Réflexion LA revisite de Roméo et Juliette.- EN CORRECTION-

Chapitre 3: Roméo

Lorsque je rentre dans ma chambre après avoir était chez Rosaline je trouve un costard posé sur mon lit ainsi qu'une lettre. 

Roméo, Mon fils ce soir nous allons à une réception des Capulet. 

Pourquoi? 

Et bien ils est temp de monter notre plan. Retrouve nous en bas quand tu seras près. 

Nous te tiendrons informé. 

                                   Ta mère. 

Après tout Rosaline et une Capulet pourquoi ne pas rencontrer sa famille? 

J'enfile le costume et me coiffe puis je regarde une dernière fois ma chambre, avec salle de bain, dressing, murs bleu clair télé, jeu vidéo, piano et livre ainsi qu'un lit simple puis je sort. Ma chambre ce situe au deuxième étage. Celui des invités ce trouvent au troisième et la suite de mes parents ce trouvent au premier. 

Je descend en regardant le lustre et toute les dorures des escaliers blancs certifs d'or. Ma mère m'attend en bas avec mon père. Ils montent tout deux dans la limousine qui les attends devant la porte. Ma mère fait encore assez jeune. Ses cheveux bruns impeccablement bouclé, pas trop de ride et c'est d'ailleurs ce qui fait sont suces en temp qu'actrice. Même si je sais que sa pire ennemies Lady Capulet et la femme chez laquel nous nous rendons je ne peut m'empêcher d'essayer de deviner le nouveau plan infame que ma mère à préparer. Mon père lui est un fils de riche milliardaire et lui même homme d'affaire. Une fois qu'ils sont tous deux monter dans la limousine mon cousin Ben et moi montons dans une Porsche 911 rouge. 

-Alors Roméo comment va Rosa? Demande Ben. 

-Elle va bien. 

-C'est triste, je pense qu'elle n'à pas était invité. En même temp ce n'est pas par hasard la Capulet qui vit dans un simple verger. 

Je manque de flanquer une gifle à Benvolio. 

-Et toi tu n'est pas seulement le cousin d'un milliardaire? Si. Alors que fait tu ici? Dans une Porsche 911? 

Ben me dévisage. 

-Roméo,  *Come Hai potuto lasciarti destabilizzare da un semplice contadino? (*Comment à tu pu te laisser déstabilisé par une simple fermière?)

-Une simple fermière? Benvolio!!!! Je m'exclame. 

Comment peut-il traiter Rosaline de cette façons. 

Ben me regarde avec une tristesse infinie. 

-C'est la bonne! Et aucune autre fille ne pourras rivaliser! Je reprend sur le même ton. Aucune...