Recueil de one shot N°2

dazai x reader

" Dazai commence à tracer des petits cercles sur son bureau et continue de faire la moue. Soudain, sa tête se relève et avec son doigt pointé vers le haut, il proclame : "o/n, j'ai une idée !" Il crie avec un grand sourire diabolique, et tu je sais que cela signifie que tu ne termineras jamais ce travail. "Oh ouais ? Et quelle est exactement cette excellente idée ? » Vous demandez avec méfiance. « Allons sur le toit ! » Et avant même que vous puissiez dire quoi que ce soit, il attrape votre poignet, vous tire de votre chaise et vous dirige vers la porte du bureau."Allons sur le toit !" Et avant même que vous puissiez dire quoi que ce soit, il vous attrape le poignet, vous tire de votre chaise et vous dirige vers la porte du bureau.

Avant de vous en rendre compte, vous et Dazai vous trouvez sur le toit de l'immeuble de bureaux de l'ADA. "Tu vois, n'est-ce pas si amusant !" Dazai virevolte. Il fait plutôt beau, c'est une belle nuit, pas un seul nuage dans le ciel. Mais il faisait un peu frais. Dazai remarque que tu frissonnes un peu. "Ah, eh bien, il fait un peu frais, n'est-ce pas. Ici," et il place son long trench-coat autour de vos épaules. "Merci", tu rougis un peu en t'enveloppant. Bon sang, son odeur est enivrante. Depuis que vous travaillez à l'ADA et que vous connaissez Dazai, vous avez commencé à développer un petit béguin pour le travail. Et comment ne le pourriez-vous pas ? Il est si charmant et magnifique que vous ne pouviez pas l'empêcher de se produire, peu importe à quel point vous essayiez de vous convaincre. "Alors, qu'est-ce qu'on fait exactement ici, Dazai ? » C'était bien de prendre l'air, mais est-ce que ça vaut vraiment le coup d'arrêter complètement de travailler ? « Oh, eh bien, oui, j'ai entendu dire qu'il allait y avoir une pluie de météores. J'allais le regarder, mais nous avons dû travailler si tard, alors j'ai pensé que tu pourrais regarder avec moi. Heureusement, nous aurons également une belle vue d'ici. Je te l'ai dit! Une excellente idée !" Il a souri grand et vous n'avez pas pu vous empêcher de lui rendre un petit sourire. "Je suppose que certains météores valent la peine d'abandonner la paperasse", dites-vous en levant les yeux vers le ciel.

"Par ici, o/n !" Dazai désigna le milieu du toit et s'allongea, les mains derrière la tête. Vous vous allongez soigneusement à côté de lui. Comme c'était romantique de regarder les étoiles avec lui, sauf qu'il ne savait pas que vous aviez le béguin, et en plus, vous doutiez qu'il vous aime en retour. Après tout, c'était un homme à femmes et vous pensiez que vous n'étiez pas assez jolie pour être quelqu'un qu'il voudrait. Vous êtes tous les deux assis tranquillement, observant le ciel à la recherche de tout signe d'étoile filante. "O/n," dit doucement Dazai, regardant toujours le ciel, "Je sais qu'il y a quelque chose que tu ne me dis pas. Je vois à quel point tu es tendu quand tu es avec moi. Ai-je fait quelque chose qui t'énerve ?" Vos yeux sont devenus grands et vous avez été surpris. C'était quelque chose que vous ne vous attendiez pas à ce qu'il dise ici. Vous saviez que c'était une personne observateur, c'est pourquoi c'est un si bon détective, mais vous n'avez jamais pensé que vous étiez quelqu'un à qui il accordait une attention particulière. "Non ! Bien sûr que non ! Je veux dire, tu n'as certainement rien fait de mal et je ne suis pas en colère contre toi. C'est, eh bien, c'est juste, je veux dire, il y a quelque chose que je ne t'ai pas dit." Dazai vous a regardé et a tourné son corps, alors maintenant il était allongé sur le côté, vous aviez toute son attention, il était vraiment inquiet. "Je... eh bien, euh," tu as commencé à t'énerver, tu pouvais te sentir rougir. Mon Dieu, je dois ressembler à un idiot. C'est tellement embarrassant, il n'y a aucun moyen qu'il puisse m'aimer en retour ! Vous avez essayé d'établir un contact visuel avec lui, mais cela vous a simplement rendu plus timide, alors vous avez détourné le regard. "Ahhh, je sais ce que c'est" dit doucement Dazai, avec une expression si gentille. Oh non, il va te dire qu'il ne ressent pas la même chose. Vous étiez sur le point de vous jeter du côté du bâtiment. "O/n, je ressens la même chose," il prit ta main dans la sienne, "depuis le moment où tu as franchi la porte de l'ADA, tu étais si belle. Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ?" Il vous a souri.