« Satoru avait suivit le proviseur Yaga en dehors de la salle d'entraînement pour connaître la raison de cette brusque intervention au beau milieu de ton premier test. Avant de partir, Satoru affirma que tu avais réussi ce premier examen en question, mais il se questionnait encore quant à ta vrai puissance, et comptait bien te tirer les vers du nez, de quelles manières que se soit. »
♣‒ Chapitre Long ( > 4600 mots ). ♣ ‒ Propos vulgaires et violents.
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Tu étais restée dans la salle d'entraînement, assise en tailleur sur un tatami, les yeux clos. Tu étais plongée dans tes pensées. Ses yeux incroyablement bleus t'avaient particulièrement perturbée. Tu t'était sentie absorbée, en quelques pauvres fractions de secondes, par ces deux disques, mélange de cyan, d'azur et de cristaux.
Tu fus tirée de tes pensées par Satoru, qui rentra par la porte coulissante de la salle d'entraînement, les mains dans les poches, des lunettes noires opaques sur le nez. À son attitude soudainement très détendue et au léger rictus qui se dessinais sur son visage, tu soupçonnais une idée mesquine de sa part. Tu le sentais s'avancer en ta direction. Il se pencha au dessus de toi et s'exclama d'un air narquois:
« J'espère que tu ne dors pas ! J'ai une mission pour toi. Vois ça comme un deuxième test. Je vais te tirer les vers du nez, t/p ; »
Tu entrouvris les yeux.
« Mh. rechignas-tu, pas du tout motivée pas les propos de Satoru.
‒ Aller, fait pas cette tête et dépêches toi de prendre les affaires dont tu auras sûrement besoin pour combattre. enchaîna-t-il d'un ton presque pressé. Genre... tes katanas.
‒ Hein ?! T'es sûr que je vais en avoir besoin ? demandas-tu, perplexe.
‒ Eh bien, j'en suis pas sûr, mais c'est très probable ! dit-il le sourire jusqu'aux oreilles.
‒ Manquerai plus que je meurs... soupiras-tu.
‒ T'inquiète ! dit-il avec son sourire égocentrique. Je suis le plus fort, tant que t'es avec moi il peut rien t'arriver.
‒ Mhf. soupiras-tu. Arrogant.
‒ Moi ?! s'exclama-t-il en tirant une tête de chien battu.
‒ Oui toi... »
Tu le suivis jusqu'à ta chambre, dans laquelle tu décrochas tes deux katanas que tu avais accrochés au mur. Satoru t'attendait sur le seuil de ta porte.
