Cours particulier

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La cloche sonne. Le brouhaha de mes camarades laisse rapidement place au silence dans la salle. Mme Sow, ma professeure de comptabilité , est plongée dans la masse de devoirs que nous lui avons rendus aujourd'hui. Discrètement, je m'avance vers la porte donnant sur le couloir, la ferme et tourne la clé dans la serrure. Elle entend le cliquetis du mécanisme et hausse la tête vers moi. C'est une belle femme noire dans la trentaine. Ses yeux scintillent derrière des lunettes trop grandes. C'est une femme grande dont les courbes généreuses, détournent plus d'un regard. Vêtue d'un petit chemisier blanc, d'une jupe noire courte et moulante ainsi que de talons hauts , elle me questionne du regard tandis que j'avance vers son bureau.
- On peut savoir pourquoi vous avez fermé la porte à clé Mr Diop ? Vous avez un problème ? demande-t-elle agacée. J'arrive au premier rang, où sont posées mes affaires à côté de son bureau. Ses yeux me dévisagent, impatients de connaitre ma réponse. Slencieux, je sors une petite clé USB rouge de ma poche et contemple son malaise naissant.
- Ou as-tu eu ça ? demande-t-elle sur un ton menaçant. Fo jeullé li Lamine? Mme Sow se lève comme une furie, s'approche de moi et m'arrache la clé des mains.
- Ne vous inquiétez pas, j'ai déjà des copies sur mon ordinateur, répondis-je avec un sourire malsain. - Comment oses-tu ? ajoute-t-elle, prête à me sauter à la gorge. Tu vas tout de suite...
- Je ne savais pas que vous étiez autant une cochonne que ça, la coupais-je en ignorant ses menaces. Que dirait-on si par hasard quelqu'un publiait des photos et des vidéos de vous en train de sucer et de vous faire sauter par le directeur ? ajoutais-je sur un ton calme qui tranchait avec l'atmosphère ambiante. Meun nga mathieu koy dal.
- Tu ne peux pas faire ça ! Je vais te faire virer de cette université , dit-elle comme pour me mettre la pression.
- Vas y tiaga bi. Je vais juste me trouver une autre université. Elle me fusille de son beau regard tandis que je prends un malin plaisir à la sentir fléchir.
- Que veux-tu à la fin ? Wax ma lo beug? demande-t-elle sur un ton vulnérable. Une bonne note au devoir ? Une bonne moyenne cette année ? Une fois de plus, je ne répondis pas directement, préférant la voir faiblir en peu plus. Sa voix et son attitude avaient changé. La fureur laissait la place à l'apitoiement. Je sors doucement mon portable que je pose sur la table à côté de moi. Le regard de Mme Sow oscille entre le téléphone et moi avec un air d'incompréhension et de naïveté.
- Je ne veux rien de tout ça, finis-je par répondre. Je veux vous filmer en train de me sucer. Nga màcc sama koye bi bama daanu...
- Pardon ? répondit-elle estomaquée. Ça n'y comptes même pas ! dit-elle sur un ton de défiance, comme si elle avait le pouvoir de refuser.
- Donc je vais publier la vidéo ce soir, dis-je sur un ton indifférent.
- Vas-y , répondit-elle. Defal loula nekh imbécile bi. Je range mes affaires tandis qu'elle est toujours debout, visiblement anxieuse et tourmentée. Je prends mon sac, la salue avec un air provoquant et me dirige vers la porte. Au moment où mes doigts saisissent le métal froid de la clé, une voix faible mais déterminée se fait entendre dans mon dos.
- Lamine attends s'il te plait, me lance Mme Sow.
- Oui ? dis-je en me retournant vers elle mais en campant sur ma position.
- Que ferais-tu des films si jamais on...si jamais je... suma matié sa koy bi ? demande-t-elle d'une voix à peine audible.
- Je les garderais pour moi, comme souvenir, et jamais personne ne saura ni pour moi ni pour le directeur. Un moment de silence s'instaure. Mme Sow est pensive et haletante. Elle est si charmante.
- C'est d'accord, finit-elle pas lâcher d'une voix quasi-imperceptible. Je m'approche à nouveau de son bureau, pose mon sac sur la table, sors mon téléphone , l'allume et la pose contre mon sac après l'avoir mis en marche. Je sens l'excitation monter en moi. Elle s'approche et pose ses mains sur ma ceinture, elle ne perd pas de temps. Elle semble déboussolée, perdue dans ses pensées.

Je passe ma main dans son cou et l'embrasse tendrement, comme pour la réconforter. Elle se contente simplement de me regarder avec de grands yeux. Je l'embrasse à nouveau, ose aventurer ma langue qui rencontre bizarrement la sienne. Nos langues se caressent, s'agitent sensuellement l'une contre l'autre puis elle , qui semble avoir retrouver ses esprits, met un terme à notre baiser et ajoute « Kay ma def ko gaw » en commençant à défaire ma ceinture. Ce baiser plein de lascivité et d'érotisme m'a électrisé, hérissé les poils et je sens déjà les effets dans mon pantalon. Elle dégrafe ce dernier puis s'accroupie devant moi en jetant un œil au téléphone qui tourne à sa droite. Ses doigts ouvrent la fermeture éclair et elle fait glisser mon pantalon au niveau de mes genoux puis me regarde avec étonnement. Mon caleçon flottant est déformé par une bosse dont elle ne soupçonnait sûrement pas l'importance auparavant. De la voir accroupie devant moi, prête à me prendre en bouche, m'excite encore plus. Elle fait glisser l'élastique de mon caleçon et libère mon sexe qui se dresse instantanément vers elle. Ma bite, imposante, pointe vers sa bouche pulpeuse. Elle a un mouvement de recul à la vue de ma grosse bite. Une fois de plus, la professeure me regarde avec un petit rictus sur les lèvres, mélange de stupéfaction, de désir et de luxure. Elle fixe à nouveau mon sexe et le saisit d'une main comme pour le jauger, le soupeser et l'analyser. D'un mouvement lent, elle avance sa main vers mon gland tout le maintenant sa prise. Sans me consulter, elle approche ses lèvres de mon membre, sa langue passe doucement dessus puis ses yeux me fixent et elle pénètre lentement ma bite dans la bouche chaude et humide. Je soupire de plaisir et sens tous les muscles de mon corps se relâcher. Pendant un petit moment, elle se contente de gober, lécher et suçoter mon gland en me masturbant adroitement de sa main. Je remarque que la commissure de ses lèvres est très sollicitée mais cela ne semble pas l'arrêter. Bien au contraire elle commence à pénétrer peu à peu ma queue entre ses lèvres jusqu'à ce qu'elle bute au fond de sa gorge. Ma professeure se retire alors doucement en laissant un filet de bave sur mon sexe, aspire mon gland, me masturbe puis englouti à nouveau mon sexe tandis que je prends appui sur la table derrière moi. Domaram bi, elle aime ça. Une nouvelle fois, elle enfonce mon sexe qui bute au fond de sa gorge. Je ferme les yeux, appréciant l'œuvre de ma professeure, lorsque je sens sa main saisir la mienne. J'ouvre les yeux et échange un regard avec elle. Son regard est torride, sauvage et palpitant. Sa bouche est remplie par ma queue, les commissures de ses lèvres prêtes à craquer. Pourtant elle pose ma main derrière sa tête et exerce une pression dessus. Tiaga bi, da beug ma katt guémigne bi... À mon tour, j'exerce une pression sur sa tête et elle entreprend d'outrepasser ses limites en enfonçant un peu plus mon sexe dans sa bouche de salope. Spontanément mon bassin tend vers elle comme pour l'aider. Je n'en reviens pas, ma professeure finit d'engloutir la totalité de ma bite en me regardant avec lubricité, puis se retire.
- Putain! Meun nga mathie koye tiaga bi! dis-je en râlant de plaisir tandis qu'elle suçote mon gland en souriant, visiblement ravie du compliment. Kou la jangal li Mme Sow? Elle me regarde en souriant.
- Sa baye moma jangal domaram bi. Je lui donne une bonne gifle. Elle me regarde surprise puis se mord la lèvre.
- Encore stp. Gifle moi encore. Mbaj ma domaram bi. Sa baay la wax. Mom moma ko jàngal.
Cette salope est maso. Je lui fous encore une gifle et elle sourit en serrant ma bite visiblement plus excitée encore.
- Tu aimes les coups on dirait Mme Sow. Tu vas etre servie tiaga. Di na katt sa ndeye ba nga tiit.
- lolou rek la beug. Wax ma Saly et arrêtes avec les Mme Sow Je me saisis du téléphone et la filme de haut. Elle regarde la caméra avec passion, pose ses mains sur mes fesses tandis que la mienne est toujours positionnée dans ses cheveux. Peu à peu, Saly avale mon membre avec dextérité.

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