Chapitre 3 : Hardante passion

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Je me réveillai difficilement de mon sommeil, à vrai dire nous n'étions que six heures du matin et les cours ne commençait qu'à neuf heures pour moi ce qui est très tôt. Mais pas assez pour faire partir l'homme que je cachais à la maison, après tout ce qui c'est passé hier il ne manquerai plus que ma mère le découvre à la maison.

Je m'avançai prudemment du salon, je voulais voir comment il était quand il dormait. Je fis prise de stupeur quand je le vis enfiler son pantalon, les cheveux décoiffé et la lumière du jour sur lui , cela serait mentir de dire que cette scène ne me donnait pas des papillons dans le ventre mais de vous à moi tant que cela ne se voyait pas , tout allait pour le mieux.

Cette scène digne d'un tableau peinte par une femme amoureuse de son amant fut soudainement rompu quand il prit la parole pour en sortir des mots bien trop crus pour une scène si romantique :

- Narciso : « Je suppose que on n'a pas coucher ensemble n'est-ce pas ? »

- Moi : « Qu'est ce qui te fait dire cela ? »

- Narciso : « Je ne dors jamais après avoir baiser »

Cela signifiera qu'il se souvenait de chaque détail de la nuit passé, juste y penser me donnai des frissons, comment devrais- je à nouveau me comporter avec lui s'il aborde le sujet ?

- Narciso : « Merci pour hier soir mais je vais partir, on se reverra en cours Kalinita »

- Moi : « Ne me surnomme pas ainsi »

Il passa proche de moi et me souffla :

- Narciso : « Tu as bon goût Kalinita »

Je me mis à rougir, savait-il l'impact de ce qu'il venait de dire ou les effets de l'alcool n'était toujours pas dissiper ?

- Moi : « Epargne moi tes commentaires sur la nuit dernière et file de cette maison, je ne souhaite pas que ma mère nous aperçoive »

- Narciso : « Elle risque de croire quoi ? que je suis ton petit copain ? Je ne sors pas avec les filles comme toi »

Je le bouscula jusqu'au mur et l'encadra de mes bras, il était surprit, il était loin de s'imaginer que je pouvais le défier de cette manière.

- Moi : « Crois-tu que j'aimerai avoir un homme à mes côtés qui ne sait que baiser et qui n'a aucun projet de vie. Sache que si pour toi je ne suis bonne que pour une nuit sache que c'est la même chose pour toi, tu ne coucheras avec moi que si je te le demande donc en soit c'est moi qui te baise et c'est moi qui joue avec toi. »

Il n'avait plus les mots, il me regarda et pendant un moment je venais de douter de ce que je venais de dire, je le connaissais si peu en soit et s'il réagissait mal ? Et puis qu'importe sa réaction je pensais chaque mot qui sortait de ma bouche.

- Narciso : « Très bien Kalinita , on se rejoindra en cours »

Sur ces mots, il me délaissa et je finis par ranger la maison et je fis résolue à me préparer pour m'en aller en cours. Le but de cette journée était bien simple, ne pas le croiser, ne pas le regarder, ne pas me retrouver dans la même pièce que lui , quoique habituellement je me débrouille assez bien . Aujourd'hui, la journée n'était pas de mon côté, il était toujours pas loin de moi à chaque moment de la journée et son regard perçant ne faisait que me rendre encore plus gêner.

J'étais enfin en paix, loin de lui et de toutes les possibilités de le revoir. J'étais dans un coffee shop avec Jade et Emily mes meilleures amies aussi folles l'une que l'autre, Emily formait le couple parfait avec son petit ami et Jade quand à elle préférait les relations sans attachement et puis vous avez moi mais ça vous savez déjà comment est ma vie .

NarcisoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant