Histoire 1 : la comédie

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Il se fait réveiller de sa somnolence par une gifle cinglante. Il ne met pas long à reprendre rapidement ses esprits. Il se fait tirer par le dos et essaye de mémoriser ces directions. Malgré qu'elles soient inversés sans doute dans le but d'émousser son sens de l'orientation, il reste concentré et commence à intégrer les directions prises.

Après le bain qui lui ouvre la peau, il se retrouve de nouveau dans la chambre.
Elles se remettent à le caresser brusquement. Andel ferme les yeux. Sachant que rien de ce qu'elles ne feront ne fonctionnera, il se met à imaginer une chambre bien rangé. Un parfum de jasmin dans l'air. Une femme qui ne sortira probablement jamais de sa mémoire. Inaya, son exe copine. Il sent subitement sa joue droite brûler et rouvre les yeux.
-Mais qu'est-ce que tu fou bordel!! Hurle la brune. Il venait de se dresser. Tu veux tout gâcher ou quoi?
Les yeux ronds, la blonde baissa le regard sur son engin, et entreprit de le mettre dans sa bouche, essayant ainsi de ne pas perdre son érection impressionnante.
Andel referma les yeux aussitôt. Inaya était devant lui, sourire coquin sur les lèvres. Il se senti embrasé.

Changement de point de vue.

Audrey, pousse sa partenaire de crimes et saute sur l'érection de l'homme qu'elles tenaient captif. Elle l'avait précédemment fait assoir et sautait désormais sur ses cuisses. Elle y pris son pied et le tour de Corine arrive bien vite. Leur nouveau jouet garde les yeux fermés. Elles ne savent pas ce à quoi il pense, et c'est très bien ainsi. Car son érection ne retombe pas après le passage de son amie. Elle s'assoit à son tour et pousse un gémissement qui provenait de ses entrailles. Surprise d'apprécier autant le moment, elle se lâche et savoure. Une fois la partie terminée, elle s'assoit en face de leur captif qui ouvre les yeux lentement.

-C'est vraiment bête que tu ne puisses pas nous attraper et vraiment profiter, tu as un engin hors du commun. Dit Corine.
-Ils en serait incap-
-Je peux vous baiser comme des sauvages. C'est vous qui me retenez captif. Dans d'autres circonstances, vous m'aurez supplié d'arrêter pour reprendre votre souffle. Dit le captif.

Corine regarde sa partenaire, un sourire aux lèvres.
-On va ranger le jouet. Dit Audrey en se levant.

Une fois le captif dans le placard, les deux femmes se retrouvent dans le salon, préalablement douché parfumé et habillés.
-Donc, que penses tu du nouveau ? Demande Audrey.
-Bien. Il est pas mal. Répond Corine.
-Pas mal? Tu utilises ces mots juste avant de tomber amoureuse. Fait Audrey.
-Bon sang de quoi tu parles? La chance que je tombe amoureuse de lui est de zéro. Affirme Corine.
-En tout cas, ne fais rien de stupide Corine.
-Pourquoi je ferai forcément quelque chose de stupide ? Crit-elle.
-Je dis ça juste comme ça...
-Qui a eu l'idée de cet arrangement ? Toi peut être ? Fait Corine.
-Justement! Répond Audrey. Au lieu d'aller draguer comme tout le monde, tu organises des kidnapping et tu les baise. C'est stupide Corine !
-Attend. Tu ne serais pas entrain de penser à me trahir !? Fait Corine.
-Mais quoi!?
-Je te préviens Audrey si tu me vend on coule ensemble !
-Écoute je vais y aller. Ca devient n'importe quoi. Dit Audrey en se levant. Tu es vraiment dingue ! Hurle la blonde avant de sortir de la pièce et de claquer la porte derrière elle.

Changement de point de vue.

Ca faisait des heures qu'on l'avait remit dans le placard, comme un sextoy après utilisation, sans même lui donner une petite douche. Il se sent inconfortable, et engourdi. Bientôt, son ventre se met à gargouiller. Ce qui le fait tilter. Il n'avait pas penser à ça... Vue la façon dont il était traité, lui donnerai -t- on à manger ?

La porte du placard s'ouvre soudainement et la brune pose un plateau de nourriture livré devant lui.
-Salut. Dit elle.
Andel, surpris, ne lui répond pas.
-Écoute. Je ne dois pas te nourrir normalement. Mais tout à l'heure...

Andel béni silencieusement le ciel de lui avoir fait don d'un engin aussi gros.
-Bref. Voici un McDo. Elle prend le burger et le met devant sa bouche. Il l'engloutit en moins de deux, vient le tour des frites et du jus frais. Enfin, elle lui donne de l'eau. Jamais il n'aurait cru manger de la mal bouffe avec autant d'appétit.

-Tu as de l'appétit ! Fait la brune, en souriant. Il répond à son sourire, par son sourire programmé pour les clients qu'il doit convaincre. Ce qui apparemment marche. La brune rougi.
-Je vais te laisser. Fait elle en se levant.
-Bonne nuit. Fait il, sourire au lèvres.
Elle ferme lentement la porte.

Andel souffle bruyamment. Au moins son ventre ne le fera pas souffrir en plus de cette douleur permanente dans les bras, les épaules, le dos et les fesses. Il entreprend alors de chercher une position plus ou moins confortable pour dormir. Il se tourne sur la gauche et sentant moins mal, il ferme les yeux. Il laisse alors la pression de la journée couler sur ses joues. La dure réalité reviens le frapper entre ces quatre murs étroits. Il a désormais la sensation que ces murs se referment sur lui, sa respiration s'alourdit et sa gorge sèche brusquement. Encore une crise d'angoisse.

JE VEUX UN BÉBÉ MÉTISSE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant