Je discutais avec mes cousines quand elles ont entendu notre son, Gangsta – Darkoo, One Acen. En entendant notre musique, nous nous mirent à danser. Tout le monde dansait sur la piste de danse, et comme la salle était bondée, on était tous assez proches. Malgré tout, avec mes cousines, nous continuons de danser. À un moment, nous monopolisions toute l'attention. On nous applaudissait pour nous, cheb, pour continuer à danser. Je m'éclatai. Sa faisait tellement du bien, sa faisait trop longtemps que je ne me mettais pas autant à amuser.
Après avoir fini notre « prestation », moi et mes cousines allons nous reposer vers les canapés.
À un moment, elles vont se prendre à boire.
Un homme s'approcha de moi sur le canapé, il y avait plein de fauteuils à côté, et pourtant.
Je regardai son visage quand je vis Wendel.
Wendel était mon ancien petit copain quand j'étais jeune, il était toujours aussi beau. Mais ses actes le rendent écœurant. Avant, quand on était encore ensemble il me forçait à vouloir faire l'amour avec lui, mais j'ai toujours dit non. Jusqu'à ce qu'il me pris de force pour rentrer dans sa chambre lors d'une soirée chez lui. On devait regarder un film, mais lorsque j'allais au toilette, qui était juste à côté de sa chambre, il m'y poussa dedans. Dans sa chambre. Je tentais de me débattre, mais j'y arrivais pas. Alors après ça, je pris le vase sur sa commode et le cassai sur sa tête. Après cela, je m'étais enfuie chez mon frère, qui lui était juste à côté. On était encore à l'université.
Le voir me rappela de très mauvais souvenirs.
Je me sentais mal à ses côtés, il me regardait bizarrement et avec insistance. Ce gros pervers n'a vraiment pas changé, c'est écœurant.
Alors poupée, comment tu te portes depuis, me demanda-t-il avec son sourire au coin.
Dégage Wendel, dis-je en essayant de m'éloigner de lui pétrifié.
J'arrivais même plus à bouger une seule partie de mon corps.
Qu'est-ce qu'il y a ? T'es sur les nerfs, Bébé ?
J'ôtai silencieusement sa main qui lui l'avait placée sur mon épaule pour me prendre sous son bras.
En essayant de chercher le regard de Djibril qui pourrait me sortir de là, je croisai celui d'Amir. Il vit que j'étais mal à l'aise et reconnut directement Wendel.
Amir me prit par le bras pour me sortir des bras de celui-ci.
Sale fils de pute, comment t'oses te pointer au mariage de ma tante pour venir tenter de tripoter Azra. Et en plus, t'ose la prendre sous ton bras ? Connard de merde, dit Amir en lui donnant un énorme coup de poing.
Comme il était de couleur de peau très clair, donc métisse, le coup de poing se voyait beaucoup.
Khalil et Djibril arrivaient par derrière pour donner deux coups de pieds retournés, pas une fois, mais deux fois d'affilée.
J'ai cru être dans un de ces films d'action.
Amir me tenait toujours la main, à vrai dire, il me la serrait. Je voyai que ses yeux étaient remplis de larmes. En voyant cela, je suis reconnaissante qu'ils avaient compris mes sentiments et qu'ils m'aient écouté. Je le serai fort dans mes bras. Amir, l'amour de ma vie, même si je suis plus grande que lui avec 4 mois d'écart, je sais qu'il me protègera toujours.
Reda et Nahil débarquèrent ensuite pour prendre Wendel par le col pour par la suite l'emmener dehors.
Amir resta à mes côtés malgré cette histoire.
