Chapitre 21 : Mille à l'heure

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Stane, 9H00

Ma mère veut me voir ? C'est quoi ces conneries.

Je me diriger vers mon bureau en furie et chercher mon téléphone pour l'appeler.

Les bips retentissent et la voix de ma mère parvenue au téléphone.

–Stane pourquoi m'appelle-tu ?

Il parait que tu veux me joindre, je t'ai donné l'argent sa te suffit pas ? M'énerve-je

Justement. Commença-t-elle. Je n'ai rien eu. Et tu n'es jamais venue me le donner.

C'est quoi cette mascarade encore, je me souviens avoir déposer l'argent sur la table de la cuisine car elle n'était pas là.

– Je t'ai donné l'argent le jour même où tu m'as appelé et tu n'été pas là, alors je l'ai déposer sur la table.

Je t'assure que je n'ai rien eu. Confirma-t-elle

–Tu te fou de moi ? Tu trouve ses excuses pour avoir plus d'argent ?

Bien sûr que non ! S'exclama-t-elle

– J'y crois moyen. Bref je passerais plus tard et assure toi d'être là.

Puis je raccrochai et laissa tomber mon téléphone sur mon bureau.

Je suis sûr que c'est encore une de ses russes. Mais pour confirmer ça je vais passer à l'improviste et fouiller dans les moindres recoins de cette maison.

On va voir si elle me ment ou elle dit la vérité.

Bien que j'ai autre chose à faire que d'aller voir ma mère. Il faut que je règle se quiproquo.

Harley, 19H30

J'ai vue Stane sortir à l'instant et je pense que c'était le moment.

Je rentrer dans ma chambre que je prenais bien soin de fermer à clé après avoir diner avec Rallye et Valentin. Puis je préparer une nouvelle fois mes affaires. Tout été réuni. J'avais ce qu'il me fallait.

Mais j'avais peur.

Même si tout été prêt je rester quand même assise sur mon lit à me dire, es que j'ai bien fait de pendre cette décision. Elle n'a pas été facile certes mais il le faut. C'est pour leur propre bien que je fait ça. Mais je culpabilise un peu.

Je pris une grande inspiration et pris mes affaires et ouvra la fenêtre.

Courage Harley. Dis-je a moi-même.

Stane, 20h00

Devant la porte de la maison de ma mère ou j'avais attendu quelques minutes avant de toquer tellement j'avais peur de la revoir. Peur que ce que j'ai vécu recommence.

Mais elle m'a accueilli avec un grand sourire, comme si tout été normal, comme si elle accueille son fils bien aimer alors que ce n'est pas le cas, elle se fiche pas mal de m'avoir battu avec ma sœur tant qu'elle a de l'argent. Je suis juste sa source de revenue.

La voir aussi joyeuse et nier tout le mal qu'elle nous a fait, amplifie ma haine que j'ai envers elle.

Je ne prêter pas plus longtemps attention à sa comédie et commença à fouiller la maison de fonte en comble.

Que fait tu ! Cria ma mère lorsque je fouiller sa chambre.

Ça se voit non ? Je cherche l'argent que t'a planqué. Lui répondis-je froidement

Je ne l'ai pas caché ! Insista-elle

–On en reparlera une fois que je l'aurais trouvé.

Passé Rose RougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant