Je suis une secrétaire épanouie dans son travail et j'ai la chance d'avoir comme boss un type vraiment bien: Mady.
Je plains les personnes qui ont souvent pour patron de vieux grincheux de la vieille école. Mady est très compréhensif et s'il est très strict sur la qualité de mon travail, il respecte mes limites... et sait gérer mon stress. C'est quand même cool d'aller au boulot avec le sourire en ce moment. Pour couronner le tout, il est physiquement au top. Un beau gosse trentenaire, toujours bien habillé, assez sportif si j'en juge à la forme de ses muscles sous sa chemise.
Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d'une pause improvisée, il m'invite à partager un café ou une boisson. A croire qu'il apprécie ma compagnie.
Je n'ai qu'une envie, c'est qu'il me baise comme une chienne. Da may baram sama data bi di ko xalat sax!
Aujourd'hui, je suis allée le rejoindre pour partager notre traditionnel café. je lui ai dit qu'il avait l'air beaucoup plus fatigué que d'habitude. Je voulais juste m'approcher de lui. Arborant un grand sourire, sûre de moi, je me suis levée et placée derrière lui. J'ai posé mes mains sur ses épaules et effectivement... monsieur faisait du sport ! Mes doigts manucurés se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxé le corps de mon beau patron.
« Vous avez vraiment besoin de vous détendre et cela tombe bien : j'ai été engagée pour ça. Ci sama ligeey la bokk »
Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son souffle rauque, il prenait visiblement son pied dans cette activité improvisée par mes soins.
Je me suis rapprochée et fait en sorte que sa tête repose sur mon voluptueux décolleté.
Je sais que mes gros seins sont sources de fantasmes chez les hommes ! Je fais en sorte de systématiquement les mettre en valeur dans des hauts volontairement trop serrés comme tiaga là. Il n'a opposé aucune résistance. Lui d'habitude assez directif malgré notre bonne entente semblait complètement s'abandonner entre mes mains.
- Da melni sokhlo wone nga massage bi ak relaxer wu...
- Énormément. Je ne savais que tu savais faire ça Khady.
Sa tête s'est laissée aller à la renverse, il souriait béatement, le message était clair : il comptait sur moi pour une relâchement total. J'ai osé glisser la paume de mes mains le long de son torse. Quelques doigts se sont aventurés sous le tissu de sa chemise, un bouton à sauté. Son ventre était chaud, son torse saillant... j'étais en train de vivre un de mes plus grands fantasmes : faire craquer mon patron ! Un rapide coup d'œil à son pantalon a confirmé que ma mission était en bonne voix : mi gni koddal comme fass!
Je me suis déplacé lentement vers la porte et j'ai fermé le loquet de la pièce, puis me suis agenouillée face à lui sans le quitter du regard. Dans mon tailleur cintré sexy, jupe courte et talons, je savais que je le faisais craquer.
J'ai déboutonné sa braguette pour libérer une belle grosse bite. Kooy bu réy la am domaram bi. J'étais comme hypnotisée par sa bite dure avec sa grosse veine prête à exploser qui palpitait... En quelques secondes, sa bite était au fond de ma gorge, je le biberonnais à pleine bouche comme si je voulais le faire jouir le plus rapidement possible. Di ko macc comme ku yoor sama biberon. Je bavais bien dessus comme la grosse chienne que j'etais...
- Putain ...domaram ji meun nga matie kooy. Avale bien salope... Tu es meilleure que la rh...
Donc domaram da doon katt Anta alors...
Je me suis relevée et assise sur le rebord de son bureau.
Mady était à la hauteur. Il s'est relevé et s'est collé à moi contre le meuble. Sa bite etait plaquée sur le tissu humide de mon string. Il a relevé ma jupe pour qu'elle ne soit plus qu'une ceinture autour de mes hanches. Il a écarté le bout du tissu de mon dessous sur le côté et m'a pénétrée. Roff ma kooy bi ba mu seus. Domaram bi, daf ma beug ray
Je dégoulinais de plaisir. Il n'a vraiment pas pris de gants. Son sexe s'est enfoncé en moi jusqu'aux couilles. Je le fixais toujours.
Aucune douceur dans ses gestes ! Le premier va-et-vient a été brutal, entier...
La suite etait tout aussi intense. Domaram di ma katt comme ku fay tiaga.Khour yi di dal sama entrée badio bi. Il me tenait par la nuque, me bourrant le plus vite possible, avec une intensité toujours croissante.
Je me suis étendue sur son bureau, j'ai relevé les cuisses pour mieux sentir sa grosse bite me défoncer. J'avais le bas ventre en feu, tout endolori pas la pénétration bestiale. Je mordais mes levres pour ne pas crier de plaisir. Dans un dernier soubresaut, je l'ai sentie se coller fortement à moi, des spasmes dans les jambes. Il a arrêté de me limer et a longuement haleté comme un géniteur ayant fini sa labeur.
Domaram bi, da danou sama data fésal ko del
Pendant quelques secondes, il est resté planté en moi, comme pour reprendre ses esprits. Puis il s'est redressé, a retiré son sexe ramolis pour le remette dans son pantalon. J'étais toujours couchée en étoile de mer sur son bureau, jakhan comme tiaga. Son sperme dégoulinait de ma chatte , son courrier en était tâché tout comme son clavier d'ordinateur.
« Demain matin, tu m'apporteras le café, tu ne porteras pas de culotte et tu me suceras la bite en guise petit déjeuner »
Je venais officiellement de gravir un échelon dans la hiérarchie de la boite.