H.A.D.È.S

CHAPITRE 4

* Hadès *

- Putains Menthé ! Tu vois pas que tu dérange ?

- Tu te fous de ma gueule !? Tu demandes de venir te rejoindre pour finale être avec une autre !

- Depuis quand je dois te demander la permission pour parler à une autre femme ? Tu te crois exceptionnellement ?

- Salle enfoirés!

Dit-elle en partant de la zone VIP. Normalement j'aurai du lui courir après pour la rattraper mais comme elle vient de le dire, je ne suis qu'un enfoirés donc pourquoi devrai-je bouger ? J'allume une clope.

Je ne sait pas si la réaction de Menthé était une crise de jalousie mais en tout cas c'est ridules. La fumée de ma cigarette s'imprègne dans chacune des cellules de mon corps et sa me fait un bien fous.

A peine j'ai fermé les yeux que je revoit cette petite déesse aux petits seins ferme. J'ai une folle envie de m'être ma tête à l'intérieur de son décolleté. Rien qu'y penser j'ai l'impression de bander .

Mais putains qu'est ce qu'il me prend ?! On dirait un puceau. Je me tire encore une lattes mais à peine j'ai inhaler un peux de fumée que mon esprit repense à ses longs cheveux brun et ses lèvres pulpeuses.

Arg ! Il faut que je baise ! Maintenant. Je prends mon téléphone et appelle Menthé qui décroche quasiment aussitôt. Elle me dit de la rejoindre dans ma chambre.

Je viens d'arriver, je gard m'a voiture dans le parking et écrase ma cigarette sur le sol avant de me dirige vers ma chambre. J'ouvre la porte et vois Menthé en l'ingénierie sur mon lit. Je me déshabille en deux secondes avant de me jeter sur elle.

Je mords ses tétons , puis l'embrasse sauvagement avant de me glisser en elle. À chaque coup de ring j'ai des images de la petite déesse. J'aurais du lui demander son nom. Agacée, je donne des gros coups de bassin, Menthé me griffes dans le dos ce qui me fait lâcher un grognement.

Menthé vient de s'endormir dans mes bras. Je me lève doucement pour ne pas la réveiller puis me dirige dans la salle de bain. Malgré que j'ai baisers Menthé durant près de trois heures j'ai toujours des images de cette putains déesse.

A l'odeur des fleurs et celle de la légère brise du matin quand le soleil se lève. Elle me semble si familière que c'est troublant. J'ai une folle envie de déceler chacune de ses pensées à fin de la connaître mais à la fois elle m'effraie.

Mais qu'est-ce que je raconte !? J'en est rien foudre de cette femme ! Il faut que je pense à autre chose ! Désolée Menthé mais tu ne vas pas pouvoir dormir plus longtemps.