Super Mario Bros Collection {BowserxOC}

Passion

Nouvelle histoire ! Alors oui je sais, ce n'est pas le format habituel, mais j'ai décidé d'innover un peu. L'histoire étant démesurément longue, j'ai pris la décision de la couper en trois parties pour plus de confort. Un peu comme une mise en bouche. Ici donc, vous avez l'introduction.

J'espère sincèrement que vous l'apprécierez ... Car j'ai longuement hésité à faire quelque chose comme ça, donc je compte sur vous pour me dire ce que vous en pensez.

Bonne lecture !

Bon stop les plaisanteries je préfère avertir que c'est purement PARODIQUE et pour but de troller certains de mes lecteurs XD (soit dit en passant, qui a fonctionné à merveille !) et cette "histoire" ne sera publié qu'ici, parce que j'assume pas mdrr

Passion

C'était un jour particulièrement ensoleillé dans le Royaume de la lave. Alors que Solfège et Bowser profitaient de leur journée au bord d'une source chaude avec leur fils Junior, ils ne pouvaient s'empêcher d'être reconnaissants pour la vie qu'ils avaient construite ensemble. Ils étaient mariés depuis cinq ans maintenant et chaque jour était une nouvelle aventure.

Après avoir nagés dans l'eau chaude de la source, et profités de quelques éclaboussures, ils avaient pris la décision d'étendre une couverture sur l'herbe sèche afin de savourer un délicieux pique-nique. Bowser avait préparé tous leurs plats préférés, y compris une bouteille de vin rouge qu'ils partagèrent pendant que Junior jouait avec les canards à proximité. Le cadre était idyllique. Le temps était magnifique, tout comme l'ambiance qui régnait sur le château depuis quelques temps. Ils s'amusèrent ainsi tous les trois durant une bonne partie de l'après-midi, jusqu'à ce que Bowser Jr ne s'endorme sur la couverture à carreaux, une petite bulle sortant de son museau rond. Tandis qu'ils se dirigeaient vers la voiture avec les affaires sous les bras, Bowser chuchota soudainement à l'oreille de Solfège les mots suivants.

«Je te veux maintenant.» Roucoula-t-il d'un sourire séduisant. Le cœur de Solfège s'emballa violemment dans sa poitrine lorsqu'elle le regarda droit dans les yeux pour s'assurer qu'il ne plaisantait pas, choquée par ses propos. Était-il sérieux ? Après tout ce temps ? Puis elle sentit une bouffée de désir parcourir son corps, la faisant presque lâcher toutes les affaires sur le sol.

«Rentrons à la maison.» Dit-elle à bout de souffle en lui prenant la main et en l'entraînant vers la voiture garé sur le côté, abandonnant la couverture et Junior qui dormait toujours à point fermé.

Ils roulèrent en silence, les mains entrelacées, cependant une seule chose leur trottait en tête. Qu'allait-il arriver maintenant ? Une question qu'aucune des deux ne s'étaient encore posée jusqu'à aujourd'hui. Mais Solfège sentait l'angoisse monter d'un cran alors qu'ils approchaient des lourdes portes visibles à l'horizon. De l'angoisse ou de l'appréhension, elle l'ignorait. Une fois arrivés au château du Roi des Koopas, Bowser la plaqua aussitôt contre la porte et l'embrassa passionnément sans dire un seul mot. Il la souleva puis la porta jusqu'à la chambre à coucher, où ils tombèrent sur le lit dans une frénésie de désir qui dura pratiquement toute la soirée. Ils firent l'amour avec une intensité féroce, explorant leurs corps respectifs avec abandon.

Alors qu'il enlevait sa carapace pour la mettre de côté d'un soupir d'épuisement, le Koopa géant entrelaça son corps dix fois plus volumineux avec celui de Solfège qui ressentait un sentiment de liberté et de libération. Elle ne s'était jamais sentie aussi vivante et connectée à quelqu'un de toute sa vie, c'était magique ! Le toucher de Bowser était électrique et lui donnait des frissons dans tout le corps. Leur amour était un refuge contre le monde extérieur, un rappel que la beauté existait bien dans un monde aussi fragile et chaotique. Ils restèrent dans les bras l'un de l'autre jusqu'au coucher du soleil, puis se séparèrent à contrecœur pour la nuit, chacun sachant que peu importe ce que l'avenir leur réservait, ils resteraient à jamais liés à ce moment. Lorsque le soleil commença à se lever, la douce lumière filtrant à travers les rideaux, Solfège s'agita dans son sommeil d'un gémissement. Sa silhouette se découpait parfaitement sur les draps, les courbes de son corps l'invitant à la toucher une fois de plus. Il se pencha vers elle, posa ses immenses lèvres sur sa nuque ce qui la fit frissonner en réponse.

«Tu as bien dormi ?» Se soucia Bowser d'une voix groggy, les yeux à mi-clos.

«Non, tu ronflais beaucoup trop.» Se plaignit Solfège en réponse d'une grimace. Ses cheveux étaient en bataille, elle ne ressemblait plus à rien désormais. Surtout après le passage de Bowser !

Tu m'étonnes.

«Je ne savais pas que tu pouvais retirer ta carapace ! C'est bizarre, j'ai l'impression que tu es nu.» Remarqua-t-elle ensuite en se redressant pour désigner la carapace posée innocemment contre le mur de la chambre. C'était la première fois qu'elle le voyait ainsi, et elle n'était pas sûr si ça lui plaisait ou non. Après tout, il perdrait énormément de masse sans cette carapace menaçante !

«Ma chérie, je me balade toujours à poil ! En permanence dans mon château. La carapace n'est pas un vêtement tu sais. Et ça n'a jamais dérangé personne !» Ricana grossièrement l'immense tortue dans son dos après s'être positionné sur le dos pour regarder le plafond d'un sourire conquis. Les bras croisés derrière sa tête, il attendit que Solfège se tourne vers lui pour lui faire un haussement de sourcils charmeur. Qui ne semblait pas faire effet, étrangement.

«Met au moins un slip.» Grimaça la jeune femme qui le regarda de haut en bas, n'étant pas non plus habitué à le voir allongé sur le dos. Cela faisait ressortir son gros bidon ! Et en contrepartie, chute libre de la libido.

«Non, ça gratte ! Ça m'irrite les boules. Et puis je préfère le contact écailles contre peau ... C'est plus intense comme sensation.» Répondit aussitôt le Roi Koopa en se penchant au-dessus de l'humaine bien plus petite et frêle que lui. N'ayant pas perdu son sourire séducteur, il l'emprisonna dans un baiser, ou plutôt il embrassa son visage tout entier car sa bouche était trop grande. Après un instant, il s'écarta.

«Tu pue de la gueule ...» Constata-t-il tout en effleurant le bout de sa griffe sur son nez.

«Toi aussi chéri.» Solfège se mit à lui sourire amoureusement.

C'était la plus belle déclaration qu'on lui avait faite.

A suivre ...

Voilà, j'espère que vous avez apprécié cette première partie !

Encore une fois, pas taper, c'est une parodie, un vulgaire troll. Rien de sérieux ! C'était juste pour faire rire et en plus j'ai eu l'aide d'un certain logiciel 👀

A bientôt, VP