Scream 3

Prologue

Un an plus tard

Au loin dans le ciel nocturne se trouvait un nouvel Explorer 99', assis au milieu du trafic habituel du vendredi soir.

Les essuie-glaces de la voiture
ont à peine suivi la pluie froide et
forte qui frappait la vitre alors
que la personne assise derrière le
volant était au milieu d'une
vive dispute sur son portable avec
son agent, Cathy.

"Cotton, je ne vais pas rester là à
t'écouter dire du mal de moi ! Sans moi, tu ne serais jamais devenu aussi célèbre qu'aujourd'hui. Le moins que tu puisses faire est de me montrer un peu de respect."

"Tu veux du respect, Cathy ? Voici ton respect. Va te faire foutre, tu es viré", et avec ces mots, Cotton a raccroché le téléphone et a appuyé sur le volant par frustration.

STAB 3 : Retour à Woodsboro. Quelle est la prochaine étape, vendredi
13 : Jason fait Broadway ?

Il entendit à nouveau le téléphone
sonner et décrocha. « Christine ? »

"Non, Jennifer Love Hewitt. Bien sûr que c'est moi, idiot. Et je me sens comme une conne, debout tout seul dans le hall de ce théâtre. Où es-tu, bébé ? Le film commence dans vingt minutes."

"Ecoute. Je suis coincé sur l'autoroute. Je pense qu'il y a eu un gros accident. Cela pourrait prendre un petit moment donc je ne veux pas que tu commences à paniquer si je n'arrive pas à exactement huit heures trente," dit- il doucement. dit à sa petite amie.

"Tout ce que je dis, c'est que je vais être royalement envoyé en PO si vous n'attrapez pas mes débuts d'acteur."

Cotton a fait preuve d'un faux enthousiasme. "Oh, je ne manquerais ça pour rien au monde. Je parie que tu as fait un si bon
travail."

"Oui. Honnêtement, même si j'ai passé un total de six minutes à l'écran, ce sont les six meilleures minutes du film."

Cotton rit. "Je parie qu'ils le sont, bébé. Je parie qu'ils le sont. Écoute, ma batterie est en train de mourir..."

"Très bien, je te parle quand les lumières s'éteignent."

"Sûrement"

Cottons déclina l'appel et se laissa tomber sur son siège. Devant lui se tenait la circulation toujours croissante, une cacaphonie de klaxons de voitures s'élevant en même temps.

Cotton Weary était votre idole typique des adolescents du milieu de la trentaine. Beau et bien construit.

Cependant, en plus d'être un
autre joli visage de la Cité des Anges,
il était aussi un connard arrogant
et arrogant.

*Ring*

Surpris alors que son portable reprenait vie, Cotton répondit, calmant son rythme cardiaque accéléré avant de parler.

"Cotton Weary, appelle-moi Cotton",
bourdonna-t-il, attendant la respiration révélatrice ou le reniflement d'une personne.

En attendant quelques secondes, il n'obtint aucune réponse.

Pensant qu'il s'agissait d'une mauvaise connexion, Cotton était sur le point de raccrocher et de laisser tomber l'appareil à côté de lui sur le siège passager jusqu'à ce qu'il obtienne une réponse.

"Bonjour." L’homme qui l’appelait ne lui semblait pas familier. Leur voix n'était pas désagréable mais d'une profondeur cauchemardesque, contrairement à la voix de n'importe quelle personne normale.