Chapitre 2: la via leges

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De retour chez lui, Gyoza installa sont équipement dans le parquet, puis il pris une douche et ce posa devant la télévision. Mais, alors qu'il allait allumer l'engin, quelque chose l'interpella, la table basse avait bougé de deux centimètre, comme si quelqu'un c'était cogner le pied dedans. C'est sur, on était venu chez lui. Il sortit de son canapé de mauvaise qualité, pris son katana en chrome dans le parquet puis s'approcha lentement de la porte. Il l'ouvrit et découvrit que l'appartement d'en face, celui de Fatou, avait été saccagé et vidé de son occupante. Sur la porte, une lettre avec écrit dessus : « Tu n'as pas enterré à prendre t'as retraite ou' elle meurt. Retrouve nous demain au lieu de rendez-vous habituelle pour nous le confirmez. Ainsi, elle sera peut-être relâcher.

Signé Brutus. »

Gyoza jura et rentra dans son appartement. Il savait que la mafia n'allait pas relâcher Fati et la garderais en otage pour qu'il continue à bosser pour eux.

« J'aurais du m'en douter ! pensa Gyoza. Un aussi bon assassin que moi ne peut pas être lâcher ainsi par la mafia. Je suis trop utile pour eux ! »

Plus tard, dans une boutique miteuse d'une rue sombre de la banlieue ;

Gyoza entra dans l'endroit, avec une grande sacoche contenant sont matériel. Au comptoir, un vielle homme borgne souriant, équiper d'une prothèse de bras de très mauvaise qualité en raison de son grand âge et du fait qu'elle n'a jamais été entretenu.

« Gyo ! S'exclama l'homme. Ça fait longtemps, comment va ?!

-J'ai pas le temps de parler, Insanire ! Lui répondit Gyoza. J'ai besoin que tu me greffe ton meilleur équipement !

-Oh ! Tu sais combien va coûter ?! Hé hé ! »

Gyoza sortit une bourse remplit de sesterces. C'était toute ces économies.

« Très bien, dit Insanire. Rejoins mois dans l'arrière boutique ! »

Gyoza entra dans une salle caché. Sur les murs, des prothèses cybernétique de toute sorte étais exposés. Au milieu, une table d'opération. Cette endroit étais illégale. En effet, la boutique, qui était en apparence un simple bazar, servait de centre de greffes clandestin.

« Voici mes meilleur outils ! Dit Insanire en présentant des prothèses de toute sorte : colonnes vertébrale, bras, jambes, ect... Alors, qu'est que tu veux ?! »

-Je voudrais... des yeux cybernétique, ainsi que des jambes et...tu as quoi comme armes à feux ? Demanda Gyoza (oui, la boutique sert aussi d'armurerie).

-Oh, bah attend... je cherche... ah voilà mes flingues ! »

Il présenta un tas d'armes à feux chromées. Des revolvers, des fusil automatique, le tout en version pisto-lasers. En effet, les balles et cartouches avait été abandonné depuis plusieurs décennie.

«Je prendrai ce revolver en chrome pliable. Demanda Gyoza. Ainsi qu'un le fusil automatique ainsi que... les shurikens et le brouilleur.

-C'est po des armes à feux, ça. Répliqua Insanire.

-Mais tu en as ?

-Ui »

Plus tard, Gyoza se déshabilla puis ce mis sur la table d'opération.

« Attention, je n'ai pas d'anesthésiant. Dis Insanire. Donc, des yeux et des jambes. Ça va faire un peu mal. »

Gyoza subit ensuite une longue opération d'une douleur inimaginable.

Quelque heures plus tard, Gyoza arriva à un grand bâtiment à l'extérieur de la ville. C'était là que la mafia romaine contrôlait ses opération à Tokyo, et très probablement là que Fati était enfermée. Le bâtiment était très bien gardé. L'ex samouraï utilisa sa nouvelle vision pour analyser le bâtiment. Ses nouveaux yeux était équiper en de rayons X, infrarouges et autres. Il décela une faiblesse dans la défense du bâtiments. Une bouche d'aération en dehors du champs de vision des caméras de sécurité et des tireurs d'élite posté sur certaines fenêtre. Gyoza sortit de sa cachette et se dirigea discrètement jusqu'à la bouche d'aération. Il élimina une patrouille d'homme de mains avec ses shurikens et arriva à son objectif. Un tourne-vise sorti d'un de ses doigt robotique et dévissa la grille, puis l'assassin ce faufila dans le conduit. Au même moment dans la salle de contrôle de la sécurité, les écrans affichant ce que voyaient les caméras de surveillance s'éteignirent, tout comme les communications.

Samouraï vindicato (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant