Je vis ma maison brûler sous mes yeux. Elle brûla encore et encore. Les flammes grossissais et prenait de l'ampleur. L'odeur des flammes était horrible. Sa puait énormément.Je me réveilla. L'odeur et les flammes avait l'air tellement réel, j'avait l'impression que ma maison brûlait pour de vrai. Je décida de me lever pour aller boire un verre d'eau. Comme j'habite dans une toute petite maison, je peut très rapidement aller dans n'importe quel pièce. Arriver devant la porte de la cuisine je sentis une énorme bouffé de chaleur. J'ouvris la porte, quand je vis une énorme flamme. Qui elle grossissait de plus en plus. Je me précipita pour aller réveiller ma mère, qui elle dormait dans la chambre d'a coter.
MAMAN RÉVEILLE TOI ! Y'A LE FEU ! RÉVEILLE TOI ! S'TE PLAÎT RÉVEILLE TOI !
Dis-je en la secouant dans touts les sens possible au monde.
Petit a petit elle ouvrit les yeux, elle gesticulais dans touts les sens pour me faire comprendre qu'elle ne voulait pas se réveiller.
Quoi encore ?
Me dit ma mère en se frottant les yeux. Juste après ses mots, la porte de la cuisine explosa.
C'est quoi ça ? Pourquoi la porte elle a exploser ? C'est quoi ce feu ? Il en fait une chaleur dis donc, dit ma mère en s'agitant dans tous les sens par peur.
Viens, dis-je.
Je pris son bras et nous sortons hors de la maison.
Appel les pompiers je reviens.
Arrête ! Non reviens ! AZRA !
Je reviens maman, ne t'inquiète pas, criait-je.
J'entra dans la maison et alla directement dans ma chambre, le feu était heureusement pas encore arriver dans ma chambre donc je pue facilement y rentrer. Je chercha dans toute la pièce, j'ouvra l'armoire et chercha partout a l'intérieur. Je chercha sous mon lit, dans ma commode, partout en gros.
Je sentie la chaleur se rapprocher de moi. Les flammes se rapprochèrent de plus en plus. Il faisait de plus en plus chaud, et l'odeur était de plus en plus désagréable. Je toussais de plus en plus. Je chercha encore et encore malgré l'énorme panique qui était en moi, je m'approcha de mon lit et m'assis dessus. Peut être que j'aurai un meilleure point de vue en m'asseyant, et en me calmant.
Je me calma, observa partout et vis qu'au dessus de l'armoire il y'avait la valise. Je pris ma chaise de bureau, la mis devant mon armoire, monta dessus, puis pris la valise dans mes bras. Je descendue aussi tôt quand la porte de ma chambre explosa elle aussi a son tour. A cause de sa, le feu rentra rapidement dans la pièce, il commença a envahir la pièce. Respirer devenue impossible. Je pris mon t-shirt, le mis sur mon nez et m'assis. Mes jambes tremblai, et le feu n'était plus qu'a 3 mètre de moi.
J'entendis la fenêtre de ma chambre se briser, deux personnes entra dans ma chambre. Une personne me pris dans ses bras et me sortis de la pièce, tant dis que l'autre a sans doute pris ma valise. Sinon pourquoi serait t'elle venu ? Une seule personne peut suffire pour faire sortir quelqu'un, non ?
Je pris le bras de la personne qui m'avait sortit de la pièce pour regarder son visage quand je vis Djibril. Mio fratello.
Qu'est ce que... Qu'est ce que tu fais là ? Et maman ? Elle va bien ? Elle est a l'abri ?
Lui demandais-je.
Tu devrais d'abord pensé a toi. Regarde ton état, me répondit t'il.
Après sa je ferma mes paupières. Quand je les ouvris, je sentis que j'étais allongé sur un lit. Un lit d'hôpital. Assez confortable d'ailleurs. Je regarda autour de moi quand je vis un médecin diriger de la lumière vers moi. Mes yeux suivis la lumière.
On me pris dans ses bras.
Dieu merci tu t'est réveillée ! J'ai crue que t'allais y passé, me dit ma mère.
Mais qu'est ce qui ta pris de rentrer dans la maison alors que y'avait le feu ? A cause de toi tout le monde c'est inquiéter a ton sujet ! Djibril et tes cousins ont grillés des feu rouges !
Me dit-elle me frappant le bras, en colère.
Vraiment ?
Dis-je légèrement choqué. Je tourna mes yeux a droite, et je vis Djibril.
Tu grille des feux rouges pour moi maintenant ? Tu sais que t'aura une énorme amande ?
Dis-je.
J'men fou, me dit-il.
L'importance c'est que tu sois en vie Azra, continua t'il en versant sa petite l'arme.
MAIS NOONN ! PLEURE PAASS !
Dis-je.
Tu me fait pleurer moi aussi, continuai-je en versant a mon tour ma p'tite larme. Je me redressa et le pris lui aussi dans mes bras pour le serrer le plus fort possible.
Merci d'être venu Djibril, je t'aime, lui chuchotai-je a l'oreille.
Il lâcha un p'tit rire ainsi qu'une larmes, qui elle coula sur moi.
Je t'aime aussi, me répondit t'il. Apres mes mots, nous terminons se magnifique câlin frère et sœur. Khalil et Amir s'approchèrent eux aussi de moi.
Désolé de vous avoir inquiété ! Pardonnez moi !
Leurs dis-je en sortant mon plus gros sourire.
En regardant mon sourire, ils ont fini par céder et ont sourit. Pour moi ça veut dire "tu es pardonnée".
Entre vous deux, c'est qui qui a pris la valise ?
Dis-je en prenant un air sérieux, histoire d'avoir une réponse sans humour. Parce que sinon je risque de le prendre au premier degrés.
Elle est là, juste à coter, me dit Khalil en la pointant du doigt.
OUF ! D'accord, merci Khalil !
Dis-je en le prenant dans mes bras.
J'étais là aussi je mérite un câlin ! Non ?
Me dit Amir.
BIEN SÛR !
Je le pris lui aussi dans mes bras pour le serrer le plus fort possible.
Viens tata, tu peut rentrer dans le câlin toi aussi, dis-je en lui faisant signe de la main.
Elle sourit, essuya ses larmes puis entra dans le câlin. Finalement, tout le monde rentra dans le câlin.
Pour me pardonner de vous avoir causé de l'inquiétude, je vais vous cuisiner un bon plat !
Dis-je toute souriante.
J'pense que j'dois aller pisser, dit Djibril.
J'vais le rejoindre, dit Khalil.
Moi j'vais aller voir c'est quand que tu pourras sortir, me dit Amir en s'enfuyant le plus vite possible.
Ma mère et ma tante s'enfuirent elles aussi, sur la pointe des pieds.
Vous allez où ?
Ont va au toilette.
A deux ?
Dis-je en arquant mes sourcils. Elles s'enfuirent directement sans me donner de réponse.
Pourquoi ils se précipitent tous pour partir quand je dis que je vais leurs cuisiner de bons plats ? Ils sont jamais contents, c'est grave.
Mes plats ne sont pas bon ou quoi ?