« Ayant sauvé de justesse Suguru des griffes de Kenjaku, tu as conclu avec lui que tu le cacheras dans ta chambre jusqu'au moment précis. Sur cette décision, vous êtes retournés à l'école d'exorcisme, tapis dans l'ombre. »
Δ ‒ Chapitre Court ( ~ 1000 mots ). Δ ‒ Chapitre sans spoil ! ( mais difficile à lire sans le contexte de l'histoire... )
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Quelques jours passèrent ainsi. L'état de Suguru étant très instable, tu avais sollicité l'aide de Shoko. Celle-ci, au début craintive, avait fini par tout comprendre et était heureuse de retrouver Suguru. Avec son aide, il se portait de mieux en mieux. Il logeait dans ta chambre, où tu lui apportait également de quoi se nourrir et s'habiller.
Un soir, alors que tu t'apprêtais à rentrer dans ta chambre après une rude journée d'entraînement, Satoru te saisit le poignet avant que tu n'ouvres la porte. Étonnée, tu te tournas, le contemplant de haut en bas.
« Qu'est-ce qu'il y a, Satoru ? demandas-tu.
‒ Je voulais juste te souhaiter une bonne nuit, dit-il en ne lâchant pas ta main, et te dire que tu as fait du bon boulot, aujourd'hui encore.
‒ Merci beaucoup ! répondis-tu en prenant des couleurs. C'était un plaisir s'entraîner ! À ce rythme, tu vas défoncer Sukuna !
‒ Oui... »
Il n'avait pas son bandeau, car il savait que tu aimais beaucoup contempler ses yeux. Tu ne les avait d'ailleurs pas quittés du regard. Soudain, il s'avança dangereusement vers toi, te forçant à reculer contre la porte de ton dortoir.
« Que... Satoru...? bafouillas-tu, perplexe.
‒ Tu n'as pas tes katanas sur toi, murmura-t-il dans ton oreille, alors... je peux faire sortir le « côté romantique ? »
Tu n'eus pas le temps de rétorquer, que Satoru posa ses lèvres sur les tiennes, en les mouvant sensuellement, tout en faisant glisser ses mains sur tes hanches. Ses baisers étaient doux, mais passionnés et provocateurs. Il caressa ton bassin et passa une main sous ton T-shirt, tout en continuant de t'embrasser, collant son corps de tout son long sur le tiens.
Ses mains parcoururent ton ventre. Pendant qu'il introduisit sa langue dans ta bouche en dévorant tes lèvres, ses mains passèrent derrière toi, cherchant à dégrafer ton soutient-gorge.
Soudain, il sortit une main et la posa sur la poignée de la porte de ta chambre, sûrement dans le but de l'ouvrir et de continuer à l'intérieur. Mais une pensée te traversa l'esprit. Suguru !
