Les plats

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Ma belle-mère nous avait donné des restes de la fête de Noël à ramener à la maison et ma femme m’avait demandé de rendre les plats à sa mère après le travail. Elle m’avait demandé de passer chez sa mère en rentrant du travail pour les déposer. Je lui ai répondu que cela ne posait aucun problème. Ce n’est rien que je n’ai pas fait une centaine de fois auparavant. Mais cette fois-ci, ce serait un jour que je n’oublierais pas de sitôt. 
J’avais fini vers 18 h et je me suis dirigé vers la maison de ma belle-mère. C’était sur mon chemin. Je me suis garé dans l’allée, je suis sorti de la voiture et je me suis dirigé vers la porte de derrière, comme d’habitude. J’ai frappé un petit coup, sans réponse. Quand j’ai essayé la porte, elle s’est ouverte et je suis entré. C’était bizarre. Elle fermait toujours sa porte vu qu’elle vivait seule depuis la mort de son mari depuis plus d’une dizaine d’années. J’ai passé la tête à l’intérieur et j’ai appelé, 
« Tata Sira ? C’est Cheikh ? »
Pas de réponse. C’était vraiment bizarre. 
En entrant dans la cuisine, j’ai posé les plats sur la table et j’ai cru entendre une conversation venant de la chambre de ma belle-mère. Je n’arrive pas à comprendre ce qui se dit, alors je me suis dirigé sur la pointe des pieds vers la porte de la chambre, qui était entrouverte, et je crus entendre la voix de Tata Sira. J’écoutais très attentivement pour croire ce que mes propres oreilles entendaient. 
« Oh putain. Oh putain. Katt ma. Katt ma ak sa kooy bu reey bi ». 
« Je rêve »
« Kone Tata da am farr bu kooy kat. Je parie que ma femme ne l’a pas appelée pour lui dire que je venais. Lu nek mane lay dal. » 
« Wouysama. Ma ngi daanou. Je vais jouir. Fesalal sama data bi » 
Ma bite commençait à gonfler en l’écoutant. C’était plus qu’excitant. Je n’ai jamais pensé que j’allais avoir l’occasion de voir ma belle-mère qui était superbe dans une telle position.
Putain. Faut que je la voie se faire baiser et savoir qui la fait crier ainsi.
Je pousse doucement la porte pour voir, et le spectacle qui s’offre à moi me coupe le souffle. Je jette un coup d’œil et vois qu’elle est toute seule en train de se masturber. Ses jambes sont écartées et elle a un de ces petits vibromasseurs roses pressés contre son clito. Elle se donne vraiment du mal. La tête vers l’arrière et le corps submergé de plaisir.
Ses seins géants se soulèvent et s’abaissent tandis qu’elle respire bruyamment. Ses mamelons sont aussi durs que possible. Elle fait entrer et sortir deux doigts de son autre main dans sa chatte trempée. Ses doigts étaient enduits de sa mouille abondante. Je la trouvais déjà très belle habillée, mais la voir toute nue, dans cette position me fit me rendre compte que je la sous-estimais.
J’avais maintenant une érection qui faisait rage dans mon pantalon. Je n’avais jamais vu une femme aussi superbe se masturber. 
En l’écoutant gémir, j’avais l’impression que mon pantalon allait exploser. Son corps commençait à trembler et à être secoué de spasmes alors qu’elle atteignait l’orgasme. Elle se mit à hurler de plaisir. 
" CHEIKHHHh, MA NGI DAANU. WOUYY CHEIKH, KATT MA. BAISE-MOI AVEC CETTE GROSSE BITE. KATT MA BU BAAX. BUL MA YEUREUM. KATAL SAMA NDEYEEEEEE OHHHH, Ohhhhh, Mmmmmm, Ooooo, Hmmmmm, mmmmm."
Cheikh !?! Elle fantasme sur moi ? Je n’arrivais pas à y croire.
En reprenant mes esprits, je décidais de me lancer pour vérifier ma théorie. Depuis le temps que je fantasmais sur son magnifique cul. J’avais une occasion en or. Elle commençait à se détendre alors que son orgasme s’estompait.
Je poussais la porte pour l’ouvrir carrément et toquais.
“Je ne savais pas que ni nga yako Tata Sira ?” 
Elle se redressa comme si on avait fait passer du courant à travers son corps, tira le drap pour couvrir sa nudité et hurla.
“CHEIKH ? WOUY SAMA NDEYE ! Qu’est-ce que tu fais ici ? 
“Je te regarde jouir.”  lui répondis-je ?
“Wouy Sama… Rousna  ! Je suis tellement gênée”. Elle commença à sangloter. 
Se couvrant le visage de ses mains, ses joues brûlant de honte. Je m’assis à côté d’elle sur le bord du lit et je lui dis, 
“Il n’y a pas de quoi avoir honte Tata. Ce que tu as fait est tout à fait normal et naturel pour n’importe qui. Tu n’es qu’un être humain. Jigeen nga da nga am lo soxla” 
J’enlevais ses mains de son visage et je lui dis, 
“Regarde-moi Tata, écoute-moi. C’est normal d’avoir des désirs sexuels et tu devrais les satisfaire. Dara nekku si”   
J’essuyais ses larmes et tirais le drap vers le bas pour exposer ses magnifiques seins.
“Regarde-toi dans le miroir, regarde comme tu es belle et désirable. Goor bu la gis sopp la” 
En frottant son dos avec ma main gauche, sa peau était comme du velours. De ma main droite, je touchais sa poitrine généreuse, mon pouce effleurant son mamelon rigide. Un frisson le parcourut à mon contact. 
“Cheikh, tu ne devrais pas être ici. Tu ne devrais pas me toucher comme ça”.  
“Shuttttt, calme-toi, ça va aller Tata”. Je l’apaisais. 
“J’aime être ici avec toi et te toucher comme ça. Ça m’excite vraiment que tu veuilles de moi. Que tu penses à moi quand tu te masturbes.”
“On ne devrait pas. Tu es mon gendre. Li baaxul”
“Mais mom nga beug. Mom nga soxla. Et moi aussi Tata. J’ai déjà fantasmé sur toi. Sur ton magnifique corps”,
Je m’approchais de son visage et l’embrassais. Réticente au début, elle se laissa faire et répondit à mon baiser. Ses lèvres étaient vraiment douces. »
« J’ai envie de toi Tata. Kay ma defal la li nga beug. Katt la katt yu neex »
« Oh oui Cheikh, j’ai envie de toi. Je te veux depuis si longtemps ». Elle me prit le visage dans ses mains et m’embrassa avec fougue. Je l’ai embrassé en retour avec le même niveau de passion.  
Ses mains étaient couvertes de l’arôme de son sexe, et cette odeur ne faisait qu’augmenter mon besoin d’elle. Je continuais à pétrir son sein et à tordre son mamelon. Elle gémit dans ma bouche en me suçant la langue. 
Je rompis notre étreinte suffisamment longtemps pour me lever à côté du lit. Je dirigeais sa main, qui était dans sa chatte tout à l’heure et le dirigeait vers ma bouche. Je me mis à sucer ses doigts, la goûtant. Elle était exquise.
Debout devant elle, je n’eus pas à dire un mot. Elle tira immédiatement ma ceinture et commença à la déboucler, puis, presque d’un seul coup, elle a baissé ma fermeture éclair. Elle était visiblement pressée de voir l’érection de son gendre
lorsque mon pantalon est tombé sur mes chevilles, elle a regardé le gonflement dans mon caleçon avec de la luxure et du désir dans les yeux.
Elle fit descendre mon caleçon pendant que j’enlevais mon tee-shirt. Ma bite libre, était tendue au maximum et palpitait à quelques centimètres de son visage. Je n’avais jamais bandé aussi dur de ma vie.
Elle m’a regardé dans les yeux et, sans interrompre son regard, a pris mon gland dans sa bouche chaude et humide. 
« Putain Tata », ai-je sifflé. « Oui. Suce-moi Tata. Macc ma bu baax ». 
Elle n’avait besoin d’être encouragée. Sa tête montait et descendait avec frénésie. Elle sortait de temps en temps ma bite de sa bouche pour reprendre son souffle et en profitait pour lécher le dessous. La chambre était remplie du bruit de sa bouche. Sa salive dégoulinait de sa bouche. Ma belle-mère était vraiment une pro de la fellation. Je voyais d’ou Adja, ma femme, tenait son talent.
« Tata neex na. Meun nga macc kooy putain. Ya ngi may ray. »
« Hmmm. Pas de poils sur tes couilles ? C’est très joli, j’aime ça. Elles sont vraiment douces et lisses. Sa Khour yi saf na niou », remarque-t-elle. 
En disant cela, elle prit chacune de mes boules, à tour de rôle, dans sa bouche et se mit à les sucer tendrement. 
On m’avait déjà sucé la queue, mais jamais comme ça. Elle me sucrait sans retenue, comme si elle se nourrissait de ma bite. Comme un bébé tétant le sein de sa mère. Elle a faisait l’amour à ma bite avec sa bouche. Ma tête tournait. 
« Tata, Tata. Ya ngi may ray. Ya meun Adja. Putainnnn, c’est bon ». Elle a retira ma bite de sa bouche. La succion a fait un bruit de bave quand elle l’a relâchée. 
« Ma ko meun. Sa kooy bi neex na Cheikh »
« Tu veux que je te baise ? N’est-ce pas ? Da nga beug ma katt la ? » 
« Cheikh, oui, je le veux. Je veux que tu la mettes en moi »
Je la relevais et en l’allongeant sur le dos, les fesses sur le bord du lit. Elle saisit ses jambes et les ouvrit pour moi. Saisissant la base de ma bite, j’ai frotté le gland sur son clito et entre les lèvres gonflées de sa chatte humide et ruisselante. 
« Xool ma Tata ! Regarde-moi ! », tandis que je continuais à la taquiner.
« Cheikh, s’il te plaît, s’il te plaît, mets-le-moi. Je le veux et j’en ai tellement besoin. Katt ma. Bul ma xaar lo. », me supplia-t-elle. 
« Tata, je t’écoute. Parle-moi comme tu le faisais quand tu te masturbais. »
« Bul ma def li. Katt ma Cheikh. S’il te plait »
« Je veux t’entendre me supplier »
« Oui, Cheikhl, oui, baise-moi avec cette putain de grosse bite. Katt ma Cheikh, katal sama Ndeye, baise-moi,Katt maaaa, Katal sama Ndeye Cheikh, Comme ni ngay katté Adjaaaa. Kattt mAAAAAAAAa. » 
Avant que le dernier mot ne quitte ses lèvres, j’ai enfoncé ma bite en elle et, centimètre par centimètre, j’ai glissé dans la profondeur de sa chatte humide et chaude.   
« Wouy Sama Ndeye,Ya ngi may ray Cheikhhh. Fesal nga sama badio Biiiiiii ».  
Je continuais à savourer la chaleur de sa chatte et en baissant la tête, je pris un de ses tétons massifs en érection entre mes lèvres. Je les sucais, le grignotais et mordillais légèrement. 
Elle posa sa main sur l’arrière de ma tête et me pressa contre sa voluptueuse poitrine. Elle se tortillait et remuait son cul pour essayer de baiser, mais je n’étais pas encore prêt à bouger. Je prenais un réel plaisir à jouer avec elle.
« CHeikhhhhhh, baise-moi. Katal sama ndeye. Je rêve de toi depuis tellement longtemps. Je veux jouir à nouveau bébé, mais cette fois parce que tu me baises. Cette fois, avec ta bite en moi. » 
Je me relevais puis m’appuyai sur mes mains. Je commençais ma course dans sa chatte en regardant son visage déformé par son désir. 
Je retirais ma bite jusqu’à ce qu’elle soit presque sortie, puis replongeais dans sa chatte incandescente. Je la baisais lentement et régulièrement. 
Je me redressais en position debout, les mains sur ses genoux, les écartant davantage. Puis je commençais à accélérer ma course. 
« Wouy Cheikh. Je veux voir ta bite me baiser. »
Ma belle-mère était vraiment une salope. J’avais décroché le jackpot avec elle.
Elle leva la tête du lit et en regardant entre ses jambes, elle voyait ma bite s’enfoncer en elle. Ma bite entrait et sortait comme un piston. Je la baisais aussi fort et aussi vite que possible. 
"Wouy Sama Ndeye. Katt ma. Katal sama ndeye bb. Continue de baiser s’il te plait. Yow dotu ma la baayi. n’arrête pas de baiser, n’arrête jamais de me baiser"
Elle avait perdu la à cause de ma bite. je pouvais en dire autant pour moi.
“BAISE MOI PLUS VITE CKEIH ! PLUS FORT CHEIKH ! DEF MA LI NGAY DEF SAMA DOOM. KATAL SAMA NDEYE CHEIKH ! KATT MAAAAAA! JE VAIS JOUIR POUR TOI CHEIKH ! WOUY SAMAAA NDEYE ! MA NGI DAAANUUUUUU ! ». 
Elle avait perdu la tête. Elle était prise par son désir. Sa main se jeta sur son clito et le frottait fébrilement. Son corps tremblait. J’ai eu du mal à me retenir et le fait de la voir jouir a suffi à me faire basculer.   Son corps tremblait et s’agitait. J’avais du mal à me retenir et le fait de la voir jouir a suffi à me faire basculer. 
« Putian Tata ! Ma ngi daanuuuu. Tiotou ndem Tata. Sa data bi neexna. Ma ngi daan! Je vais jouir ! ».
« DAANUUL SAMA DATA BI CHEIKH. FESALAL SAMA BADIO BIIII! DAANUUL BB ».
Mes couilles se resserrèrent et ma bite explosa avec un orgasme que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Un flot après l’autre de ma semence brûlante s’enfonça dans la chatte contractée de Tata Sira. Je sentais sa chatte tressaillir et s’agripper à ma bite. 
Je m’effondrais sur elle et elle bloqua ses jambes autour de ma taille, enroula ses bras autour de moi, me tenant fermement contre elle alors qu’elle chevauchait les vagues de son orgasme. 
Elle serra ma bite avec les muscles de sa chatte, tirant la dernière goutte de sperme de moi alors que ma bite cessait de se contracter. 
« Tata Sira neex nga.Sa data bi amoul ».
« Tu es tout ce que j’avais imaginé, Cheikh, et plus encore. Do niit ! On m’a jamais baisé comme ça ! ». 
« Alors, qu’est-ce que je dis à ta fille ? »
« Ce n’est pas drôle du tout Cheikh. Dotul amati. On ne peut pas ». 
« Hmmm » 
« Hmmm quoi ? ».
« Tu crois que tu es rassasiée ? Moi pas ! Li ma la beug def bari na Tata ». 
« Ce n’est pas bien Cheikh »
Elle le disait en se mordant les lèvres cette mauvaise menteuse.
Je lui donnais un baiser et me levais pour m’habiller à la hâte. Il était déjà tard, je devais rentrer chez moi. Je la saluais et la laissais sur le lit toujours nue.
En arrivant à la maison, ma femme m’accueilla avec une bise et une question.
« Qu’est-ce qui t’a pris tant de temps ? » 
« Eh bien, quand je suis arrivé, l’évier de ta mère était bouché et j’ai dû l’aider. On a parlé aussi ». 
J’expliquais en souriant me rappelant de la sensation de jouir dans la chatte chaude de ma belle-mère.
« Tu sais que cet endroit est vieux et que la plupart des tuyaux ont besoin d’être nettoyés chéri "
« Dis à ta mère, la prochaine fois que tu lui parleras, que si elle a encore ce problème de m’appeler. Je passerai là-bas chaque fois qu’elle aura besoin de moi. » 
Et elle a appelé. Plusieurs fois même…

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