DEAMON'S DETECTIVE Tome 1

IV [ Los Angeles ]

                                   7

                        Camp ennemi

                               Yelena

《 Comme Papa et maman 》

Écriture vorace, mariée du sang d'une victime allongé contre le mûr, qui contenait le message en question.

Ça me rappelle cette pluie  sur laquelle j'avais trouvé John inerte au sol. Son regard était  assombrir par le désespoir. Ce souvenir qui avait détruit la Yelena d'en temps.

Pas besoin de savoir exorciser pour savoir que Lorgane a un lien avec la mort des parents de Yelena.

Ça me donne une raison de l'étrangler convenablement.

Dire que c'est la seule chose que je peux faire pour elle ou du moins ce qu'elle m'avait faire  promettre avant de se fondre dans mon masque stoïque froid, Yel.

— Yel? Tu vas bien ? M'interpelle Michael. Sa voie semble intriguée par l'absence que j'avais eu.

— On doit retrouver L'organe.

Je quitte la pièce  le temps de laisser parler ma logique au lieu de souvenir superflu, mais s'était sans compter sur cet ange qui me barre la route.

— Réfléchis un peu, ça sent l'embuscade. On pourrait se retrouver face à des escouades tout entière ou pire  face à Blathazar lui même. Ses iris s'illuminent de peur et d'inquiétude au moment où elle prononce ce nom et les visions que j'avais eu d'elle, morte sur une panoplie de rose son cadavre posé me reviennent. 

— Eh bah on les attendra. Lui crache-t-elle d'une froideur.

Je la dépasse et balaie dans le même temps ses sentiments presque trop purs pour une enveloppe charnelles tel qu'elle.

— Si on se rend là-bas on va mourir. M'avertis après qu'un sanglot l'échappe.

Elle a raison mais la sensation de decouvrir la verité est trop tentante.

—  Alors laisse mourir ton petit ami. Dis-je en faisant mention de Velt.

Je défile les escaliers et m'enferme dans la chambre de Velt avant d'inhaler ma cigarette. L'impression d'enfin respirer me traversais les poumons jusqu'à me cloitrer au sol. Et juste pour un moment tous ces souvenir s'arretais.

Mon addiction à la cigarette a été la seule benediction pour lutter face à mon passé. Dire que j'ai commencé après maman soit morte. Avant ça, seul la porte de ma chambre recadrai la  pressions de l'école et surtout des colles.
Je me souviens de ce jour où maman est entré dans ma chambre et m'avait vue pleuré, comme toujours.
Elle venait près de moi avec ses béquilles et s'asseyais, le visage contrastant du mien apeuré.

— Il te manque ? M'interrogeais-t-elle.

Comme toujours j'avais peine à cesser ces larmes. Mais au lieu de tabac je prenais de grosse bouffé d'air tentant du moins que je peux de paraître moins triste que je ne l'étais déjà.

— Il a voulu  jouer aux héros, alors c'est son problème s'il est mort. Disais-je en relevant la tête. Je me fais du soucis pour toi. Mentais-je en croisant ses iris emplit de douceur et de sincérité.

— Je vois murmurait-elle, tentant d'avaler mes mensonges. Son expression changea et elle me servait un sourire des plus agréables.

J'avais du mal à croire qu'elle souffrait de la mort de papa, mais c'était bien le cas. Il ne te disais pas, mais ton père s'inquiétait pour toi. Il appelait tous les soirs, histoire de savoir si tu allais bien. Elle ricanait, tout étant perdus dans ces pensées. C'était un père poule tu sais, lorsqu'il demandait de tes nouvelles sa voie vrillait il avait tendance à parler pendant des heures de combien il t'aimais Yelena. Son regard pendait vers le bas comme lui, le jour de sa mort, c'était comme si le souvenir qui lui était revenue la touchait plus que les autres. Il me disais de faire ce qui te semblait juste.