𝐓𝐨 𝐈𝐧𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭𝐲 𝐀𝐧𝐝 𝐁𝐞𝐲𝐨𝐧𝐝 - Gojo Satoru x reader

Chapitre XVI - Scellé un jour, scellé toujours ?

{ʟᴇ ғʀᴜɪᴛ ᴅᴇ ʟᴀ ᴘᴀssɪᴏɴ}

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Cela faisait un mois que le printemps s'était épanoui lorsque tu te décidas enfin à considérer Ryomen Sukuna. Celui-ci résidait encore dans l'humble corps de Yuji, qui continuait de le contenir et de s'approprier ses techniques. Pensive, tu étais dans ta chambre, assise à ton bureau. Devant toi étaient étalés une multitude de papiers où tu avais pratiqué divers brainstormings sur le Roi des Fléaux. Leur jetant un dernier coup d'œil, tu te levas et commenças à faire les cents pas.

« Profite bien de Yuji, Sukuna. dis-tu d'un ton froid. Bientôt, je ferrai ton clone occulte, et tu vivras seul dedans, sous serment, bien évidemment. »

« Comment tu comptes t'y prendre cette fois, guerrière ? demanda une douce et suave voix grave derrière toi alors que son propriétaire commença à t'enlacer.

‒ Bon sang Satoru préviens quand tu entres au moins !!!

‒ Et pourquoi ? Tu as toujours des choses à me cacher ? demanda-t-il en te taquinant.

‒ Non, je t'ai toujours tout dis... lorsque tu me demandais. Et donc, pour en revenir à ta question, on va devoir constituer un sceau pour que quelqu'un puisse autoriser ou non Sukuna à utiliser ses pouvoirs. Un peu comme Mei-Mei et son petit frère.

‒ Je vois. répondit Satoru. Mais Yuji en sera aussi privé, je me trompe ?

‒ C'est là que ça se complique... plusieurs possibilités s'offrent à nous. soupiras-tu en t'asseyant sur ton lit en un proposant la chaise à Satoru.

‒ Dis-moi tout.

‒ Sukuna peu faire ressortir sa forme originelle. Si on parvient à enlever son âme du corps de Yuji, le Roi des Fléaux sera capable de reprendre forme humaine sur n'importe quel être vivant. On n'aurait qu'à prendre n'importe quoi, même un fléaux et l'affaire sera réglée. Ensuite, deuxième option-

‒ Stop ! Ça me parait parfait ! te coupa Satoru. Et comment on fait ça ?

‒ Et bien c'est totalement envisageable car je l'ai déjà fait pour Megumi, quand je l'ai dissocié de Sukuna, pour le retransmettre à Yuji. répondis-tu.

‒ Ok mais juste une chose : comment tu sais tout ça sérieux ?

‒ C'est mon sort.

‒ C'est-à-dire ? demanda Satoru, perplexe.

‒ Depuis le début j'utilise pleins de techniques différentes et la question ne vous est jamais montée à l'esprit ou quoi ?

‒ Je te la pose, justement. soupira-t-il.

‒ Mon sort personnel, à moi, c'est... la copie.

‒ Je comprends mieux maintenant. souffla Satoru en s'esclaffant. Toute ton histoire de parcours du Monde se tient debout. Et le Maître Papi comme tu l'appelle, c'est qui ducoup ?

‒ Un de mes nombreux professeurs. Il m'a beaucoup appris, je suis restée en Chine avec lui 5 mois je crois, ce qui est très long comparé aux autres visites que j'ai pu faire.