L'amour contre l'obsession

Chapitre 26

Le ciel était déjà couvert de son voile gris exprimant que la nuit était tombée, les familles commençaient à s'inquiéter de la disparition de leurs enfants au point que la police avait été alerté et quelques uns de leurs amis où ils pourraient éventuellement être mais rien aucune trace de Liviana, ni de Landry .

Le lendemain matin

Le soleil brillait déjà de toute sa splendeur, les quelques gouttes de rosée déposer par mère nature sur les fleurs commençaient à tomber et le chant des oiseaux se faisait de plus belle. C'est ainsi que démarra cette journée en plein cœur de la forêt où ne surplombait que la nature. Et c'est dans cet immense verdure que trônait une villa dans laquelle elle venait de se réveiller.

Elle essaya d'ouvrir ses yeux malgré la lourdeur de ses paupières , son contact avec les draps lui procura une sensation méconnu et le parfum qui résidait dans la chambre était peu familier. Elle ouvrit les yeux et son regard s'attarda sur le plafond recouvert d'un tapis ancien représentant de joli motif, c'est à ce moment qu'elle se rendit compte qu'elle n'était pas dans sa chambre et se leva brusquement en regardant chaque coin de la chambre avant de le voir lui.....oui lui assis sur une chaise les jambes croisées et le regard rivé sur elle

- Franco? Qu'est ce que je fais ici?

-  bien le bonjour, tu es maintenant chez toi mon amour ; avec un sourire en coin

- pa...pardon!!!; dit elle en ouvrant grand les yeux alors les souvenirs commençaient à revenir tout doucement lui donnant d'atroces maux de tête

- dis moi que tu n'as pas osé ??

- disons que je n'ai pas vraiment eu le choix

Elle se leva brusquement du lit et se dirigea vers la porte en essayant de l'ouvrir en vain

- ne te fatigue pas ma princesse, elle s'ouvre avec une carte

- comment as tu osé me kidnapper Franco? Et pourquoi ?

- je t'ai kidnappé parce que je t'aime et que l'idée que tu puisses être à un autre m'insupporte au plus haut point ; en se levant de sa chaise

Elle eut un rire amer avant de répondre

- mais je ne t'aime pas bon sang bordel ; en criant presque, par quel langue veut tu que je te le dises

- l'amour c'est juste une question de temps et à force de me voir tout les jours tu finiras par m'aimer ; en s'approchant dangereusement

- ne rêves pas trop ma famille a dû alerté la police et ce n'est qu'une question de temps pour qu'on me retrouve ; avec un soupçon d'espoir dans la voix

- ça par contre ce n'est pas prêt d'arriver, on est au beau milieu de nulle part donc accepte l'évidence qui s'offre à toi

- jamais je n'accepterai d'être ta prisonnière

- tu n'es pas ma prisonnière mais ma femme ; en passant son index sur sa joue et se fut une bonne gifle qu'il reçu en retour

Sans attendre un instant elle essaya d'ouvrir à nouveau la porte puis ensuite les fenêtres tout en criant à l'aide sous le regard de Franco qui le laissait faire sans mot dire

- Il serait vraiment dommage que tu abîmes ta jolie voix, tu auras beau crier mais personne ne pourra t'entendre ma chérie

- tu n'es qu'un monstre ; dit elle avec rage et colère mêlé

- ce compliment me va droit au cœur ; en faisant mine d'être touché au cœur, mais pour l'instant tu as besoin de te reposer Berta t'apportera à manger d'ici une heure, à tout à l'heure ma princesse

Il sortit en prenant le soin de fermer la porte derrière lui et c'est à ce moment qu'elle se rendit compte de la gravité de la situation en se laissant tomber sur le sol , son cœur battait  fort à lui faire mal au tempe tandis que ses pensées étaient toutes dirigeaient vers Landry.

Plus tard dans la journée

L'attente a été longue depuis que la police avait commencé ses recherches. C'est aux alentours de 12h qu'un des hôpitaux de la ville a prévenu les a prévenu car ont les a amené un corps presque sans vie et dont la description donné correspondait bel et bien à celle de Landry. Il fut admis aux urgences et son état était des plus inquiétant au grand désarroi de la famille Dulonson tandis que celle Monténégro restait sans nouvelles de leur fille.

Une heure plus tard

C'est avec un profond soulagement que les parents de Landry virent le médecin arrivé avec l'espoir d'entendre de bonnes nouvelles mais tel ne fut pas le cas.

- docteur comment vas mon fils; dit Susane la voix tremblante

- l'état de votre fils est plus grave que ce qu'on pensait ; avait une mine désolée

- dites nous ce qu'il en est!

- votre fils a reçu une balle qui est passée à quelques centimètres de son cœur , en plus de cela il a deux côtes et le bras cassés et ses difficultés respiratoires s'aggrave de minutes en minutes ; Susane faillit s'évanouir sur place mais fut retenu par son mari Eduard; on essaye de stabiliser son état mais il est très critique

- est ce qu'il a des chances de s'en sortir ; demanda Correna

- pour l'instant il est dans le coma mais ça serait un miracle s'il venait à se réveiller