Le Centre Commercial...

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- Ma vie c'est toi. Depuis que je t'ai sauver, je n'arrive pas à me séparer de toi. Je veux te protéger.

Je reste sans voix personne ne m'a jamais dit ça.
Peut-être que Pablo serai la bonne personne en qui je pourrai faire confiance en fin de compte.

- Dit quelque chose Manon, j'ai l'impression de t'avoir tuer là ! dit-il inquiet.
- C'est... C'est la première fois qu'on me dis ça... Dis-je en bégayant.
- C'est parce que les autres s'en foutais de toi maintenant tu vas connaître ma famille, tu vas tout connaître et je ferai tout mon possible pour te rendre heureuse .

Je reste toujours bouche bée, quand j'y repense ma grand mère me l'a jamais dit malgré qu'elle m'est aimer et protèger.

- Tu veux venir à mon match ce soir ? demande-t-il.
- Pourquoi pas c'est contre qui ?
- Le réal Madrid en amical.
- Vazy.
- D'abord allons faire ton dressing.
- J'ai pas beaucoup d'argent alors allons dans des magasins basique.
- Pourquoi tu me dit ça ?
- Parce que je te connais comme tu es riche tu vas m'emmener dans des magasins qui coûtent les yeux de la tête.
- Bien sûr, si je paie t'es affaires tu vas me dire quoi ?
- Pablo... Non... S'il te plaît laisse moi acheter mes vêtements.
- Je t'ai dit quoi il y a deux minutes ?
- Que tu voulais me rendre heureuse ?!
- Voilà alors pas de dispute et allons y.

Il me prend la main et nous descendons au salon. Il prend ses clés et me les donne.

- Tu veux que je fasse quoi ? je demande.
- Que tu conduise !
- Non Pablo, c'est ta voiture pas la mienne.
- Je m'en fou honnêtement, je peux m'en racheter 40.
- Moi, je m'en fou pas.

Je lui rend ses clés mes il ne veut pas les prendre, il me prend par la taille et me colle contre le mur. Il me regarde intensément.

- Bébé, laisse moi te rendre heureuse s'il te plaît.
- Je ne peux pas Pablo.
- Si tu peux, il suffit de prendre les clés et d'ouvrir la voiture, monter dedans ensuite tu met le contacte et en avant.

J'éclate de rire face à ce qu'il me dit.

- Pourquoi tu ris ?
- C'est tellement absurde ! dis-je.
- J'y peux rien tu me complique la tâches faut bien que je trouve un truc.

Nous rions en éclat quand on entend un raclement de gorge. Je pousse Pablo pour me dégager de son étreinte. Nous découvrons Pedri les bras croisés en nous regardant avec un sourire moqueur.

- Tu faisais quoi Pablo ? demande-t-il.
- Va voir ailleurs si j'y suis ! lance Pablo.

Il rigole et retourne dans le salon. Nous éclatons une nouvelle fois de rire.

- J'aime quand tu ris cela fait ton charme ! dit Pablo.

Je rougis face à ce compliment.

- JE T'AI ENTENDU PABLO !! ARRÊTE DE DRAGUER !! crie Pedri.
- T. G PEDRI!! crie Pablo pour que Pedri l'entende.

Je le prend par le bras et nous sortons de chez lui. Comme m'as dit Pablo, j'ouvre la voiture et y monte. Ah il a oublier de dire de mettre la ceinture de sécurité. Je rigole face à ma remarque Pablo me regarde comme si j'étais bizarre. Je rigole de plus belle, j'ai jamais autant rie depuis maintenant.

Je démarre la voiture et nous fonçons au centre commercial. Ce moment avec Pablo ma fait découvrir que cette une bonne personne tandis qu'Hugo est rien. Comment j'ai été aussi stupide de croire qu'Hugo pouvais être mon petit ami qui me rendrai heureuse ? Des paroles me revienne en tête. La première rencontre avec Hugo quand océane m'avait prévenu sur lui mais comme d'habitude je n'écoute que moi et pas les autres.
Il faut que je la contacte mais est ce qu'Hugo va se mêler à ce qui se passe dans ma vie. Je devrais demander à Pablo ce qu'il en penserai pour voir si je devrais lui parler à Océane, je l'aimais bien, elle faisait attention à moi et à chaque fois qu'on se retrouvais, elle était heureuse de me voir.

- Pablo ?!
- Oui ma belle ?
- Est ce que tu pense que je devrais parler à mon amie Océane ?
- C'est qui océane ?
- C'est une fille que j'ai rencontré à mon premier jour au lycée, elle m'avait dit de faire attention à Hugo et on n'a jamais remis le sujet sur le tapis. Elle faisait extrêmement attention à moi.
- Elle parle avec se Hugo ?
- Oui, elle lui parle quand j'habitais chez lui après l'incident sur le parking, elle est venu le jour de mon anniversaire et elle était heureuse de me parler.
- Il y a un mais...
- Oui, Hugo lui a tout raconter sur ma vie et j'ai peur qu'elle soit de mèches avec lui.
- Tu devrais lui reparler au téléphone pour voir si elle est au courant. Si elle est au courant alors demande lui sinon coupe les ponts.
- Merci, j'avais vraiment besoin d'un avis.
- Derien !

Nous arrivons sur le parking et je m'y gare assez loin pour éviter les paparazzis.
Je sors et passe les clés à Pablo pour qu'il les ranges. Il me prend la mains, un geste ou je commence à m'y habituer.
Nous rentrons dans le centre commercial et traversons les allées, il y a beaucoup de monde se qui as le don de m'énerver. Mais je me stoppe net quand je découvre les deux personnes que je ne voulais pas voir.

Pablo remarque mon comportement et regarde dans ma direction. Il prend et me colle contre le mur.

- Bébé, ça va aller je suis avec toi.
- Oui...
- Tu sais que depuis ce matin j'ai envie de t'embrasser ?
- Alors fait...

Il colle ses lèvres sur les miennes ce qui me surprend, je rend son baiser qui est à la fois doux et prévenant.
Il s'écarte de moi et m'observe.

- J'ai vraiment peur Pablo. J'ai l'impression d'être dans mon cauchemar.
- Raconte le moi !
- C'est pas le moment Pablo.
- Si raconte le moi.
- Qu'elle me suivait et que je me précipitais vers toi pour que tu me protège sauf que tu t'es transformé en Hugo et il m'a dit qu'il allait me protéger au lieu de m'éloigner d'elle il m'a ramener près de ma tante et je te laisse imaginer la suite...
- Sauf que c'était un cauchemar bébé, là tu es avec moi. Alors allons faire les magasins et faisons comme si on les avait pas vu sinon ils vont te voir et je vais devoir impliquer les gardes du corps pour qu'ils les écartes de toi.

Il prend son téléphone et tape un numéro. Il prend le combiner et le met à son oreille.

- Besoin de vous au centre commercial s'il vous plaît faites que personne s'approche de moi et de mon amie. sort-il.

Il raccroche et essaie de décrypter mon humeur. J'ai peur, je stresse et je suis à deux doigts de pleurer.
Il me prend dans ses bras et me calme.

- Ça va aller ils arrivent.

Une personne touche l'épaule de Pablo et nous découvrons les deux gardes du corps.

- Ses deux personnes là-bas faites qu'ils nous approche pas. lâche-a-t-il.

Ils acquiesce, Pablo me prend la main et je la sert fort. Je me sens en sécurite maintenant. Je pensais pas que ça devenait plus grave que prévue.

Les deux gardes du corps nous suivent en nous laissant une distance d'intimité convenable. Pablo à raison tout va bien se passer.

À suivre...

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Coucou,

Dernier jours où je posterai deux chapitres les amis.

J'espère que cette aventure vous plaît toujours ! 🤔

Sinon je vous souhaite une bonne journée et bonne lecture !

Bisous ❤️😘

Seule, face aux passé... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant