Réflexion LA revisite de Roméo et Juliette.- EN CORRECTION-

Chapitre 4: Juliette

Je rentre dans ma chambre épuisée de ma journée. Je me jette dans mon lit en réfléchissant. Que-ce-que je pourrais faire? Quelqu'un frappe soudain à ma porte et je me lève exaspérer pour aller l'ouvrir. Nathalie ce tient juste là une robe en mousseline rose dans les bras. 

-Tenez Juliette, le coiffeur arrive à...Elle consulte sa tablette en plissant les yeux. A 20h05 avec une maquilleuse. 

Elle me tend la robe. 

-Euh...Natalie, je ne pourrais pas mettre autre chose. Vous savez que je déteste le rose. 

L'assistante de ma mère hésite. 

-Très bien Juliette mais vous devrez gérer la colère de votre mère...

J'opine du chef. 

-J'en assumerais toute les conséquences et oui je serais en bas à 20H05. 

Natalie sort de ma chambre. Une fois quels fut belle et bien partit, je me dirigea vers mon dressing et avança vers la partit des robes de cérémonie. Ma verte, ma préféré est bien trop sage pour ce que je veut faire. J'ai un plan et il va falloir assumer. Je regarde les robes que je n'est encore jamais mise. J'opte pour une robe bleu bustier qui m'arrive au cheville avec une grand ouverture sur le coter droit. Je met avec des escarpins puis je regarde dans le miroir. La couleur de la robe ce marie bien avec celles de mes yeux. Il est 20 heure. Je sort de ma chambre pour arriver dans mon propre salon qui ouvre sur ma galerie d'art, mais je trace jusqu'à la porte d'en face, celle qui mène au couloir principal du troisième étage. J'observe les dorures qui ce trouve à mes cotés. 

Trop de chance et trop de luxe m'entoure. Je dévale les escaliers et m'arête net devant la salle de musique je regarde l'heure, il est 20h02. Je regarde autours de moi et entre. La pièce arrondie est sombre et ne laisse voir seulement un piano à queue au centre de la grande pièce. J'enlève le draps blancs qui recouvre le piano et je fais courir mes doigts sur les touches. 

J'ose à peine m'assoir. La dernière fois que j'ai jouer c'était à mes onze ans. Mais facilement et sans partition devant moi mes mains entame les mouvements et les notes viennent seuls. 

Lettre à Elise... 

Je m'arête un instant pour m'assoir et je sent soudain emporter comme autrefois. La magie du piano à toujours eu cet effet. Cet instrument me rappelle des malheurs et soudain mes doigts ce fiche. Quelqu'un est rentrée dans la salle. Je regard rapidement l'heure, il est 20H56. Quelqu'un pause sa main sur mon épaule et je n'est pas besoin de me retourner. Les larmes coulent et roulent d'elle même. Je vais mourir...