L'incident

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Pdv Izuku Midoriya:
Mais quel con ! Je voulais juste me pencher un peu plus moi, pas glisser comme une pauvre merde de la rambarde. Heureusement Eraserhead était là...ATTENDEZ?!?! ERASERHEEEEAAAAAD !?!! Mais comment c'est possible ? Il a réussi à me rattraper tout juste grâce à ses bandelettes, qu'est-ce que j'ai eu peur merde.

J'étais complètement surpris sur le moment, mais je ne voulais pas que ça se remarque. Alors j'ai essayé de contenir toute mon excitation même si ça a été assez difficile.

Ce héros était tellement cool, tellement super ! Je ne pensais jamais le rencontrer. Par habitude il fait souvent des rondes nocturnes je ne m'attendais sûrement pas à le voir là maintenant.

Heureusement qu'il m'a rattrapé, je ne voulais absolument pas mourir maintenant ou peut-être. En tout cas c'était pas vraiment clair. Je levais la tête et le regarda.

À son expression, je lui devais sûrement des explications. Il avait des yeux glaciales, beaucoup de personnes pourraient y lire de la colère mais moi je vois surtout de l'inquiétude et de la peur...je sais pas, peut-être que je déchiffre mal son regard mais pour moi ça avait l'air d'être vraiment ça.

Pdv Shouta Aizawa :
RRRRAAAH. Ce mioche m'a fait tellement peur. J'ai réussi à le rattraper, c'est déjà ça. Maintenant un petit interrogatoire s'impose. Il va falloir qu'il coopère si il veut pas que ça se finisse mal. Pauvre gosse.

Aizawa: Bon tu m'expliques gamin ? Pourquoi t'as essayé de saut-

Izuku: ERASERHEAD VOUS ÊTES MON HÉROS PRÉFÉRÉ JE SUIS TELLEMENT CONTENT DE VOUS RENCONTRER JE- une bande des son arme de capture m'entoure la bouche m'empêchant de parler. C'était plus fort que moi. Je me devais de montrer mon excitation face au héros de mes rêves.

Ce gamin me connaît ? Comment ? Il m'a reconnu directement, une telle culture héros de fait rare de nos jours. Les enfants ne sont éblouies que par les plus grands, les plus renommés. J'étais profondément surpris, ça ne se voyait pas trop sur mon visage plus tôt neutre mais je l'étais. Ce gamin n'était décidément pas comme les autres.

Pdv extérieur :
Aizawa soupira face à l'excitation de l'enfant devant lui. Cet enfant sous l'emprise de son arme de capture lui faisait penser à un saucisson.

Aizawa: Calme toi tout de suite, je reprit calmement, Je ne suis pas le sujet de la conversation. Tu peux m'expliquer pourquoi tu as essayé de te donner la mort?

Izuku:Ah euh... Vous allez pas me croire mais je crois que c'est un gros malentendu ?

Aizawa: Un malentendu ? Ce gamin m'exaspère, développe.

Izuku: Bah pour tous vous réduire, j'étais sur ce toit et je me suis un peu trop penché. J'ai senti quelque chose derrière moi comme une présence. En essayant de m'appuyer sur la rambarde pour me relever...J'ai glissé. D'ailleurs merci de m'avoir sauvé !

Aizawa: Donc tu n'essayais pas de te suicider ? J'ai rien compris à son baratin. Mais tous de même, il m'a l'air plutôt sincère, Bien que son regard semble vide et perdu j'ai envie de le croire.

Izuku: Pas le moins du monde monsieur! Si à la base mais ça il n'a pas besoin de le savoir non ? Merci encore !

Aizawa: Bon, je soupirai, plus de peur que de mal au final.Fais attention à toi dans les jours à venir sur ceux au revoir.

Je m'apprêtais à partir en sautant sur le toit d'en face quand quelqu'un m'attrapa par la manche, je me retourna vivement en voyant le jeune garçon.

Izuku: Euh, excusez moi encore ? J'ai jeté mon téléphone dans le vide tout à l'heure. J'aimerais appeler ma mère. Je la connais et des fois elle s'inquiète pour un rien. J'aimerais l'appeler pour la rassurer. Auriez vous un téléphone s'il vous plaît ?

Aizawa: Quel idée de jeter son téléphone dans le vide ? Il n'a pas dû le faire exprès non ? Peu importe . Flemme de comprendre. Euh oui attend... Voilà. Donne moi son numéro ?

Izuku: Ah euh merci ! C'est le XX XX XX XX 92 .

Aizawa: C'est fait, je le met en haut-parleur, pas que je ne te fais pas confiance mais j'ai déjà eu de mauvaise expérience dans le genre. Mieux vaut qu'il reste entre mes mains.

Izuku: Je comprend.

Le téléphone sonna et Izuku resta stressé. Dans ce genre de situation, Inko aurait raccroché dès la première sonnerie. Qu'est-ce qu'il se passait ? Aizawa pouvait percevoir le stresse du gamin qui se voyait à mille kilomètres.

Il fallu rappeler une deuxième fois pour qu'enfin une personne raccroche.
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C'est méchant de m'arrêter là 🍤 je sais 🤣 La suite risque d'être des plus croustillantes !  Sur ce je vous laisse ! En tout ça fait 772 mots !

Euh, quoi ? [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant