Chapitre 34 - Sorrow

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Hello mes girls,

Petit chapitre en retard, mais je pense , j'espère que vous aimerez.

Quelques petites révélations par-ci par là.

Soooo Enjoy!

N'hésitez pas à commenter et voter🥰🥰.



PDV Dowson


Je regardais l'ensemble des gens présents dans cette pièce, mémorisant avec minutie leurs visages.

Ne sait-on jamais..

Une pensée soudaine me tira de mon inspection.

Je me rappelai avoir demandé à Ashley de rester près de la porte depuis mon départ des commodités, et que jusqu'à maintenant, après tout ce qui s'était passé, je n'avais eu aucun signe de vie d'elle.

Je me levai alors pour traverser la salle et me rapprocher de l'endroit où je l'avais laissé, la manche de ma chemise imbibée de sang, dû à la balle qui s'y était logée.

Mon téléphone sonna à cet instant, Johnson.

-Ouais?

- J'ai mis un traceur sur leur voiture, ils ne nous échapperont pas.

Je continuai à marcher à travers la salle pour atteindre le lieu désiré.

-ça ne sert à rien, bêta n'est pas idiot.Il changera de voiture en cours de route.

Arrivé au coin du bar, près de la porte menant aux toilettes, je trouvai Ashley sur le sol, le flanc en sang et je commençai à m'inquiéter.

Je m'approchai rapidement d'elle et pris son pouls pour être sûr qu'elle respirait encore.

C'était le cas, ouf.

Johnson semblait peiné au bout du fil pour la vie de Kalia, alors que je ne lui avais même pas encore parlé de la situation dans laquelle se trouvait Ashley.

-Il faut que tu viennes au plus vite au bar John.

Je ne voulais pas trop lui en dire, je ne savais pas quoi lui dire, si ce n'est que sa femme était entre la vie ou la mort pour avoir voulu protéger celle qui était mienne.

-Qu'est-ce qui se passe Dowson?

Sa voix avait changé, il avait senti à mon intonation que quelque chose n'allait pas. Et c'était le cas de le dire. Ma main compressée sur la plaie sanglante d'Ashley, retardait l'échéance, mais l'issue était inévitable.

Je ne voulais pas avoir à sortir ces mots de ma bouche, en sachant que j'étais le putain de responsable, je ne voulais pas non plus lui raconter des sottises. Je ne voulais pas parler pour rien dire.

Alors je finis par lui dire:

-Ramène-toi.

Avant de raccrocher le téléphone et le laisser retomber sur le sol.

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