Le rendez vous d'instruction

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Après une semaine à faire l'autruche. Je décide d'appeler le numero de la lettre 
Le secrétariat m'a donné rendez vous 3jours plus tard,

Et nous voilà le jour J, j'attend depuis 1heure en salle d'attente, dans cette grande maison qui paraît être un Palais et de la, s'en est suivi une conversation des plus troublante,

Cet emploi envoyé directement par mes parents était une solution pour eux de rembourser les dettes qu'ils m'avaiant laissé et dont j'ignorais l'existence...
Le patron a bien voulu que je continue l'école puisqu'il voyait que ce qu'il me disait me rendais complètement abasourdie,
À force de l'entendre me répéter c'est mots :
" Vous devez comprendre que quand vos parents vous on laissé ils nous devaient 50000€ c'est ça que vous devez rembourser c'est pour ça qu'ils vous ont laissé. "

Je retenais tellement fort mes larmes tout en comprenant que la haine que j'avais envers mes parents été totalement justifié ils venaient de condamner 2ans et demis de ma vie, je pouvait oublié les études supérieures pour le moment. Le bac était dans 3mois, ce qui voulait dire 3mois de préavis pour le travail /l'appartement/ la liberté.

À l'obtention de mon diplôme mes journées seront rythmé par un emploi du temps strict.
Mes journées:
7h : préparation du déjeuner des Garde du corps
9h : Ménage des chambre de ceux ci
11h: préparation de leur dîné
13h : pause ou je mange
13h30: ménage des salles numéroté 46/113/38
15h : rangement de la salle d'entraînement
17h : entretien journalier des domestiques
18h: préparation du repas des garde du corps
20h : journée fini après le nettoyage totale de la salle de restauration

Repos le LUNDI 8h au MARDI 18h

Ma vie allait être un enfer...

Après cette entrevu, je suis rentré dans mon studio et me suis endormi, je pensais aller mieux après...

La semaine suivante, je me suis motivé, j'ai envoyé une lettre de préavis pour l'appartement, j'ai pleuré la moitié de mes journées, dévasté.
J'essayais désespérement de joindre mes ascendants mais quand ils ont répondu la seule réponse reçu c'est :
- On t'avais dit de nous oublier, ne nous appel plus, c'est à cause de toi tous ça, alors à toi de payer le prix.

Qu'est ce que j'avais bien pu faire pour mérité cela...
J'ai décidé de me relevé et de vivre à fond le mois qu'il me restait, j'étais en attente des résultats du bac, la réception de ce papier signé ma fin de liberté...

J'étais décidé a profiter alors je suis sorti en boîte, je me suis pris les meilleurs cuites tout en dansant tel une diablesse enflammé.. Mais je sentais toujours une présence derrière moi...

Ce soir là tout ne sait pas passé comme prévu,

Je m'apprête à aller à la fêtes de la bière en ville, habillé d'un pantalon évasé et d'un top croisé par 2 ficelles dans le dos ainsi que des baskets Nike blanches.
Je commence à marcher le long du parc pour rejoindre le fleuve. Mais je sens que quelqu'un me suis je me retourne discrètement et vois un groupe d'homme masqué.
Sur un coup de folie, je me mets à courir. Ils me suivent et je commence vraiment à flipper.
D'un coup je me fais tirer vers un torse bien musclé. Je lève la tête vers cet homme et j'entends:
- Décidément, tu as des ennuies tout le temps jeune fille, compliqué de te proteger, ta dette va augmenter si tu continues.
Son petit rictus au lèvre et sa main sur mon visage, je me sens rassuré,
- reste avec moi Laurine.
- Ils sont partis...?
- OUI!

Ce que je ne savait pas c'est que cette dernière fête ce dernier week-end j'allais être surveillé par cet homme. La réalité c'était qu'il me surveillait depuis que mes géniteurs été parti pour pas que je m'enfuie.
Au final je me suis bien amusé.
j'essaye de le semer sans y arriver. Je me suis caché derrière un bar, où le propriétaire s'était absenté quelque instant.
D'un coup je me suis fais soulevé, mes jambes entourent son corps et ma poitrine opulente se trouve juste en dessous de son nez, je rougis instantanément.
Son regard montrait tout l'envie qu'il n'osait dire,  son souffle chaud fis monter en moi de l'excitation.
Le souffle saccadé il me dit:
- Arrête de t'enfuir je ne pourrais me retenir
Il me posa en me regardant avec une intensité déconcertante.
- Je te ramène chez toi.
Il mis sa main derrière mon dos et on rentra comme ça dans un silence apaisant.
Je n'ai pas pu dormir de la nuit...

Ce que je sait de toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant