Call Center

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Je travaillais depuis quelques mois dans ce call-center à Dakar. C'était un de ces jours où les plateaux se désertifient. La journée était calme et les appels assez rares. A mon ensemble de bureaux, nous n'étions que deux sur six postes disponibles. Moi et une fille dénommée Adja que je connaissais un peu, cela faisait plusieurs fois que nous faisions le même shift. Nous avions fait connaissance par la force des choses.
Elle était un peu plus âgée que moi. Elle avait une coiffure afro qui lui allait bien encadrant un joli visage avec des yeux marrons en amande et des lèvres pulpeuses surmontées d'un petit nez. Sa taille plutôt grande avec une petite taille et des hanches développées qui faisaient les hommes et les femmes se retournaient à son passage. Elle était vraiment très mignonne. Nous avions parlé de tout et de rien, pour tromper le temps. De nos amis, nos familles. Loin de me dire que nous étions devenus amis, c'était quelqu'un d'agréable avec qui j'étais plutôt heureux de travailler.
Il était près de 20h et nous reprenions notre poste après notre pause-repas. Il n'y avait plus que nous sur cette aile du plateau. Le superviseur était parti également. Pas de problème pour rester ici car il fallait être au moins deux, en cas de pépin. Il nous restait encore trois heures à faire avant de pouvoir à notre tour nous en aller. Nous parlions de tout et de rien tout en traitant des mails et des affaires non-urgentes. Au milieu de la conversation distraite, son stylo roula et passa entre les deux bureaux pour tomber par terre. Par réflexe, je me baissais pour le ramasser. C'est alors que sans aucune arrière pensée, la tête sous le bureau je tournai mon regard vers elle. Sous sa robe d'été légère, je vis alors un petit triangle de tissu transparent brun qui laissait deviner les contours de ce qu'il renfermait. Adja se baissa également à ce moment-là. J'étais piégé, elle capta mon regard et vis ce vers quoi il était tourné. J'eus alors peur qu'elle se mette à hurler ou qu'elle s'en aille, m'accusant de tous les vices. Mais il n'en fut rien. Elle ramassa simplement son stylo, visiblement aussi gênée que moi. Lorsque nous refîmes surface, Adja, elle, paraissait embarrassée. Je cherchais en moi s'il valait mieux dire quelque chose ou rester silencieux quand elle se leva et parti quelques minutes. Je ne savais que faire et je m'en voulais. Elle revint quelques instants plus tard tout sourire et ré-engagea la conversation. D'abord un peu mal à l'aise, je me détendis rapidement. Elle semblait ne pas en faire tout un plat, même si elle n'évoqua pas ce qu'il venait de se produire. Nous parlions d'un série sénégalaise qui faisait le buzz tout en continuant de travailler. Quelques minutes plus tard, son stylo chuta à nouveau. Désireux de ne pas commettre la même erreur deux fois, je lui laissai le soin d'aller le récupérer mais elle dit alors au bout de quelques secondes : « Il est plus vers toi, tu peux me le ramasser s'il te plaît ? Balma dé»
- Ok. Amoule problème ! Répondis-je. Je plongeai alors à nouveau la tête sous mon bureau mais je n'y vis pas le stylo, je dû alors regarder un peu plus loin, et ce que je vis alors n'était pas véritablement commun dans le domaine des fournitures de bureau. Les jambes d'Adja étaient complètement écartées et sa robe était relevée, enfin, le string manquait à l'appel. A la place, je voyais le sexe rasé d'Adja sur lequel elle passait doucement le bout de son stylo. Data bou douf! Cela me fit comme une décharge partant de mon cerveau jusqu'à mon bas-ventre. Je relevai alors doucement et silencieusement la tête. Lorsque mon regard croisa celui d'Adja qui semblait de braise. Elle souriait, presque innocemment. Je lui rendit son sourire et tentai de garder mon calme malgré l'excitation qui grandissait en moi. Le regard toujours planté dans le miens, elle hocha lentement la tête puis se leva, je fis de même. Plus rien à faire du travail, mon téléphone aurait pu sonné que je ne l'aurais pas entendu.

Elle se dirigea alors vers moi, me pris par la main et m'emmena dans un des salles de repos de l'étage qui se trouvait au bout de la pièce. Elle m'embrassa alors fougueusement puis s'allongea sur une banquette, me faisant signe de la rejoindre. Je vins alors sur elle, ma bite en érection heurta sa chatte que je devinais brûlant et trempé, ce qui lui tira un cri à peine étouffé. Nous nous dévorions le visage, ne libérant nos bouches que pour soupirer ou dire des insanités. Au milieu de ce flot impie et aérien, j'entendis « Maraal sama data bi, gawal! ». Adorant bouffer une chatte, je ne me fis pas prier. Je descendis alors mon visage, marquant des étapes régulières de ma bouche sur sa poitrine. Lorsqu'enfin j'arrivai devant sa chatte humide, je pris quelque secondes pour en humer le parfum avant de commencer à m'activer. Ses lèvres s'ouvrirent sous ma langue s'enfonceant dans son intimité charnue et remontant sur son clito gonflé de désir. Je me fit conquérant, il s'agissait de répondre à un besoin irrépressible, pas de sentiments ou peu, que du sexe, nécessaire, empreint du risque de se faire surprendre, ce qui ne faisait que rajouter à notre excitation. Je pénétrai Adja de ma langue, lapant et avalant sa mouille abondante, encouragé que j'étais par ses gémissements crus où se perdaient ses injonctions obscènes. « Vas-y, oui, beugoon nga ko han tiaga bi ! Gis na ni nga may xoole! Ouiiiiii ! Putain ! Hmm, li neex na! Vas-y bouffe là ! » J'étais dur, ma bite était de plus en plus à l'étroit dans mon caleçon et mon pantalon. J'entrepris alors de le libérer tout en continuant de dévorer la chatte d'Adja. Data bi nekh na. J'agrémentai même ma caresse d'un doigt, puis deux, puis trois pour m'attarder sur son clitoris qui était presque aussi dur que je l'étais. Ma tête était de plus en plus prise dans l'étau de ses cuisses et ses gémissements se firent de moins en moins discrets. Je sentais sur mes doigts se resserrer de plus en plus ses parois intimes à mesure que je maltraitait son clitoris. Puis, haletante, il y eu un instant de silence suivi d'un cri et de fortes contractions sur mes doigts prisonniers de son sexe, et ma bouche fut envahie d'un flot humide que j'avalai volontiers. Domaram bi, daanu sama gémigne bi! Ndokhou data bou nekh la amm en plus ! Elle se laissa alors tomber en arrière, bras et jambes ballants de chaque cotés de la banquette,. Je la regardai un instant reprendre son souffle en me redressant. Elle ouvrit alors les yeux, attrapa mes épaules et m'attira contre elle pour m'embrasser. Dans le mouvement, mon sexe libre heurta sa cuisse. Elle eut alors un sursaut devant la taille de mon sexe « Sa koy bi ni la tol Babou! Kay ma matial la ko » Elle m'embrassa à nouveau puis se redressa en me faisant signe de prendre sa place puis elle s'agenouilla devant moi et saisit sans ménagement ma queue dressée. « Tu va voir comme je sais dire merci. Sa koy dina ko toppato bou bakh» - Doul, la ferme! Katal sa ndeye matie sama koye ! Répondis-je Je fermai alors les yeux et sentis immédiatement de grands coups de langue le long de mon érection tandis qu'une main délicate massait doucement mes testicules. Je sentais le souffle chaud d'Adja sur ma bite, ce qui ne faisait qu'ajouter à son délicieux traitement. Après quelques instant, je senti ma virilité être complètement gobée par ma collègue qui commença immédiatement de longs va-et-vient. Je sentais ses joues et sa langue gourmande passer sur mon gland avant qu'il n'aille heurter l'entrée de sa gorge, tandis qu'elle branlait la base de mon membre. Je posai alors ma main sur sa tête, j'alternais les caresses et les empoignades de ses cheveux. Ces dernières semblant lui donner du cœur à l'ouvrage, je lui tirai alors les cheveux. « Vas-y ! Suce moi salope ! Matial ma bu bakh, elle est tout pour toi. Tiaga bi da mel ni da nga beug sama koy bi dal» Elle laissa alors quelques instant son ouvrage pour me répondre. « Bayé koul bb ! Sa ndokhou koye bi la beug nane! Laisse moi te vider les couilles ! » Elle reprit alors sa fellation de plus belle, astiquant et suçant encore plus fort.

De mon coté, je m'agrippai à sa robe comme pour supporter le plaisir qu'elle me procurait. Elle s'arrêta alors à nouveau, se redressa, attrapa sa robe et la fit passer au dessus de sa tête, la laissant totalement nue puis elle reprit à nouveau sa caresse sur ma bite tenduequi visitait sans ménagement sa bouche chaude. Je passai alors ma main sur son dos puis aussi loin que je pouvais aller sur ses fesses. Elle se rapprocha alors sans me lâcher de la bouche. Je pu alors explorer tout son gros cul, passant d'une fesse à une autre et glissant mon doigt dans sa raie inondée de mouille. Lorsque je passai sur son anus, elle gémit sans quitter sa fellation. J'appuyai alors un peu plus, et encore jusqu'à la pénétrer d'abord doucement puis de plus en plus franchement et profondément, encouragé par ses gémissements jusqu'à ce qu'elle lâche à nouveau mon sexe. Tiaga bi, da fa mel ni elle aime ça. « Oh putain oui, prend moi le cul! Baramal sama toune bi bb! Doigte moi le cul comme une salope ! » J'abandonnai alors toute pitié et rentrai tout mon majeur dans son anus étroit et commençai des va-et-vient de plus en plus rapide. Elle calqua alors le rythme de sa fellation sur celui de mon doigtage. Je commençai à gémir de plus en plus, elle aussi. Les mots qui sortaient de ma bouche ne m'étaient tellement pas familiers que je crus un instant ne pas être leur locuteur. Mon doigt se faisait inquisiteur et aucunement tendre avec son cul. Je l'enfonçais bien au fond de son gros cul de salope. Je sentais monter le plaisir en moi. Mon sexe commençai à palpiter, elle devait s'en être rendu compte puisqu'elle pompa encore plus fort jusqu'à ce que je jaillisse enfin. Elle voulait vraiment avaler mon sperme cette salope. Je senti sa langue sur mon gland, récupérant chaque goutte de chaque giclée jusqu'au bout de ma jouissance. Je quittai alors son anus tandis qu'elle lâchait mon sexe en faisant claquer sa langue. Elle se releva et je pus alors la voir toute entière, complètement nue. Elle était vraiment sexy avec ses petits seins tout droits. Elle se rendit compte que je l'admirais, alors elle tourna sur elle-même et commença à prendre des poses sexy. « Arrête, tu vas m'exciter tiaga bi» lui dis-je en riant « Pourquoi pas, après tout ? Beugo gnam sama leuf bi? » répondit-elle en riant aussi. Elle se pencha alors sur moi et déposa sur ma bouche notre premier baiser tendre. « C'était super bb» dit-elle. « Et maintenant ? » Demandais-je en souriant.
- On va bosser et on rentre finir la nuit chez toi. Di nga ma katt ba doyal. Je sens que je vais aimer bosser avec elle...

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