Recueil os sherliam : Moriarty The Patriot

J'aimerais tant voir une bague a ce doigt

Me revoilà ! Avec temps d'attente ! Je vous ai manqué ? (Dites que oui.)
Sans relecture car j'ai eu la flemme 😭
C'est vraiment pas incroyable mais voilà.

———————————————————

«Tu es magnifique, Liam» un sourire se dressa sur la courbe des lèvre de Sherlock, son regard océan se délectant de chaque parcelle du visage souriant de William, savourant chaque morceau de lui.

«Tu me l'as déjà dit.» sa voix était douce comme du velours et son sourire aussi pure qu'un nouveau né, le rendant encore plus magnifique au yeux de son amant.

«Et alors ?»

«Dix fois depuis ce matin, Sherly, et nous n'avons même pas encore déjeuner.» un doux rire sortit de ses lèvres, il aimait entendre son Sherly dire qu'il le trouvait beau, cela le rassurait, même si il est vrai qu'il sais se montrer très insistant sur ce point —non pas que ça lui déplaise, au contraire—.

«Ce n'est pas ma faute si tu es magnifique.» Sherlock pris une fleur a côté d'eux et la plaça dernière l'oreille de son partenaire. Sa tête reposait sur les cuisses de William qui lui massait calmement le cuir chevelu.

Les herbes vertes et fraîche du printemps les enveloppaient dans un petit cocon d'intimité qui ne leur faisaient que du bien, leur permettant de se retrouver seuls, rien que tout les deux.

Apaisé par la main douce du mathématicien, le détective laissa doucement ses paupières se fermer, profitant de chaque geste délicat de sa moitié. William se pancha alors pour embrasser le front de Sherlock et de lui murmurer un doux "je t'aime".

William n'avait pas encore pris l'habitude de déclarer ses sentiments à Sherlock mais il essayait quand même de les lui dire. Il avait parfaitement conscience que Sherlock n'avait pas besoin de mots pour le comprendre mais il savait aussi qu'il les adoraient.

«Pas ici.» se mit a grogner le détective avec une petite moue sur les lèvre que William qualifierais "d'adorables".

«Vos désir sont des ordres, princesse ~» les lèvre de William rencontrèrent celles celles de Sherlock dans un rapide et agréable baisé.

Le noireau ne pris pas la peine de relever le surnom et au lieux de cela il fonça doucement les sourcils. «Seulement ?»

«Tu es gourmand, Sherly.»

«Et toi radin.»

«C'est faux.» et pour accompagner ses mots, le blond recouvra entièrement le visage de l'autre homme par une envolé de baisé.

«D'accord, d'accord ... A moitié alors» une expression renfrogné lui répondit alors que sa main rugueuse attrapa celle du mathématicien pour l'embrasser. Ses doigts se mirent a caresser l'annulaire nu de William. «J'aimerais tant voir une bague a ce doigt» dit il avant de l'embrasser une nouvelle fois.

Les joues de William se sont teinté d'une couche de rose lors de la déclaration de son amant. Un doux sourire amoureux se courba sur ses lèvres. «Qu'est-ce qui t'en empêche ?»

«Je n'ai pas d'argent...»

«Et alors ? Dans tout les cas ma réponse sera un "oui"»

Aux mots employé par William, Sherlock se redressa soudainement et pris le visage de son amant en coupe. À cet instant, les saphir rencontra le rubis dans un échange silencieux et bruyant a la fois.

Le temps était comme suspendu pour les deux hommes. Les deux s'aimaient a la folie : ils n'avaient pas besoin d'un bout de métal pour se le rappeler, ils n'étaient pas non plus jaloux et possessif donc ce ne serait pas une façon de dire que l'un appartenait a l'autre. Non , ce n'était simplement par ce qu'il en avaient envie, qu'ils voulaient y croire et qu'ils savaient que cela marcherait, qu'ils n'avaient pas failli mourir pour rien et que leur amour pouvait être vécu.

Sherlock fut le premier a briser l'échange en tournant la tête en direction des herbe non loin d'eux. Il pris une fleur par la tige et roula celle ci en forme d'anneaux — chose qui s'avéra plus compliqué que il ne le pensais, provocant de petits rire chez le plus jeune—. Son regard se posa une nouvelle fois sur William, ses lèvres s'entrouvrèrent légèrement, réfléchissant a ses prochains mots. «Dans ce parc d'un pays et d'une ville qui nous est inconnu — même si nous y sommes depuis trois ans maintenant — par la suite d'un saut qui a failli nous coûter la vie et ta coûté une partie de la vu, toi, mon Liam, veux tu accepter ici et maintenant de m'épouser ? Loin de nos familles et avec une alliance faite avec une fleur ?»