Chapitre 7

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Note: Hello.
Katsuki m'a glissé entre les doigts du coup ce chapitre contient un....Lime je dirai, ça va pas jusqu'au lemon non plus. Bonne lecture.

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Izuku se trouvait devant la porte d'entrée de la maison des Bakugo. De là, il pouvait entendre les cris de Katsuki qui suppliait qu'on le relâche, qu'il pouvait sentir les phéromones d'Izuku tout près de lui. Midoriya déglutit. Et si tout ça n'était qu'un vaste malentendu ? Et s'il n'était pas l'oméga destiné à Bakugo ? L'application disait vrai, il était en plein milieu de son rut mais aucun signe de s'était encore montré...

-Evacuez la maison, Deku va rentrer.

Au téléphone avec les parents de Katsuki, Kirishima avait pris les choses en main. Cela faisait sept ans que cela durait et il été temps de mettre fin à toute cette mascarade. On ne pouvait pas séparer un alpha dominant de son oméga aussi longtemps sans qu'il n'y ait des conséquences.
Quelques secondes plus tard, les cris de Bakugo se stoppèrent. Izuku arqua un sourcil. Comment avaient-ils réussi à le calmer ? La porte de la maison s'ouvrit sur les parents de Bakugo accompagnés de monsieur Aizawa. Ils posèrent un regard désolé sur lui avant qu'Aizawa ne lui tende une clé.

-On a dû l'assommer pour pouvoir sortir. On a fermé la porte de sa chambre à clé.

Izuku observa la clé qu'on lui tendait.

-C'est à toi de décidé ce qui se passe ensuite. On ne viendra que si l'un de vous nous appelle. Sinon....je pense qu'il est préférable que vous gériez la situation vous-même. Ce qui aurait dû être fait il y a des années, annonça-t-il en fixant lourdement du regard Eijiro.

Midoriya se saisit de la clé.

-Donc, si ça tourne mal, je vous appelle c'est ça ?
-Exactement. Shoto sera capable de nous amener ici rapidement.

Izuku lança un dernier regard vers son ami avant de pénétrer dans la maison et de refermer la porte derrière lui. La maison est emplie de l'odeur de Katsuki. Izuku sentit instantanément son corps se détendre. Il devait être ici, son corps lui criait de rejoindre Bakugo.
Montant les marches pour rejoindre l'étage, il se stoppa devant la porte de Katsuki. L'odeur était encore plus forte ici. Il sentit son corps se recouvrit d'un frisson et la tête lui tourner. Il ne se souvenait que trop bien de ces symptômes. Le rut était en train d'arriver.

Il inséra la clé dans la serrure et la déverrouilla. Il tourna doucement la poignée, laissant apparaître une chambre dévastée et Katsuki, allongé sur son lit. Il avait l'air d'être en train de dormir. Combien de temps resterait-il inconscient ? Vu l'état de la chambre, le contenir n'avait pas dû être une mince affaire.

Izuku s'approcha doucement du lit, son corps prenait des décisions à sa place. Il s'assit contre son ami et passa délicatement sa main dans ses cheveux. Il avait chaud, il avait vraiment chaud, beaucoup plus que d'habitude.

-J'espère que tu m'en voudras pas d'être venu ici.

Katsuki ne répondit pas. Izuku en profita pour s'allonger contre lui, son visage à quelques centimètres de celui de Bakugo.

-J'aurais voulu que tu me le dises à l'époque Kacchan....

Des larmes montèrent jusqu'à ses yeux.

-On a perdu sept années.....

Izuku ferma les yeux, profitant de l'odeur entêtante de Bakugo qui l'entourait. Il le savait, c'est là qu'il devait être. Il se laissa aller contre lui quelques minutes avant que le corps chaud de Bakugo ne se mette à bouger. Surprit, Izuku ouvrit les yeux et tomba sur le regard rouge de son ami. Il n'osa plus bouger, essayant de rester calme.

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