vous rendre. Ainsi, vous pourrez rester sur le trône en tant que gouverneur, mais le Japon deviendra une province romaine. La monnaie deviendra le sesterce, le christianisme deviendra la religion d'état et le latin deviendra la langue administrative. Si vous refuser, ce sera la guerre, et vous perdrez. »

Gyoza n'en croyait pas ses oreilles. Le Japon allait rentré en guerre contre ce mystérieux empire romain. En effet, le shogun, ne pouvant accepté le fait de ce convertir à cette religion appelé christianisme, lui qui était un shintoïste dans l'âme et qui croyait dure comme fer à la légende d'amaterastu. La guerre avait donc été déclaré. Le samouraï avait été envoyé au Nord pour empêcher un débarquement adverse. Les mauvaise nouvelle commençait à arriver alors que Gyoza était en garnisons, non loin d'une plage. L'île de Stuchima avait été conquise en quelque heure. La côte Ouest de l'île principale subissait des attaque régulières. Il entendais des récit de dragon attaquant depuis le ciel et de machines invincible.

« Foutaise ! Ce dit il. Les dragons n'existe pas et ce sont des porte bonheur ! Quand au machines, probablement des paysans effrayer par je ne sais quelle armes des romains ! Il n'y a pas de quoi s'inquiéter.

Soudain, dans la nuit Gyoza fut réveiller.

« L'ENNEMI ATTAQUE ! »

Il enfourcha son cheval puis lui, et tout les autre samouraïs ce dirigèrent vers la plage. Quelque minute passèrent, puis quelque chose sorti de l'eau. Gyoza n'en croyait pas ces yeux, les récit sur les machines indestructible était vrai !

Des monstres de ferraille marqué S.P.Q.R. sortais de l'eau. Les flèche ne leurs fessaient évidemment rien. Soudain, des explosions eurent lieux sur la troupes. Les samouraï était complètement démuni. Ils ne pouvait qu'assister aux spectacles qui s'offrait à eux. Malgré leurs codes d'honneur, la plupart d'entre fuyait sous les explosion dans une énorme débandade. Puis, des soldat en armure sortir de l'eau en même temps que des monstre géant équipé. Tous équipé d'arme invraisemblable et futuriste. Ils ouvrirent le feux sur les samouraïs. Ce n'était pas une bataille, mais une boucherie. Gyoza, qui avait encore son cheval, décida de fuir de la bataille et de prendre la direction du Sud.

« Je dois retrouver ma femme et ma fille. » pensa t'il.

Le guerriers cavala pendant plusieurs jour. Dans le ciel, il vit de drôle d'engin volant faire tombé des objet explosifs sur des villes et village. Puis, cheval mourut de fatigue. Gyoza du continuer à pieds jusqu'à son village.

Il arriva enfin. Le village était en train d'être pillé par un groupe de légionnaires romains. Il se faufila discrètement vers sa maison. Arrivé à l'intérieur, il vit les cadavre de sa femme et de se fille. Il y avait aussi un homme. Il le reconnu. C'était le centurion Lucius Artorius Maximus.

« C'est toi qui...les as tué ?! Demanda Gyoza.

-Oui. Lui répondit Lucius. Elle n'as pas voulu coopérer. Je lui est donc tiré dans la tête. J'ai décidé d'achever le nourrisson pour pas qu'il souffre. Les orphelins de guerres ! Il ne faut pas leur laisser une aussi triste vie.

-Je...je... JE VAIS TE TUEEEERRRRR !!!!!! »

Le samouraï dégaina son sabre avant que le centurion dégaine son étrange arme de métal et tire dans l'épaule de Gyoza. Il le laissa dans la maison avant dis mettre le feux. Il entendis juste Gyoza hurler.

« JE TE TUERAIS ! LUCIUS ! JE TE TRAQUERAIS JUSQU'À ROME S'IL LE FAUT, MAIS JE TE TUERAIS !!!

Samouraï vindicato (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant