Prologue

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Les pas de quelqu'un était en train de faire grincer les planches de la maison, on attendait absolument personne alors qui ça pourrait être , on ne parle avec personne ici. On attendait aucune visite. On l'entend tout balancer par terre, comme ci il cherchait quelque chose. On a vite supposé que c'était un cambrioleur et on a couru vite, très vite, pour se réfugier dans la chambre. Mes mains tremblaient tellement que je ne pouvais tenir la poignée de la porte pour la fermer à clef. Je suis vite allé me cacher dans le placard quand soudain il entre dans la chambre et l'a prend par le bras et l'a jette par terre. J'étais tétanisée, je regardais son agression à travers les petits trous du placard. Je voulais tellement l'aider, mais je ne suis qu'une enfant. Il était sur elle, en train de lui retirer ses habits. Je ne pouvais voir son visage car il avait une cagoule noir.

- T'as voulu t'échapper n'est ce pas ? en l'appuyant par terre

- Non s'il vous plaît ne me faites pas ça, prenez tout ce que vous voulez, je n'ai pas vu votre visage.

- Ferme ta putain de gueule !

- Prenez la, dans le placard, elle, dans le placard s'il vous plait, pas moi.

Il s'est sans tarder approcher du placard et m'a porté de force, j'avais beau hurler de toute mes forces, rien n'y fait, il était bien décidé. il a mis tout son poids sur moi, en m' appuyant la tête au sol. Allongée sur le ventre, il décale ma culotte, et m'introduit un doigt, puis deux...

-Mamannnnnn le laisse pas faire ça.

- Désolé ma chérie...

- Maman j'ai mal, dis lui d'arrêter s'il te plait. dis je en pleurant de douleur

Je n'étais pas réellement consciente de ce qu'il faisait mais je savais que c'était mal.

Je criais de douleur, mais personne ne pouvait venir me sauver, je vivais seule avec ma mère depuis la mort de mon père. Ma mère avait un problème psychologique mais je n'ai jamais voulu qu'on me sépare d'elle, je l'aime tellement.

- T'aime ça hein ? dit il

- Maman s'il te plait...

Il introduit son sexe en moi d'un cou sec tout en laissant sa main poser sur mon crane, mes cheveux étaient collées sur mon visage a cause des larmes... Et il m'a violé pendant des minutes, combien je ne sais pas, mais ça a été les minutes les plus longues de ma vie.

Ma mère, elle , continuait à nous regarder à moitié dévêtue, et ne disait rien, pas un seul mot, il regardait cet homme me faire du mal, moi, sa fille de douze ans...

Au delà des étoiles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant