Mon petit est ton petit coeur. [Lukadrien]

Chapitre 8

-Mmmh Argh ... Je suis où ?
C'est en baissant les yeux qu'il vit une personne assoupie sur son lit... D'hôpital !

-Adrien ?
-Monsieur Couffaine, ravie de vous voir réveiller .
-Bonjour ? Je peux savoir ça fait combien de temps que je suis sous ce lit pour avoir des tas de fils de partout et des marques de lit ?

-Et bien, vous vous êtes évanouie... Et on vous à mit en coma artificiel.

Coma ? Comment ça coma, j'ai raté combien de jours ? Je te dit pas pour les absences que je devrais justifié...

-Je vois que il y aussi une personne qui n'a pas arrêté de s'inquiéter.
-Effectivement, Monsieur Agreste, n'a jamais raté un jour sans voir.

-Je suppose que je me suis évanouie 1 semaine.
-Malheureusement, les médecins ont réalisés que leurs calculs n'était pas bon et ils sont changer le tire.
-Je suis resté combien de temps ?
-3 mois, la perte de sang était bien trop importante ce qui a impacté le cerveau.

Je suis restée là hébété par ce qu'il s'était passé.

3 mois au lieu d'une semaine.

C'était si important que ça ! J'étais vraiment à deux doigts de mourir !

-Monsieur, vous tremblez... Vous devez réapprendre à marcher.

Un gémissements ce fait attendre.
-Qu'est-qu'il ce passe OH mon dieu Luka a un souc-... (Souci)
Un blanc, le temps que son cerveau se réveil et réalise, ce blanc n'était pas gênant mais réconfortant.
-Mon dieu tu es enfin réveillé...Tu es réveillé !
-Oui, je le suis sinon je ne serai pas entrain de te regarder.

Il était en pleure... Je m'y attendais pas. Il pleure pour moi... Je suis important à ses yeux.
Rien que cette idée, me fait sourire.

-Je pleure pas je suis encore en vie.
-Justement! Et il me fit ce fameux câlin, le câlin amoureux ?Je ne sais pas mais je l'aime ce type de câlin.

-Luka, tu m'as manqué ne fait plus ce coup là.

Bien que je viens de me réveiller, je le sens. . . Je sens que son cœur est plus fragile qu'avant.
Suis-je le seule à avoir remarqué ? Peu probable. . . Il avait nettement maigrit, son visage était blême. Je sens son cœur palpiter comme si c'était mon propre corps, sa douleur était peut-être les pires des poignards.

Mon cœur, je sais que tu ne pourras pas entendre ce que je dis dans mon cœur ainsi que dans mon cerveau... Mais te voir ainsi est bien pire que la douleur à ma tête, que les pires migraines, ou de toutes les blessures que j'ai traversée.

Dieu sait à quels point, j'ai eu des douleurs dans ma vie.
Je t'en supplie. . . Sourie. . . Au moins devant moi.
Est-ce égoïste ? OUI! Et qu'importe ! Le voir dévasté me donne une nausée monstre.
Je vais devoir me détesté pour te regardé en face. . .
Suis-je une raclure, peut-être, il m'avait prévenu, mainte et mainte fois, d'aller à l'hopital...
Mais affronter ses peurs, sa peur, MA peur, nosocomephobie est chose compliquer pour moi.
Je suis ni virile, ni musclé, j'ai rien pour te plaire. . .

Mais dit moi, je t'aime, rien qu'avec ton regard. . .
Ne me dit pas que j'en peux plus de te voir souffrir, cette lueur de désespoir ou depitié.
Qui me plaît d'une manière malsaine. . . Je suis devenu ton jouet préféré, le jouet dont avec qui tu jouais tout le temps, que tu pleurais quand il était cassé et demandait à le réparer.
C'était moi ce jouet peut-être pour toi rien n'ai important dans ce que je t'explique... Dans mes pensées, mais je veux voir la personne qui ne cachait plus ses émotions, la personne dont j'aime... N'est qu'autre que le vrais Adrien.

Je te reconnais plus, suis-je devenu fou ?
Je veux savoir! Je veux savoir, si je suis vraiment la cause totale de ton mal-être !
Jubiler sur la tristesse, que tu as pu avoir pour moi.
Je veux. . . JE. . . Je veux savoir ! Si. . . si seulement tu m'aimais comme je t'aime. . .
J'en devient fou. . . Je suis désespéré. . . Je ne suis pas ces folles personne qui pourrait tué mais je suis une personne qui pourrait jalouser facilement pour que tu puisse me voir.
Je veux pas revenir comme un déchet à jeter, je veux devenir tien.
C'est une chose qui me terrifie

Que tu me prends dans tes bras, que je te sert, que tu me serre. . . Je me sens comme dans une serre. . . Emprisonné, pétrifié, liquéfié, contrôlé par mon désir de toi, tu es la seule personne qui m'aime quand je suis moi.

Je voudrais pleuré, là maintenant mais je sais que je devrais faire semblant d'aller mieux pour voir ton fameux sourire. Adrienesque

________________INFO IMPORTANTE_____________

Petit chapitre !
Le style à changer en cours de route. . . j'ai pris mon vrai style qui avait été utilisé dans mon histoire "L'amour rend muet".

Mais le scénario restera le même mais aura une écriture peut-être plus poétiques.
Et des personnages plus réalistes avec des (gros) défauts.

J'ai hâtes de voir vos commentaires pour savoir si c'est une bonne idée
(J'espère que vous allez capter le petit messages que j'ai fait passé crème dans le texte,

Ps: c'est pour marqué le coups d'halloween. Bonne chance pour le trouvé !)

830 mots
(CORRIGÉ PEUT-ÊTRE À MOITIÉ LOL)