Samouraï vindicato (En Pause)

Chapitre 3 : La légion

 Dans le camps de recrutement de légion étrangère Japonaise. Le colonel praecipitem passait en revu les nouvelles recrue. Soudain, une d'entre elle suscita son attention. Un Japonais, plutôt grand et musclé, équipé d'un bras robotique ainsi que de jambes elle même robotique.

« ALORS MON GRAND ! C'EST DU MATOS DE QUALITÉS ÇA ! Dit il

-CHEF, OUI CHEF. Lui répondit Gyoza.

-TU L'AS EU OU'.

-AH TOKYO, CHEF !

-OUI MAIS OU' !

-DANS LA BANLIEUE, CHEF !

-C'EST QUI SE FOUT DE MA GUEULE ! AAAAHHHH. JE DÉTESTE LES Bridés ! »

Le colonel étais un vétéran de la grande guerre ayant opposé l'empire romain à la Chine. Ce pays étais le seul à avoir su égaler la puissance technologique de Rome. La guerre pour le conquérir fut longue et fatigante. Finalement, les force chinoises furent écraser quand les romains inventèrent la bombe atomique et les I.A. Malgré tout, cette longue guerre fit n'être dans l'esprit du colonel une haine féroce des asiatiques.

Prazcipitem continua son discours.

« ÉCOUTER BANDE DE CITRON MOU DU GENOUX !

-(Je commence à en avoir marre de ces remarque raciste.) pensa Gyoza.

-... DEMAIN NOUS PARTIRONS DU JAPON POUR MAINTENIR L'ORDRE DANS L'IMPERIUM.

-(Il peut arrêter de crier?!)

-... EN EFFET, LE PEUPLE SLAVES A' DÉCIDER UNE FOIS DE PLUS DE CE REBELLER CONTRE NOTRE SAINT EMPEREUR ! NOUS SOMMES ENVOYER EN EUROPE DE L'EST POUR MATER CES SALES BARBARES !

VOUS AVEZ COMPRIS BANDE DE BARBARES ?!

-CHEF, OUI CHEF. Crièrent les nouvelles recrues.

Le lendemain, Gyoza et ces camarades montèrent dans un dirigeable marqué S.P.Q.R et s'envolèrent. Gyoza n'en croyait pas ses yeux. Il volait. Il voyait son pays natal, le japon, disparaître petit à petit. Il se dirigeait vers l'Europe. Pas là ou' il aurait voulu, mais plus proche de son objectif que jamais. Lucius Arthorius Maximus.

L'Est de l'Europe, territoire colonisé au début de l'an 551. Les forêt de cette région ont totalement disparu à cause des besoin énorme de l'empire romain qui à l'époque, utilisait encore le charbon et non l'électricité. Les peuple slaves avait été réduit en quasi esclavage par les romains. Depuis, ils n'avait jamais cessé de ce révolter. À chaque fois, la révolte étais mater dans le sang. Mais cette fois, des organisation terroriste avait réussi à se fournir en armes moderne et mener une résistance acharné. Ils avaient même sécuriser une zones autour de la ville de decidit.

La troupes de Gyoza atterrit dans l'aérodrome du camp militaire de la ville de slavicis civitatem, capitale de la province. Les soldats sortirent de l'engin et furent guidé par leur chef. La première impression que Gyoza eu du monde en dehors du Japon était un endroit gris, froid et pollué. Le soir, ils se retrouvèrent à un briefing de leur colonel.

« BONSOIR BANDES D'AMATEURS INCAPABLES ! Hurla Prazcipitem. DEMAIN NOUS ALLONS ATTAQUER LES POSITIONS ENNEMIS SUR LA COLLINES DE PERDITA ! C'EST UN ENDROIT STRATÉGIQUE POUR INVESTIR LE TERRITOIRE DES REBELLES ! ATTENTION, VOUS ALLEZ PROBABLEMENT GALÉRER ! SUR CEUX, BANDES DE CHAIR A' CANON, BONNE MERDE !

-(Ouf, je vais plus entendre ses hurlements !) pensa Gyoza.

Le lendemain, la troupe de Gyoza, composer de renfort japonais arriva dans les tranchées romaines en contrebat de la colline. Ils se dirigèrent vers la première ligne. Partout, des soldats venu des quatre coins du globe, tous l'air fatigués, à bout de force. Un commandant s'approcha du groupe.

«- 'Jour. Vous êtes les renfort japonais ? Dit il

-Hum, oui. Lui répondit Gyoza

-Votre matricule ?

-Gyoza Fumestu, première classe, légion étrangère

-C'est bon, c'est bon, bienvenue en enfer ! »

Gyoza se demanda qu'est ce qu'il était venu faire dans cette galère.

Un peu plus tard, le groupe étais monté dans des tanks. Il allait donné l'assaut sur la colline, solidement défendu par les rebelles.

Gyoza n'aimait pas ces engins. Même si les modèles était très différent, ils lui rappelaient cette fameuse nuit ou' les samouraï ont été vaincus. Il monta néanmoins dans le monstre d'acier et le moteur démarra. Il était poster à la recharge du canon.

Peu de temps après, des explosions retentir de partout.

« Tu as tirer ?! Demanda Gyoza au pilote

-Non. Lui répondit celui ci

-Alors c'est un des autres équipages ?

-Non plus.

-Ça vient de ou' du coup ?! Ça ne peut pas être nos adversaires, les renseignements nous avait prévenu qu'il n'avait ni artillerie, ni obus !

-Pourtant ça vient d'en face ! »

Les explosion retentissait de partout autour du char.

« Tu veut pas tirer ! Demanda à nouveau Gyoza.Si ça continue comme ça, c'est nous qui allons prendre !

-Non, on est pas encore à porter... »

Le char se pris un obus directement dans la face. Gyoza se releva, il avait les oreilles qui sifflait. L'engin n'avait subit aucun dégât mais, suite à l'onde de choc, le pilote avec qui Gyoza parlait étais tombé K.O et le mitrailleur avait les tendons fracturés.

« Heureusement que j'ai des implants cybernétiques ! » pensa l'ex samouraï. Il s'approcha du mitrailleur et le pris sur ses épaules.

« Il faut que l'on sorte de là et qu'on retourne aux tranchées ! Dit il au blessé.

-...D'accord... dit l'autre entre deux gémissement de douleur. »

Ils sortirent du tank. Autour deux, les autres équipages avait, pour la plus part, fait demi-tour. Certains char était immobilisé, comme le leur, ou' avait pris feu. Gyoza déposa le blessé par terre. Et se redirigea vers son tank pour sortirent le pilote. Soudain, une autres slaves d'obus tomba et l'engin fut touché. La trappe étant ouverte, Gyoza se dit que le pilote était malheureusement mort. Il fallait fuire avec le blessé avant qu'un obus ne leur tombe dessus. Il le ramassa et sprinta à l'aide de ses jambes mécanique dans la direction inverse. Mais il fallait que ça arrive, un obus leur tomba dessus.

Gyoza, se réveilla dans un cratère. Il avait reçu des éclats de shrapnels dans son œil cybernétique gauche et dans d'autre partie du corps. Son coéquipier étais mort. L'ex samouraï se releva difficilement. Il sortit lentement du cratère. En sortant, il vit que des soldats de la résistance menait une contre attaque. Ils couraient dans ça direction. Déterminer à venger ses compagnons, Gyoza sorti sont katana et se mit à trancher difficilement les soldat adverse. Quand, ils virent que l'ex samouraï attaquait leur compagnons à l'arme blanche, ils se mirent à lui tirer dessus. Gyoza para quelque tire avec son sabre et son bras mécanique puis, il ouvrit un compartiment dans sa jambe gauche et en sorti un pistolet blaster. Les résistants se mirent à se faite tuer un par un. Ils se demandaient si ils n'était pas en train d'halluciner. Un hommes, seule, blessé était en train de les mettre en difficulté.

Soudain, une nouvelle salve d'artillerie tomba du ciel. Mais elle ne venait pas d'en haut de la colline, mais d'en bas.

« Bande d'enf*irés ! Pensa Gyoza. Il ne prennent même pas la peine de vérifier si leur hommes son vivant ou non avant de tirer ! Saleté de romains ! »

Gyoza et les résistants ce mirent à courir en direction de la collines.

L'ex samouraï, qui courait plus vite que les autres grâce à ces implants, doubla plusieurs résistant jusqu'à ce retrouver à hauteur de ce qui semblait être leur commandant. Il entendit le bruit d'un obus qui allait atterrir sur eux deux.

« ATTENTION ! » hurla Gyoza avant de se jeter sur le commandant pour l'écarter de l'explosion et le sauver. Une explosion retentit. Gyoza s'évanouit.