Chapitre 4

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-Un truc cloche

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Un truc cloche. . . Je ne sais pas pourquoi, mais un truc cloche.
Je le sais, je le sens, il n'est pas dans son état naturel.
Il est plus. . . Extravertie que d'habitude.
Peut-être qu'il essaie de me réconforter mais c'est clairement pas dans ses habitudes d'être tactiles. De plus il est moins assuré il bafouille plus, je dirai que c'est mignon, mais . . . C'est une personne qui ne bafouille jamais, il réfléchit toujours, c'est une personne a l'air parfait, à première vue. Il est trop naturelle, il ne réfléchit plus, comme  si il avait plus la force de réfléchir.
Je vois qu'une solution, il est enfin lui-même avec moi . . . Enfin ! Lui même. . . Il est plus détendu, car il est pas aussi détendu que quand il est Chat Noir, mais c'est un début.

-Excuse moi, Luka ?
-Oui. . . Oh désolé ! J'étais dans mes pensées.
-C'est pas grave, je veux savoir. . . Qu'est-ce qui t'attire chez moi ?
-Eh. . . C'est avec une petite voix qu'il chuchota quelque petits mots, à vrai dire c'est un peu gênant d'en parler.
-Oh. . . Pardon. . . Je voulais pas te mettre mal à l'aise.
-T'inquiète pas, c'est rien. Je vais te le dire quand je vais me sentir prêt.
-Pas de problème. . . Je peux rester plus longtemps si tu veux.
-. . .
-. . .
Un long blanc persista avant qu'Adrien se lève.
-Non ! Enfin . . . Tu peux rester. Dit le jeune guitariste se remettant en marche après quelque pensées.
-Si je te gêne, je peu- (Je peux partir) c'est en coupant la phrase au blond que le bleuté murmurant quelque mots.
-Tu peux rester ! Je veux que tu reste . . .
-. . .
-s-S'il te plaît. . . Je veux pas rester seule.
-Très bien. avec une lenteur hors norme il alla s'assoir avant de prendre une boîte dans son sac qui était posé entre ses jambes croisés.
-Que fais-tu ?
-J'avais prit un cadeau mais au final, je sais pas si je suis le mieux placé pour te faire un joli cadeau qui pourrait te plaire.
-Rien que pensée à faire un cadeau est déjà très bien pour moi.
-Bon, ben ouvre le. dit-il avant de tendre la boîte d'une manière peu assuré.

En approchant mes mains des siennes, je sens mon corps tremblé.
Je veux touché ses mains, mais je devrais m'abstenir. . .
En récupérant sa boîte je sens une odeur sucrée, serait-ce des gâteaux ?
Où un parfum, ou c'est juste son odeur qui s'est imprégné sur la boîte.
C'est avec hâte que j'ouvris la boîte.

-Wow . . . C'est avec un sourire que Luka leva ses yeux vers Adrien.
-Il te plaît, je suis si content.
-Merci ! Tu as confectionné ce collier rien que pour moi ? Il m'a l'air chère.
-Il est, mais je voulais vraiment te donner de la qualité. . . dit-il gêner
-Merci, mais je peux pas accepté, c'est bien trop précieux pour moi .
-Non, je trouve qu'il n'est pas assez précieux pour toi.
C'est avec la boule au ventre que Adrien prit le collier des mains de Luka doucement pour lui mettre au cou.

-Luka, j'ai été un peu  trop dur dans mes propos auparavant, je suis désolé.
Vraiment désolé. . .
-Regarde moi, tu es pardonné depuis longtemps, de plus on ne peux pas contrôler ses sentiments. Tu n'- (Tu n'es pas à l'origine du problème).
-Je suis l'origine du problème, si j'avais réfléchit, j'aurai pu t'éviter un gros mal être !
Si seulement . . . Si seulement je n'avais aucun sentiments !
-Arrête de dire des absurdités, tu es parfait comme tu es !

Wow. . . C'était le première depuis la mort de sa mère qu'il n'a pas entendu ça.
Tu es parfait il en était habitué, mais comme il est . . . C'était plus rare, avait plus la chance de se faire akumatisé que d'entendre ça.
Il n'y a pas à dire cette phrase lui fait le plus grand bien, même sa Ladybug ne lui à jamais cadeau aussi satisfaisant que de lui dire honnêtement ses quelques mots quand il était lui-même.

Je me sens poussé des ailes . . .Merci, mon guitariste préféré. Tu as illuminé ma journée en quelques phrases.

-Il te va  à ravir, je suis reste presque bouche bée.
-Oh merci, je suis flatté.
Presque bouche bée, que veut-il dire par là ?
-Presque flatté, est plus approprié. dit-il en rigolant.
C'est honteux que je rigole.
-Je suis presque bouche bée car je suis déjà bouche bée par ta beauté et le bijou ne rajoute presque rien à ta beauté naturelle, s'en est affolant .
-Wow, là je suis vraiment flatté dit ce chère guitariste ne sachant plus comment rester assis.
-Luka, ça va ?
-Ou-O-JE ! ENF-AAAh ! C'est en rougissant que Luka essaye d'ouvrir la porte.
-Luka ! Calme toi tu vas brisé la poi- (Poignée) et oui il avec décroché la poignée de la porte.

-HYAAAA ! LA POIGNEE PORTE ! IL FAUT LA REMTTRE EN PLACE !
-Ne panique pas ! Tout va bien se passé .
-Je pense pas ! dit-il avec une respiration bien plus accélérée.
-Luka, respire je suis là.
-Je n'arrive pas respiré ! Pourquoi il faut que ça arrive maintenant !
-C'est pas grave.
-Bien sûre que c'est urgent !
-Qu'est-ce qui est urgent ? dit Adrien, inquiet de la situation qui pourrait être urgent.
-j-Je. . . Laisse tomber.
-Il ne faut pas avoir honte, dit le moi. Je dirai à personne.
-Rien d'important.
-Tellement insignifiant que tu fuis mon regard,  s'il te plaît .
-C'est très gênant, je préfère ne pas le dire.

TEXTE BIZARRE (FACULTIF du moins un peu)

Il est dans l'incompréhension, ce qu'il n'avait pas bien vu était le corps de son amis bleuté.
Il avait eu de l'effet pour sur amis. Ce qu'il le faisait mourir de honte. Il se cacha alors dans son lit, une honte l'avait envahie.

-Tu es rouge comme une tomate, mais tu pleures !
-Ne t'inquiète pas c'est juste par gêne.
-Oh ok, ça va ?
-Oui, je crois que je vais dormir . . . Je crois être fatigué.
-d-D'accord, tu veux que je fasse quelque chose ?
-n-NON ! T'inquiète ! à cette phrase Adrien rougi.
-OH ! D'accord c'est pas du tout ce que je pensais !
-Oui, je sais. . .
- . . . Attend, c'est ce que je crois ?
-o. . .
-. . . Oh, je crois que je suis aller un peu fort .
-Un peu trop, oui.
-Je suis désolé. Je voulais pas te brusqué, ou te faire autant . . . D'effet .
Un sons d'acquiescement se fit entendre. 
-C'est pas grave.

TEXTE BIZARRE (FACULTIF du moins un peu) FIN

-Les garçons ? Vous pouvez sortir !
-J'ai cassé la porte maman ! Tu peux ouvrir s'il te plaît.
-TU AS QUOI !
-Désolé ! J'ai paniqué ! dis-je en tremblant déjà de ma sentence.

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1103 mots

Mon petit est ton petit coeur. [Lukadrien]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant