Scream 3

Chapitre 3

Vos yeux (E/C) se sont ouverts et ont plissé les yeux sous le soleil qui traversait la fenêtre ouverte de votre chambre.

Quel rêve c'était. Certainement le plus intense que vous ayez eu depuis longtemps.

Vous vous êtes étiré et vous êtes assis pour jeter un coup d'œil à l'horloge qui indiquait qu'il était juste huit heures passées, vous sentant plus détendu que vous n'auriez dû.

Après avoir retourné les couvertures chaudes et vous être levé, vous vous êtes rapidement habillé et avez récupéré votre peignoir (F/C) sur le dossier de la chaise de votre bureau, vous l'avez enfilé, avant de vous diriger vers vos pantoufles pelucheuses.

Vos yeux se sont tournés vers l'une des photos encadrées placées juste au-dessus de votre placard, qui vous montrait souriant joyeusement, avec votre mère vous serrant par derrière et votre père debout à votre gauche, la main posée sur votre épaule.

Il n'était pas difficile de se rappeler la peau de votre mère, combien elle était grise et froide lorsque vous l'aviez trouvée.

Au début, vous pensiez que quelqu'un vous jouait un tour cruel, mais ensuite vous l'avez soulevée et avez vu son visage.

Ces lèvres grises et ces yeux sans vie.

Repoussant cette pensée morbide au mieux de vos capacités et entrant dans le couloir de votre maison, vous vous dirigez vers la cuisine pour le petit-déjeuner.

Votre maison était située au cœur de la Napa Valley, isolée au milieu de vignobles et de vergers verdoyants.

Personne ne vous a vraiment trouvé ici. Vous avez essentiellement commencé à vivre isolé après tout ce qui s'est passé au Collège de Windsor.

Il n'y avait plus beaucoup de monde autour de vous, craignant ce qui pourrait, non, arriver à quiconque s'approcherait trop près.

Vos journées depuis Windsor ont toujours été la même routine. Se lever, manger, puis travailler. C'était plutôt ennuyeux mais au moins le travail n'essayait pas de te tuer.

Après avoir préparé et terminé votre petit-déjeuner, vous êtes allé travailler dans votre bureau encombré. Après avoir vécu ce que vous avez fait, vous vouliez aider les autres.

Au mur était accrochée une affiche de la pièce de l’année dernière. À gauche, un autre, proclamant « Droits des femmes » avec « Centre de crise des femmes de Californie » écrit en dessous.

Alors que vous ouvriez un classeur à trois anneaux sur le bureau, vous mettiez un casque et parliez directement dedans. "Voici Jenny, je me présente au travail."

"Très bien Jenny, je vais te connecter directement à un appel."

*Click*

Une voix de femme retentit sur l'autre ligne, semblant étrangement familière. "Bonjour?"

Cela vous semblait si familier en fait que vous ne saviez plus si vous les aviez bien entendus. "Oui, salut... Je m'appelle Jenny, une conseillère qualifiée. Comment puis-je vous aider ?"

"Jenny, je pense que je viens de tuer quelqu'un..."

"Es-tu sûr?" Vous avez revérifié, traçant nerveusement les effilochages sur les déchirures de votre jean avec vos doigts.

Il y eut un silence prolongé dans lequel la seule chose que l'on entendait était le tic-tac de l'horloge comme un battement de cœur régulier. "Euh. J'en suis sûr. J'ai tué quelqu'un ! Oh mon Dieu, j'ai en fait tué quelqu'un !"

Vous commenciez maintenant à ressentir des vibrations rebutantes de leur part, sentant la tension commencer lentement à monter. "Eh bien, les personnes que vous devez appeler sont la police-"