Ben
"Une première rencontre avec une inconnue, c'est se poser des questions après."
Idriss Mahamat-Kosso
Je la suis avec ma moto jusqu'à chez elle. J'ai du mal à rester en place tellement j'ai la gaule. Elle vit à cinq minutes de chez Bruna. Elle ouvre son parking et me fait signe par la vitre de la suivre dans les garages, ce que je fais jusqu'à sa place privative. Elle recule le plus au fond et sort de sa voiture en me montrant où stationner ma moto. Une fois à l'arrêt, j'en descends et y relie le casque grâce à l'antivol. Je la suis de nouveau, passe une première porte coupe-feu et on prend les escaliers.
— J'habite au troisième, mais l'ascenseur est en panne.
Je la tire en arrière et la bloque contre le mur, je dévore sa bouche, ses clavicules, je remonte son petit haut pour avoir accès à sa poitrine. Elle tire sur mes cheveux, elle est déchaînée et ça me fout en l'air.
Mes mains sont trop petites pour englober entièrement ses seins, les siennes assez fortes pour me tenir tout contre son corps. Je ne sais pas qui dégage cette chaleur, mais c'est ardent. Je n'ai plus de souffle, plus de retenue, si elle continue de m'allumer comme ça, je vais la prendre sauvagement contre ce mur.
On entend à ce même instant la porte de la cage d'escalier s'ouvrir quelques étages plus hauts, on se détache l'un de l'autre, on attend que la personne sorte au rez-de-chaussée et on finit de monter les paliers restants.
— T'as de la chance, je t'aurais prise à même les marches.
— T'appelles ça de la chance toi ?
Elle nous fait passer deux portes pour arriver à son couloir. À peine a-t-elle ouvert celle de son appartement que l'on se saute dessus. Elle retire son haut immédiatement et fait voler son soutien-gorge. Bordel les seins qu'elle a, ils sont incroyables. J'en attrape un férocement et le mets dans ma bouche goulue. Elle tire sur mon polo pour me le retirer, on n'a pas avancé d'un millimètre, toujours bloqué entre la porte de l'entrée et une espèce de petit buffet.
Je retire mes chaussures, en même temps, je déboutonne mon jean et le descends, je suis tellement pressé que je fais tout en même temps, je fais suivre le caleçon. On est nus tous les deux et on se regarde, à bout de souffle.
— Ragnar, ta bite est juste WAOUH. T'es au repos, là ?
— On va dire que je ne suis pas encore au max.
— Et bien mon vieux, je ne suis pas sûre qu'on va avoir le temps de manger.
— Je te garantis que tu vas avaler quelque chose toi.
Elle lèche ses lèvres, je l'attrape et la soulève pour qu'elle s'accroche à mes hanches, puis, je ploie sur mes genoux et l'allonge à même le sol. J'attrape rapidement une capote dans mon portefeuille resté dans la poche arrière de mon jean, je l'enfile et pénètre ma Jolie Blonde sans attendre une seconde de plus.
— Oh merde, elle est énorme.
Je pense que si on nous voyait, on nous prendrait pour des sauvages, pire, pour des animaux. Elle est couchée par terre, les jambes relevées, les genoux au niveau de mes fesses qu'elle est en train de déchirer avec ses ongles et je la pilonne comme un forcené. On dirait que j'essaie de la faire rentrer dans le sol.
Je recule doucement et rentre avec une force décuplée par le désir qu'elle provoque en moi. Aucune meuf ne m'avait excité comme ça. Mon Dieu, je pourrais la baiser sans jamais m'arrêter jusqu'à ce que mort s'ensuive, elle est si chaude, si belle, si... Parfaite. Je crois que même mon meilleur fantasme ne lui arrive pas à la cheville.
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Avec des Si Tome 1.5 : Ben
RomanceIl y a des histoires qui, sur le papier, semblent idylliques. Il était une fois, Ben « Ragnar » Lusard, roi des connards, prônant le célibat, les coups d'un soir à choix multiples et le non-attachement. Il rencontre une Princesse dotée d'une réparti...