Dama bidanti encore !
Je manquai de tomber en sautant par terre en sortant du lit et me dirigeai vers les toilettes pour prendre un bain vite fait. Je le fis vite fait et bien fait et sorti pour m'habiller et commençais à rassembler des vêtements pour m'habiller. J'enfilai ma jupe par-dessus mon sexe nu, mis un t-shirt et mon voile et sorti en courant après avoir attrapé mon sac.
Je n'avais jamais porté de jupe sans sous-vêtements et la sensation de liberté que cela me procurait était étrangement agréable. Et j'etais un peu excitée aussi. Data bou free neex na da!
J'avais cependant l'impression d'être déshabillée du regard par le moindre passant, comme s'ils savaient que j'étais nue sous mes vêtements. Comme ni ma sama yaye diouré !
J'arrivais à mon arrêt de bus et attendis impatiemment, je ne pouvais pas m'empêcher de jeter des coups d'œil sur mon téléphone pour vérifier l'heure. Je détestais arriver en retard et le bus aurait déjà dû être là depuis plusieurs minutes. D'autres étudiants se pressaient à l'arrêt autour de moi, mon regard allait de mon téléphone à la route.
Le Dakar Dem Dikk tant attendu arriva enfin, il se gara en face de nous et les portes s'ouvrirent sur un amas de personnes essayant bien que mal de se tasser dans le bus. Je me faufilais jusqu'au centre du bus et je m'agrippai à une barre en face de moi. Le manque d'espace me forçait à rester penchée en avant, les deux mains fermement accrochées au bout de métal. Yalla na am auto way ! Li sof na !
Nous démarrâmes et je me retrouvais ballottée entre plusieurs inconnus, nos corps se touchaient au gré de la conduite du chauffeur. Il ne fallut que quelques minutes pour que nous nous retrouvions totalement collés les uns aux autres, sans possibilité de distinguer les passagers entre eux. Je prenais le 23 tous les matins j'avais donc l'habitude de me retrouver dans ce genre de situation mais aujourd'hui était un jour un peu particulier. L'absence de mon slip rendait mes fesses très sensibles, je ressentais plus que jamais les frottements des autres passagers contre moi.
Gênée, je tentais de m'écarter de mon mieux lorsque qu'un bras passa sur mon ventre et me plaqua contre l'homme derrière moi. Je voulu me dégager mais l'emprise devint plus forte.
Mo ko tay domaram ji!
Une main attrapa fermement mes grosses fesses et se mit à les caresser avec ardeur, Je voulais crier, me débattre mais la honte me submergeait. L'inconnu se fit de plus en plus insistant se faufilant sous mon t-shirt et se dirigea droit vers mes seins tandis que le second massait toujours mon postérieur. Mon regard parcouru la foule, cherchant silencieusement de l'aide. Je n'osais pas ouvrir la bouche, je ne voulais pas être surprise dans cette situation. Ses doigts frôlèrent mes tetons, il attaqua mes points sensibles que je sentis durcir sous ses mains. Paniquée, je me débattis mollement, pourquoi est-ce que mon corps réagissait ainsi ? Se pourrait-il que je commence à aimer cela ? Il les prit entre ses doigts et les pinça doucement, je me mis à frissonner et je commençai à m'abandonner à ses bras. Domarma bi, li mouy nekh na.
Mane lou ma dal ? C'est vrai que ça fait un moment que je n'avais pas baisé.
Son corps était collé au mien, mes joues me brûlaient et je sentais le regard des autres passagers sur moi. Je commençai à haleter et remuer lentement sous ses assauts. Mon dos se raidit en sentant sa main de diriger vers le bas de mon ventre, lentement, en prenant plaisir à caresser ma peau nue, les doigts à quelques millimètres de ma chatte. J'étais partagée entre le désir et la prudence, si je le laissais passer, il n'y aurait plus de retour en arrière. Avais-je vraiment envie de m'offrir à ce parfait ce domaram ? Ma chatte coulait littéralement. Il commença à retirer sa main
Sans même réfléchir, j'écartais mes jambes pour lui faciliter l'accès à ma chatte. Il plongea dans ma jupe et sembla hésiter en arrivant au contact de mon sexe. Il s'attendait sûrement à rencontrer un slip et je rougis de plus belle en pensant à cela. Tiaga la en réalité.